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Lors d’une réunion privée au sommet de la Statue de la Liberté
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Chères citoyennes et chers citoyens de Suisse,
Vous allez voter ce dimanche sur les durcissements de votre Loi Covid, et en particulier sur l’imposition du passe sanitaire.
Votre démocratie vous le permettant, nombre d’entre vous ont voulu un référendum pour contester ces mesures. Le monde entier a désormais le regard posé sur vous.
Je suis médecin, enseignant et chercheur, spécialiste des maladies infectieuses. J’ai présidé pendant quinze ans la commission en charge de la réponse sanitaire aux épidémies et de la politique vaccinale en France, en plus d’avoir été vice-président du groupe d’experts sur les vaccins à l’OMS pour l’Europe.
Vous devez savoir un certain nombre de choses avant de voter.
Il est bien de vous prononcer, mais si les médias ne donnent pas les bonnes informations, il est difficile de le faire en connaissance de cause.
Tout d’abord, le «passe sanitaire» appelé chez vous «certificat Covid» n’a rien de sanitaire. C’est une mesure politique de coercition. Les «vaccinés» peuvent se contaminer, tomber malades du Covid, et même développer des formes graves de la maladie. C’est bien la preuve qu’il ne s’agit pas de vaccins. Multiplier le nombre d’inoculations ne changera rien.
De plus, les «vaccinés» peuvent contaminer les non vaccinés.
La contagiosité des dits «vaccinés» et des «non vaccinés» étant la même, le passe sanitaire instaure une discrimination grave, sans aucune utilité sur la santé des citoyens.
Cette mesure de contrainte vise à forcer la population à accepter ce qui est présenté comme un vaccin par une forme de chantage, ce qui est illégal en plus d’être honteux.
Les produits qu’on veut vous injecter, appelés à tort «vaccins», sont des substances géniques expérimentales, qui modifient le fonctionnement de vos cellules. Au mépris du principe de précaution, puisque les risques sont importants à court terme et inconnus à moyen et long terme. Imposer à la population de se soumettre à une expérimentation médicale de phase 3 est rigoureusement interdit par le Code de Nuremberg et la Convention d’Oviedo, ratifiés par nos pays.
De plus, on n’a pas le droit d’octroyer une autorisation conditionnelle de commercialisation d’un vaccin s’il y a des traitements efficaces – efficacité attestée par des centaines d’études. Des pays comme le Japon ou des territoires comme l’Uttar Pradesh en Inde ont éteint l’épidémie avec des médicaments bon marché et efficaces, interdits chez nous pour garantir l’imposition de la pseudo-vaccination.
On peut observer que les pays pauvres peu ou non «vaccinés» n’ont aujourd’hui plus de problème Covid, alors que les pays ou régions ayant pratiqué des «vaccinations» massives (comme le Royaume Uni, Singapour, l’Islande, l’État américain du Vermont, Israël…) connaissent des flambées d’infections et de morts.
Dans les services de réanimation de certains pays, les «vaccinés» sont largement majoritaires. Il suffit de regarder les cartes du monde pour constater que la «vaccination» de masse déclenche, re-déclenche ou entretient l’épidémie.
En Suisse, tout comme en France, l’épidémie est actuellement au niveau de n’importe quelle infection respiratoire banale et la mortalité est extrêmement faible.
En France, il n’y a plus que quelques dizaines de morts par jour (46 mi-novembre contre 317 début janvier) ». Et comme dans toutes les épidémies du passé, les virus développent des variants de moins en moins virulents.
La politique menée depuis bientôt deux ans dans nos pays est absurde et inefficace. Si nous avions simplement laissé le nouveau virus circuler, protégé les groupes à risque, isolé et soigné les malades, nous aurions connu un minimum de dégâts. Ce sont les mauvaises mesures politiques qui se sont montrées et se montrent encore les plus destructrices.
Pour toutes ces raisons, je vous invite à voter NON au durcissement de votre Loi Covid le 28 novembre prochain, et donner le signal du retour à la raison et à la vraie science parmi les nations.
Professeur Christian Perronne
Notre grand socio-philosophe nous dit ceci à l’aube de ses 100 ans :
C’est là toute la « magie » de l’emprise, tout le monde ou presque se rend compte de ce qui se passe, mais peu de personnes réussissent à se l’avouer car il est bien plus angoissant de se dire que nous vivons sous un régime autoritaire, plutôt que de nous dire que nous sommes victimes d’un virus. Un virus contre lequel nous avons un vaccin, une épidémie que nous pouvons tenter de combattre. Le niveau de contrôle ressenti par l’individu est ainsi déterminant dans sa prise de conscience.
C’est donc sous couvert d’un virus que nous avons vu un vocabulaire guerrier émerger, en effet d’après Emmanuel Macron : « nous sommes en guerre », nous devons « nous battre contre le virus », « prendre des mesures exceptionnelles », et ce « quoi qu’il en coûte ».
Or si nous étions réellement face à une problématique de santé publique, le champ lexical ne devrait-il plutôt pas être agrémenté de mots tels que « soigner », « guérir », « prévenir » ?
Les médecins et les soignants qui parlent de prévention (de vitamine D par exemple) deviennent des charlatans. On nous dit même que la vitamine D est dangereuse et toxique, alors qu’elle est encore prescrite par les pédiatres aux nourrissons afin qu’ils puissent renforcer leur système immunitaire pour se protéger des virus. Il en va de même pour tous les traitements : hydroxychloroquine, Ivermectine, tout ce qui semble fonctionner pour soigner les gens atteints de ce virus est dénigré. Les médecins qui les prescrivent sont pourchassés, renvoyés, traités de tous les noms alors que, dans le même temps, des centaines d’études émergent pour montrer leur efficacité.
Le but ne peut donc pas être de se débarrasser du virus et encore moins de soigner les gens. Pire encore, dans quelle démocratie qui a à cœur la santé de ses citoyens, les gens sont-ils interdits d’hôpitaux s’ils n’ont pas leur « pass sanitaire » ? Dans quel monde, en pleine pandémie, alors qu’on nous dit que toutes les mesures qui sont prises sont prises pour éviter l’engorgement de l’hôpital public, on renvoie les soignants pendant qu’on ferme des lits ? Ajoutons que la situation est similaire dans plusieurs pays du monde (Australie, Canada…).
Le double discours, utilisé dans tout système pervers, consiste à dire tout et son contraire. Cela crée une dissonance cognitive dans l’esprit des personnes qui deviennent incapables de déterminer ce qu’on leur demande. Le déni permet alors de diminuer le niveau de tension interne : puisqu’il est impossible de trouver une logique dans toute cette histoire, on va se protéger par le déni. Au fond, nous savons ce qu’il en est, mais de remettre en question la société, ses mécanismes ou simplement de penser que le gouvernement ne souhaiterait pas notre bien nous amène à éprouver de l’angoisse. Pour s’en prémunir, il ne reste plus que le déni. C’est ainsi que rapidement, on peut être amené à se complaire dans l’idée que « les réfractaires sont des complotistes » ou encore que « le gouvernement est incompétent ».
Le déni, c’est le mécanisme de protection psychologique qui est souvent utilisé par les victimes de violences et d’abus, car c’est ce qui protège le psychisme d’un effondrement dépressif.
Une personne dans le déni ne cherche pas à s’informer car elle connaît la réalité, elle essaie simplement de s’en protéger. Elle a besoin d’avoir des informations sur les mécanismes de la manipulation. Elle a besoin de comprendre que oui, ce qu’elle ressent est légitime, qu’elle n’est pas réellement folle, pour pouvoir redonner sa folie apparente à la personne à qui elle revient de droit.
La victime a également besoin de beaucoup de soutien, car c’est un chemin extrêmement difficile que celui de la prise de conscience.
Si vous essayez de faire sortir quelqu’un du déni en le menaçant, vous n’y arriverez jamais. Vous devez au contraire rassurer, écouter, qu’il s’agisse de doutes, d’interrogations ou d’objections. C’est un processus qui se fait toujours par étapes : la personne semble avoir compris, puis tout d’un coup elle est de nouveau dans un déni profond car elle n’a pas réussi à gérer l’angoisse que la réalité lui a fait ressentir.
C’est pourquoi il est absolument primordial de ne pas se diviser. Oui, les gens sont sous l’emprise du gouvernement et collaborent mais ils font au final simplement ce qui leur semble le mieux pour se protéger de ce qui nous attend, car ils savent aussi bien que nous ce qu’il en est de la réalité.
Voilà pourquoi il est devenu inutile d’essayer de réveiller les gens : ils savent déjà tout ! La meilleure chose à faire est de les aider à accepter cette réalité afin que nous puissions trouver tous ensemble une issue à cette crise. Soyons-là les uns pour les autres, comprenons que chacun fait ce qu’il peut à son niveau, même si quand on regarde la situation on est en droit d’être terrifié du comportement des gens. Or pour la plupart, ce n’est pas leur comportement qui se manifeste, mais simplement une projection des actes et paroles des personnalités perverses qui nous gouvernent.
Nous sommes tous humains mais nous n’avons pas tous les mêmes raisonnements, les mêmes capacités ou aptitudes, et pour certains d’entre nous, se sentir plus en sécurité revient à faire ce qu’on nous demande. Obéir est alors un moyen de se sentir un peu moins en danger, même en ayant compris de quoi il est réellement question : car plus personne à ce stade ne peut nier que tout ceci n’a rien de sanitaire.
Inutile donc de tenter de « réveiller » les gens en plein déni, on ne peut pas dénier quelque chose qu’on ne sait pas. Il est par contre nécessaire d’être plus que jamais compatissant, c’est à dire « se mettre à leur place » pour comprendre, de manière individuelle, quelles sont leurs peurs, et quels seraient les meilleurs moyens pour parvenir à leur faire reprendre conscience de la réalité.
Il s’agit d’un travail absolument titanesque, mais c’est grâce à la compréhension, à la douceur, que l’union sera à nouveau possible. N’oublions pas que si nous ne sommes pas capables de tous nous unir, nous finirons tous broyés par le système pervers et absolument monstrueux qui se montre à nous.
La compassion, l’entraide et l’union deviennent alors les seules armes contre les fous. Étant incapables d’empathie, c’est bien la seule arme que nous ayons et dont ils ne disposent pas : notre humanité. Il ne tient qu’à nous de nous en servir, afin d’aider ceux qui ont peur et de lutter pour l’Etat de droit, pour la dignité humaine et pour le bien-être du plus grand nombre, ensemble et non plus les uns contre les autres.
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Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.
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Albert Einstein
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Bonus :
"Pourquoi se faire vacciner ?"
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"Penser est dangereux mais ne pas penser
est plus dangereux encore..."
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"Le pouvoir jaillit des hommes
quand ils agissent ensemble. "
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Hannah Arendt
Un tigre et un âne se croisent sur une prairie.
L’âne dit au tigre :
- L'herbe est bleue.
Le tigre rétorque :
- Non, l'herbe est verte.
La dispute s'envenime et tous deux décident de la soumettre à l'arbitrage du lion, le "roi de la jungle". Bien avant d'atteindre la clairière où le lion se reposait, l’âne se met à crier :
- Votre Altesse, n'est-ce pas que l'herbe est bleue ?
Le lion lui répond :
- Effectivement, l'herbe est bleue.
L’âne se précipite et insiste :
- Le tigre n'est pas d'accord avec moi, il me contredit et cela m'ennuie. S'il vous plaît, punissez-le !
Le lion déclare alors :
- Le tigre sera puni de 5 ans de silence.
L’âne se met à sauter joyeusement et continue son chemin, heureux et répétant :
- L'herbe est bleue... l'herbe est bleue...
Le tigre accepte sa punition, mais demande une explication au lion :
- Votre Altesse, pourquoi m'avoir puni ? Après tout, l'herbe n'est-elle pas verte ?
Le lion lui dit :
- En effet, l'herbe est verte.
Le tigre, surpris, lui demande :
- Alors pourquoi me punissez-vous ???
Le lion lui explique :
- Cela n'a rien à voir avec la question de savoir si l'herbe est bleue ou verte. Ta punition vient du fait qu'il n'est pas possible qu'une créature courageuse et intelligente comme toi ait pu perdre son temps à discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions.
Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n'ont aucun sens... Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves qu'on leur présente, ne sont pas en mesure de comprendre. Et d'autres, aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, ne souhaiteront jamais qu'une seule chose : avoir raison même s'ils ont tort.
Or quand l'ignorance crie, l'intelligence se tait.
Ta paix et ta tranquillité n'ont pas de prix...
Auteur inconnu
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Extrait d'un discours prononcé par Alexandre Soljenitsyne
à l’Université d’Harvard, le 8 juin 1978.
Invité par le gouvernement américain à condamner le système communiste, Soljenitsyne, dans une brillante démonstration, renvoie dos à dos l'Ouest et l'Est gangrénés par un même matérialisme destructeur, et attire l'attention sur le risque d'épuisement spirituel qui guette notre civilisation moderne, et tout spécialement ses dirigeants intellectuels et politiques.
(...)
La presse, aussi, bien sûr, jouit de la plus grande liberté. Mais pour quel usage ? Il n’y aucune espèce de responsabilité morale à l’encontre de la distorsion des faits, ou de l’exagération. Quelle responsabilité s’exerce sur le journaliste, ou sur un journal, à l’encontre de son lectorat, ou de l’histoire ? S’ils ont trompé l’opinion publique en divulguant des informations erronées, ou de fausses conclusions, si même ils ont contribué à ce que des fautes soient commises au plus haut degré de l’Etat, avons-nous le souvenir d’un seul cas, où le dit journaliste ou le dit journal ait exprimé quelque regret ? Non, bien sûr, cela porterait préjudice aux ventes. De telles erreurs peut bien découler le pire pour une nation, le journaliste s’en tirera toujours. Il pourra même écrire l’exact opposé de ce qu’il a pu dire précédemment avec un aplomb renouvelé.
Etant donné que l’on a besoin d’une information crédible et immédiate, il devient obligatoire d’avoir recours aux conjectures, aux rumeurs, aux suppositions pour remplir les trous, et rien de tout cela ne sera jamais réfuté ; ces mensonges s’installent dans la mémoire du lecteur. Combien de jugements hâtifs, irréfléchis, superficiels et trompeurs sont ainsi émis quotidiennement, jetant le trouble chez le lecteur, et le laissant ensuite à lui-même ?
La presse peut jouer le rôle d’opinion publique, ou la tromper. De la sorte, on verra des terroristes peints sous les traits de héros, des secrets d’Etat touchant à la sécurité du pays divulgués sur la place publique, ou encore des intrusions sans vergogne dans l’intimité de personnes connues, en vertu du slogan : « tout le monde a le droit de tout savoir ». Mais c’est un slogan faux, fruit d’une époque fausse ; d’une bien plus grande valeur est ce droit confisqué, le droit des hommes de ne pas savoir, de ne pas voir leur âme divine étouffée sous les ragots, les stupidités, les paroles vaines. Une personne qui mène une vie pleine de travail et de sens n’a absolument pas besoin de ce flot pesant et incessant d’information. (…)
La hâte et la superficialité, telles sont les maladies mentales du vingtième siècle et nulle part elles ne sont plus sensibles que dans la presse. Une analyse profonde d’un problème ? Mais il s’agirait pour la presse d’un véritable anathème ; cela est contraire à sa nature. Elle préfère étaler des formules à sensations.
En l’état, la presse est devenue le pouvoir le plus puissant dans les pays occidentaux, bien plus que le législatif, l’exécutif ou le judiciaire. Demandons-nous : en vertu de quelle loi a-t-il été élu ? Devant qui est-il responsable ? Dans l’Est communiste, le journaliste est clairement payé comme agent de l’Etat. Mais qui a élu les journalistes occidentaux à leur niveau de pouvoir, pour combien de temps et avec quelles prérogatives ?
Autre chose ne manquera pas de surprendre un observateur venu de l’Est totalitaire, avec sa presse rigoureusement univoque : on découvre un courant général d’idées privilégiées au sein de la presse occidentale dans son ensemble, une sorte d’esprit du temps, fait de critères de jugement reconnus par tous, d’intérêts communs, la somme de tout cela donnant le sentiment non d’une compétition mais d’une uniformité. Il existe peut-être une liberté sans limite pour la presse, mais certainement pas pour le lecteur : les journaux ne font que transmettre avec énergie et emphase toutes ces opinions qui ne vont pas trop ouvertement contredire ce courant dominant.
Sans qu’il y ait besoin de censure, les courants de pensée, d’idées à la mode sont séparés avec soin de ceux qui ne le sont pas, et ces derniers, sans être à proprement parler interdits, n’ont que peu de chances de percer au milieu des autres ouvrages et périodiques, ou d’être relayés dans le supérieur. Vos étudiants sont libres au sens légal du terme, mais ils sont prisonniers des idoles portées aux nues par l’engouement à la mode. Sans qu’il y ait, comme à l’Est, de violence ouverte, cette sélection opérée par la mode, ce besoin de tout conformer à des modèles standards, empêchent les penseurs les plus originaux d’apporter leur contribution à la vie publique et provoquent l’apparition d’un dangereux esprit grégaire qui fait obstacle à un développement digne de ce nom.
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Une idéologie est précisément ce que son nom indique :
elle est la logique d'une idée:
L'émancipation de la pensée à l'égard de l'expérience.
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