En lisant les commentaires sur les réseaux sociaux,
les spécialistes ont recensé dernièrement
deux nouvelles espèces :
Les "Moutruches" et les "Tigraigles"...

Le "Moutruche" est un individu qui a les caractéristiques supposées
du mouton et de l'autruche, à savoir une docilité extrême
et le refus de voir les choses telles qu'elles ont en réalité,
notamment en matière de politique et de problèmes sociaux...
Dans son voisinage immédiat, on trouve le "Tigraigle",
qui, lui, pense avoir l'acuité de l'aigle, avoir "tout compris"
et se jette parfois férocement sur le pauvre moutruche,
qui se demande bien ce qu'il a fait pour mériter un tel traitement....:-))
Entre ces deux espèces, la tension monte, monte...
et la cohabitation devient très compliquée...
Pour l'heure, on recherche désespérément un "Cygnal"
c'est-à-dire un individu ayant la pureté du cygne
et la noblesse du cheval, capable de les réconcilier...;-)
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La Licorne
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P-S : Il semblerait, ce qui ne simplifie pas les choses,
qu'on ait aperçu, aussi,
des "moutraigles"...et des "tigruches"...
...et que tout ce beau monde
s'ébat, parfois,
au sein d'un même individu !
;-)
Cygnal
Excellent! N'oublions pas les homo-chatpiens qui tentent de garder de la distance pour retomber sur leurs pattes!! ;)
RépondreSupprimer:-)
SupprimerC'est aussi ce que fait le "cygnal" : il essaie de s'élever (grâce à ses ailes de cygne" au-dessus du débat...tout en gardant (grâce à sa vitalité chevaline) son indépendance et sa liberté... :-)
J'ai eu l'occasion de croiser quelques homo-plates, cultivateurs de platitudes et de lieux communs répétitifs. Caméléons toujours d'accord avec la couleur de celui qui parle. Ils n'ont pas de couilles, et cependant se reproduisent et prolifèrent. Probablement par contamination passive.
RépondreSupprimer...hum...ne verrait-on pas, là, dans ce dernier propos, pointer le bout de la moustache du "tigraigle" ??? ;-)
Supprimer...car, le vrai travail serait, enfin, c'est ce qu'il me semble...non pas de "désigner" à l'extérieur les caméléons, moutons ou moutruches (ils existeront toujours, du moins tant qu'il y aura des sociétés "moutonnières"), mais de chercher, en soi, à quel moment et dans quelles circonstances...on se comporte comme un "moutruche" ou, pour reprendre tes mots, en quoi nous sommes parfois, sans nous en douter, des "homo-plates"...qui avalons, sans broncher, les "lieux communs répétitifs"...:-)
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