Voilà une belle formule. Certains voient bien qu'il est juste de se débarrasser de beaucoup de gens qui polluent la société comme des parasites qu'ils sont. C'est avec courage qu'ils vont les virer manu militari, avec l'assistance de tous ceux qui voit juste aussi, et ils sont nombreux. D'ailleurs ils formeront bientôt la majorité au pouvoir.
J'ai évidemment pris un exemple quelque peu outré… je pense que Confucius avait… de la sagesse… ;-) En fait je pensais surtout à tous ces gens « en perte de repères » et qui par l'évolution sociétale (comme on dit maintenant) ne trouvaient plus aucune option « juste ». Il n'y avait aucun repère, ni intérieur, ni extérieur. J'ai vu s'accroître le phénomène vers la fin du siècle dernier chez des personnes qui fréquentaient mon cabinet. « Dites-moi ce que je dois faire, je n'ai plus aucun repère », je me souviens de cette phrase tenue par une femme médecin. Je veux dire que ce n'était pas un marlou de banlieue qui n'aurait, paraît-il, reçu aucune éducation… Éducation permissive et laisser aller : que de dégâts en ton nom… On peut tout faire : il n'y a ni bornes ni repères. En revanche, une généraliste compétente et appréciée, qui savait pertinemment appliquer les protocoles appris sur les bancs de la faculté de médecine. Quant à sa vie personnelle… c'était un sacré bazar !
Voilà une belle formule.
RépondreSupprimerCertains voient bien qu'il est juste de se débarrasser de beaucoup de gens qui polluent la société comme des parasites qu'ils sont. C'est avec courage qu'ils vont les virer manu militari, avec l'assistance de tous ceux qui voit juste aussi, et ils sont nombreux. D'ailleurs ils formeront bientôt la majorité au pouvoir.
Est-ce que cela existe : ce qui est juste ?
Tu as raison, Alain, le "juste" pour moi n'est pas le "juste" du voisin...
SupprimerMais je crois que Confucius en était conscient ... :-)
Il s'agit de faire ce qui est juste...pour nous.
...et cela comprend le fait de ne pas se laisser imposer ce qui est "juste"...pour eux... ;-)
SupprimerJ'ai évidemment pris un exemple quelque peu outré… je pense que Confucius avait… de la sagesse… ;-)
SupprimerEn fait je pensais surtout à tous ces gens « en perte de repères » et qui par l'évolution sociétale (comme on dit maintenant) ne trouvaient plus aucune option « juste ». Il n'y avait aucun repère, ni intérieur, ni extérieur.
J'ai vu s'accroître le phénomène vers la fin du siècle dernier chez des personnes qui fréquentaient mon cabinet. « Dites-moi ce que je dois faire, je n'ai plus aucun repère », je me souviens de cette phrase tenue par une femme médecin. Je veux dire que ce n'était pas un marlou de banlieue qui n'aurait, paraît-il, reçu aucune éducation…
Éducation permissive et laisser aller : que de dégâts en ton nom…
On peut tout faire : il n'y a ni bornes ni repères.
En revanche, une généraliste compétente et appréciée, qui savait pertinemment appliquer les protocoles appris sur les bancs de la faculté de médecine.
Quant à sa vie personnelle… c'était un sacré bazar !
Oui...c'est vrai...pour beaucoup.
SupprimerSouvent, il n'y a plus de "code moral", seulement un "relativisme" outrancier...
(qui fait croire que toutes les opinions et tous les avis se valent).
Malgré ce que j'ai dit plus haut, je pense qu'il y a une "échelle" de valeurs...et que tout ne se vaut pas. C'est sans doute cela qu'on a "oublié"...
Et puis il faut savoir aussi sur quoi on se "fonde"...
Quand la tradition, la religion et toutes les "institutions morales" foutent le camp...il faut trouver un autre "point d'appui", plus personnel...
Personnellement, l'étude des rêves m'a beaucoup aidée à trouver cette "vérité intérieure".
Cf blog "Grands rêves"...:-)