J'ai vu l'enfant courir...
j'ai vu l'enfant jouer...
Et j'ai compris d'un coup ce qu'il fallait comprendre...
Et j'ai vu, ô merveille, tout ce qu'il fallait voir...
Et le peu qu'il fallait pour faire fleurir l'avenir :
Respirer en silence dans le souffle du vent
Regarder sans frémir tomber les murs anciens
Accueillir joyeusement toutes les miettes du temps
Ne plus lâcher, enfin, les fils de son destin...
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La Licorne
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