Je compatis avec tous ces gens qui doivent remettre leur commerce (de toute une vie parfois), ou ont dû le faire depuis mars, avril ou mai, déjà.
Je compatis avec tous ces gens inconscients, trompés, qui ne voient pas toute l'horreur qui vient, après autant de destruction de l'économie, de vie sociale et de ressources, au profit de quelques-uns.
Je compatis avec tous ces gens qui ne peuvent plus faire rire, pleurer, vibrer car le masque est devenu la nouvelle religion d'une certaine humanité hypnotisée et terrorisée.
Je compatis avec tous ces gens qui ne peuvent plus danser, chanter, jouer de cette musique qui adoucit les moeurs ou qui galvanise les émotions, rassemblant, effaçant les différences et les conflits l'espace d'un concert.
Je compatis avec nos enfants, nos adolescents à qui certains, désinformés, disent qu'ils doivent renoncer à leur nature car leur peur de la mort est pour eux l'idéal de vie.
Je compatis avec ces personnes âgées, effrayées, apeurées, non par la mort, proche, mais par cette terrible maladie qui fait mettre un tube dans les bouches, ou fait mourir seul loin des siens et pour cela comme pour le reste, je tiens les "grands" médias hautement responsables.
Je compatis avec les médecins honnêtes qui ont vu comment une certaine science froide et calculatrice a voulu prendre possession de leur art, de leur bienveillance et de leur expertise qui, pourtant, aujourd'hui, serait si précieuse à la population tétanisée.
Je compatis avec tous les soignants, de tous métiers, que personne n'a écouté toutes ces années, qui aujourd'hui paient les erreurs, les décisions et les mensonges des autres.
Je compatis avec la vérité, bafouée, avec le bon sens, foulé au pied, et avec la normalité, transfigurée aujourd'hui par ce masque horrible, au sens propre comme au sens figuré.
Demain sera un autre jour pour repartir au combat. Ce soir, je broie du noir.
Nous avons un management à la peur, et ce management à la peur nous fait faire table rase de questions profondément métaphysiques sur la vie humaine.
C’est-à-dire, qu’est-ce que vivre ? Est-ce que vivre, c’est survivre ?
Est-ce qu’à un moment donné, on a demandé aux personnes âgées, qu’on a privées de tout lien affectif, est-ce qu’on leur a demandé ce qu’elles préféraient ?
C’est-à-dire peut-être, vivre une semaine mais dans la tendresse de leurs proches, ou vivre 10 ans dans un univers tel qu’on nous le présente ?
Et ce choix-là c’est un choix que chacun doit faire en conscience, c’est-à-dire que c’est le choix d’Achille quand, à la guerre de Troie, sa mère vient le voir, et elle lui dit :
« Voilà attention, Achille, tu as le choix. Soit tu vas mener une vie bien confortable, avec ta femme, tes enfants, tout ça, tu seras heureux puis tu vivras longtemps, soit tu vas aller à Troie, mais à Troie tu vas mourir jeune, mais tu accompliras des choses héroïques qui seront connues de tout temps dans toute l’Histoire de l’humanité. »
Nous sommes en 2020 et nous connaissons
les exploits d’Achille. Donc ce choix de la vie héroïque, il
doit être laissé à tout un chacun. Et ça, ça me
paraît extrêmement important, c’est-à-dire qu’on nous
supprime le droit à la vie héroïque.
Le droit à la vie
héroïque. Et est-ce que Saint-François d’Assise, il s’est
demandé s’il allait attraper la lèpre quand il est allé aider
les lépreux ? Et quand il a vécu avec eux ? C’est le choix de
la vie héroïque. C’est-à-dire à un moment donné qu’est-ce
que c’est que cette vie héroïque ?
Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé :
« Les masques sont inutiles si vous n'êtes pas malade,
si vous n'avez pas été personne contact proche de personnes malades... »
« J'insiste, l'usage du masque en population générale
n'est pas recommandé et n'est pas utile. »
Jérôme Salomon, directeur général de la Santé :
« Je
pense qu'il y a un consensus très clair aujourd'hui pour dire :
il ne
faut surtout pas avoir de masques pour le grand public ;
ça n'a pas
d'intérêt et c'est même presque faussement protecteur... »
.
29 juillet 2020
Vivre masqué en permanence dans les espaces clos et à l’extérieur alors que ce virus circule à bas bruit est un non sens total.
Et quoi qu’en pensent les adhérents au masque obligatoire qui n’y
voient toujours rien d’autre qu’une simple mesure d’hygiène envers les
autres,- ce qui reste encore à démontrer -, c’est toute la vie
quotidienne qui est affectée et durablement. Car tout est à présent
soumis au règne du masque obligatoire, les moindres gestes, la moindre
action, les moindres déplacements, les visites, les rendez-vous, c’est
toute notre vie quotidienne qui est à présent régie et rythmée par ce
régime du masque : sortir, faire ses courses, aller chez le coiffeur, au
restaurant, dans un bar, un musée, au cinéma, faire du sport, de la
danse, etc etc.
Qu’en sera-t-il demain?
Et si ce régime est imposée aujourd’hui dans des conditions
sanitaires saines, qu’en sera-t-il lorsque les autres coronavirus
reviendront bientôt? Au moindre rhume, aux moindres symptômes grippaux, que fera t-on? Si
ces contraintes limitantes drastiques sont imposées alors qu’elles ne
se justifient pas aujourd’hui, à quelles mesures aurons-nous droit à la
saison des grippes? Dans ces conditions, il est clair que ce régime
sera maintenu sans aucune limite de temps. C’est un peu comme si on
avait érigé un immense barrage face à une hypothétique vague démesurée,
un tsunami dont la survenue est loin d’être certaine. C’est un peu aussi
comme le désert des Tartares avec sa forteresse érigée contre un ennemi
qui ne venait jamais.
Nous avons basculé dans un univers de
précaution absolue visant l’asepsie et le risque zéro pour préserver la
vie et nous sommes en réalité entrain de perdre la vie. Car la vie n’est
pas la survie. Lorsque vous marchez dans une rue commerçante de
votre quartier et qu’un inconnu masqué vous fonce dessus pour vous
prévenir que la police vient de verbaliser deux personnes pour non port
du masque alors que rien n’indique qu’il est obligatoire dans ce
secteur, vous réalisez qu’il se passe quelque chose qui n’a strictement
rien à voir avec la santé.
Lorsque vous prenez les transports en commun
et que des patrouilles de police sanitaire arpentent la plateforme en
dévisageant les passagers, vous comprenez que ce monde est devenu
invivable. Lorsque vous entrez dans votre bistrot familier et qu’on
exige de vous de mettre votre masque pour faire 2m50, et qu’en vous
installant, la serveuse masquée vous présente un carnet dans lequel vous
êtes invité à indiquer votre nom et votre numéro de téléphone pour être
autorisé à manger, vous comprenez que rien ne sera jamais plus comme
avant et que la joie, le plaisir de sortir, la convivialité, les
échanges et les partages dans ces conditions, c’est terminé.
Un régime de dictature sanitaire
Je suis désolé pour toutes les personnes qui approuvent ce régime de
dictature sanitaire, sincèrement, car je pense qu’elles ont perdu leur
sens commun, leur bon sens, leur faculté de juger et de discriminer. Et
je le pense sincèrement. Ces personnes qui en insultent d’autres sont en
réalité atteintes d’un autre virus bien plus toxique, celui de
l’intoxication médiatique et du formatage des cerveaux alimenté et
entretenu par la propagande médicale et politique anxiogène et contre
lequel il n’y a aucun remède ni aucun vaccin.
Ce masque qu’ils
exigent parfois avec violence au nom de leur santé en masque en réalité
un autre, celui qui voile leur conscience et surtout leur liberté de
conscience, de penser, d’apprécier et d’évaluer correctement la
situation, celui qui voile la raison au profit du fantasme de la maladie
mortelle qui rôde à chaque coin de rue, celui de la peur panique d’être
contaminé par la peste.
D’abord il y a eu un virus. Ensuite des
malades, puis des morts. Comme chaque année à la même saison, cette
année l’aire des morts aura juste été plus concentrée sur une plus
courte période. Mais au total, comparé aux pics épidémiques annuels
et saisonniers? Prenez la peine honnêtement de regarder un graphique de
santé publique étalé sur les dernières années.
C’est la visibilité de cette épidémie qui a choqué les consciences et
construit une image, une représentation erronée de la réalité, une
discordance, ce sont les discours et les messages changeants, les
injonctions contradictoires et paradoxales, les conflits d’intérêts de
toute catégorie, l’instrumentalisation, la récupération et
l’exploitation politiques de l’épidémie qui ont brouillé la lisibilité
correcte et rationnelle de cet épisode. Oui il y a eu une épidémie due à un coronavirus dont l’origine demeure mystérieuse pour moi et pour d’autres.
La peur panique d’être contaminé par la peste / Le syndrome du canari dans la mine
Oui les plus fragiles et les plus âgés en ont été victimes. Soit. Et
alors? Est-ce une raison suffisante pour imposer ce régime de dictature
sanitaire totalement disproportionné au moment où nous avons besoin de
légèreté et d’air? Est-ce une raison pour enfermer et astreindre
toute une population au moment où rien ne le justifie lorsqu’on regarde
les courbes des hospitalisations et des décès?
Et après? Le contrôle électronique et numérique des contaminés? Des codes de couleurs? Un bracelet électronique pour les pestiférés? Et
puis pourquoi faire croire que ce régime prendra fin avec un vaccin
alors que l’on sait parfaitement bien qu’aucun vaccin contre un
coronavirus n’a jamais vraiment fonctionné? Si les vaccins contre la
grippe saisonnière fonctionnaient massivement, on le saurait me semble
t-il. A t-on éradiqué la grippe avec un seul vaccin?
Alors j’avoue,
oui, j’avoue et je reconnais volontiers que je suis atteint d’un
syndrome très connu: celui du canari dans la mine. Vous savez, cet
oiseau que les mineurs emportaient pour les prévenir du gaz méthane qui
s’échappait du charbon, un gaz incolore inodore et indétectable. Lorsque que le canari s’endormait, ou mourait, il était temps de sortir.