La propagande est aux démocraties
ce que la violence est aux dictatures.
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Il est plutôt, comme certains l’ont remarqué, son essence même.
C’est que, dans un État militaire,
ce que les gens pensent importe peu.
Une matraque est là pour les contrôler.
Si l’État perd son bâton et si la force n’opère plus
alors apparaît ce problème.
Les gens deviennent si arrogants
qu’ils refusent l’autorité civile.
Il faut alors contrôler leurs pensées.
Pour ce faire, on a recours à la propagande,
à la fabrication du consensus
d’illusions nécessaires.
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