Un petit texte
trouvé, par hasard, sur Facebook ,
et que j'ai trouvé très "juste"...
alors, je vous le partage :
alors, je vous le partage :
La peur collective nous rend très malléables, manipulables.
La peur au ventre, c'est un peu
comme si on se débattait dans l'huile...
C'est rapidement la panique.
Pourtant l'instinct est le bon : en situation de crise,
se raccrocher à quelque chose de stable,
pour mieux naviguer à travers.
Quand les relations, la routine,
les repères du quotidien sont bouleversés,
c'est parfois difficile de se raccrocher.
Pourtant, nous y sommes déjà.
Quand rien ne va à l'extérieur,
on doit aller à l'intérieur.
Actuellement, dans la maison.
Mais aussi, et surtout, à l'intérieur de soi.
Il y a un centre, qui pourrait être comparé
à l’œil de la tempête,
où tout est calme.
On le porte en soi.
Parfois il est bien caché
sous les couches de doutes,
de peur et d'anxiété.
Mais je vous dis qu'il y est.
Et c'est là qu'on peut se raccrocher.
La tempête est forte, elle rage, ET elle est passagère.
Votre cœur, votre âme, ce que vous apportez d'unique
en vous est éternel.
Et c'est là qu'on peut se raccrocher.
Au calme et à la sécurité intérieure.
Ensuite, dans cet espace calme,
vous pourrez explorer, découvrir,
accepter puis OFFRIR cette part de vous
qui vous a été implantée pour en profiter
et pour le DONNER à votre entourage,
pour le mieux ou le bien de tous.
Un bonus, la planète en profitera certainement aussi
La connaissance de soi est essentielle pour être conscient
de ce que chacun de nous à à offrir au collectif.
La vie nous a demandé et supplié de changer par le passé.
Actuellement, la vie l'exige et le commande.
Les vieux schémas en place depuis trop longtemps,
Les façons de vivre et de fonctionner doivent être adaptés
pour suivre le mouvement du changement
qui nous permet d'évoluer pour notre avenir.
Nous sommes en transition maintenant, c'est donc temporaire.
Chacun de nous a quelque chose à apporter.
J'ose espérer que ce soit la fin d'une ère.
Ce qui soutiendrait aussi le début d'une autre ...
la suite dépend de nous.
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Stéphanie Laprise
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