lundi 30 novembre 2020

Se syntoniser pour rebâtir un meilleur monde


Vidéo censurée, à voir maintenant, ICI

 

  

Notre Terre est en train d’effectuer 
une ascension de sa fréquence de Résonance, 
c’est-à-dire de sa fréquence vibratoire essentielle. 
Les scientifiques de la Terre, les physiciens et les géophysiciens 
la connaissent sous le nom de Résonance de Schumann.

La Résonance de Schumann est considérée par les géophysiciens
 
A partir de 1987 cette fréquence vibratoire s’est lentement accélérée, 
et depuis 1997, s’accélère de plus en plus. 
 
Ces phénomènes produisent des changements de plus en plus rapides 
à tous les niveaux, physique, psychique et spirituel, 
ou en d’autres mots, une accélération du processus évolutif. 
 
C’est ce "battement de coeur" qui donne le rythme 
à toutes les formes de vie existant sur cette Terre,
 y compris celui des êtres humains. 
Cette augmentation importante de fréquence 
(de 7.8 hertz à 13 hertz) 
influe donc considérablement sur nos vies 
sans que nous n’en ayons conscience.
 
 


Chaque cellule, chaque particule de notre corps, 
possède sa propre fréquence en harmonie depuis des millénaires 
avec la fréquence terrestre. 
Cette brusque modification fréquentielle engendre un stress considérable 
sur tout notre être et notre survie dépendra de notre capacité 
à nous adapter rapidement à cette nouvelle réalité. 
Ce passage sera d’autant plus pénible 
que la personne résiste au changement en cours, 
et a un mode de vie déséquilibré.

Nos cellules étant de minuscules piles électriques, 
elles peuvent être facilement influencées 
par un changement de fréquence de l’environnement. 
De plus, notre cerveau produit des ondes qui vibrent en harmonie
 avec la fréquence terrestre, notamment les ondes alpha (8 à 12 hertz).
 
Chez les êtres humains, les fréquences inférieures à 12 hertz 
correspondent aux états de détente, de somnolence, d’hypnose… 
alors que celles supérieures à 12 hertz – 
qui sont celles qui prédominent actuellement - 
correspondent aux états d’énervement, d’anxiété, 
de travail cérébral intense… 
ce que l'on rencontre chez beaucoup de personnes aujourd’hui. 
 
Le changement de vibration terrestre crée des perturbations, 
qui ont des répercussions sur le fonctionnement des organes et des hormones,
 induisant divers troubles fonctionnels. 
Cela durera tant que les personnes ne se seront pas mises 
au diapason avec la nouvelle vibration ambiante.

Il est probable que l’abondance des champs électromagnétiques artificiels 
(téléphonie mobile, radio, télévision, radar, antennes relais,
 courant électrique, écrans, wifi, Bluetooth, 
ligne haute tension, téléphone sans fil…) 
dans lesquels baignent de manière permanente les êtres humains, 
ne facilite pas cette harmonisation avec les fréquences de la Terre. 
Ils ont tendance à brouiller les réceptions vibratoires du corps, 
aggravant les troubles ressentis.
(...)


Qu’est-ce qui peut faciliter cette transition ?
 
Notre façon, en tant qu’individu ou collectivité, 
de réagir à ce déséquilibre va déterminer la qualité de notre passage 
 
 Plus nous serons en harmonie avec les nouvelles énergies, 
plus nous pourrons facilement passer à travers ce chaos temporaire 
et nous adapter à cette fréquence plus élevée.

Notre capacité d’adaptation dépendra d’abord de notre ouverture d’esprit, 
de la prise de conscience que nous ne sommes pas, en tant qu’humains, 
des êtres supérieurs, dominateurs et indépendants 
mais que nous faisons partie d’un tout 
et que nous sommes tout simplement des maillons 
de la grande chaîne cosmique. 
.
 
 


Remarque :
 
On peut d'ailleurs se demander 
si ce n'est pas là la véritable raison
 
Cette pratique, en apparence totalement inoffensive,
et pratiquée par des millions de chinois avant l'an 2000, 
ayant été, depuis, très cruellement réprimée...
 
Je me dis que cette pratique , 
qui permet l'harmonisation du corps et de l'esprit,
et qui part du principe que nous sommes 
des êtres d'énergie, puisant leurs forces 
dans la Terre et dans le Ciel...
doit avoir une bien grande "puissance"
pour qu'on éprouve le besoin
de la persécuter aussi sauvagement...
.
 
La Licorne
.
 



 

dimanche 29 novembre 2020

Pieds nus sur la terre sacrée

 

 

Prends exemple sur l'indien des plaines:
 
Le Lakota était empli
de compassion et d'amour pour la nature.
Il aimait la terre et toutes les choses de la terre,
et son attachement grandissait avec l'âge.
Les vieillards étaient -littéralement - épris du sol
et ne s'asseyaient ni ne se reposaient à même la terre
sans le sentiment de s'approcher des forces maternelles.
La terre était douce sous la peau
et ils aimaient à ôter leurs mocassins
et à marcher pieds nus sur la terre sacrée.
 
Leurs tipis s'élevaient sur cette terre dont les autels étaient faits.
L'oiseau qui volait dans les airs venait s'y reposer 
et la terre portait, sans défaillance, tout ce qui vivait et poussait. 
 
 ...C'est pourquoi les vieux Indiens se tenaient à même le sol
plutôt que de rester séparés des forces de vie.
S'asseoir ou s'allonger ainsi
leur permettait de penser plus profondément,
de sentir plus vivement.
Ils contemplaient alors avec une plus grande clarté
les mystères de la vie et se sentaient plus proches
de toutes les forces vivantes qui les entouraient.
 
Le vieux Lakota était un sage.
Il savait que le coeur de l'homme 
éloigné de la nature
devient dur.
Il savait que l'oubli du respect dû
à tout ce qui pousse et à ce qui vit
amène également à ne plus respecter l'homme.
Aussi maintenait-il les jeunes
sous la douce influence de la nature.
.
 
Standing Bear, chef Lakota
"Pieds nus sur la terre sacrée"
.



 

 

S'ancrer à la Terre

 
 
S'enraciner

 
 
 
La méthode est simple. 
D’abord, on s’installe confortablement, au calme, 
 puis on porte notre attention sur notre respiration, 
on l’observe,  on s’immisce, 
on EST la respiration.
 
Ensuite, on imagine que nous avons 
de grosses et de petites racines 
qui partent du dessous de nos pieds, de nos orteils.
 On peut tout se permettre,
 elles peuvent être lumineuses, en couleur, 
on peut même voir de l’énergie qui circule, 
ou alors imaginer des filaments. 
On laisse son imagination oeuvrer
on crée nos propres racines.
 
Puis, au gré de notre respiration, 
on laisse s’enfoncer nos racines,
 filaments, liens jusqu’au coeur de la terre
 Toujours en respirant profondément, 
on fait remonter dans nos racines 
et jusque dans nos pieds, 
chevilles, mollets, jambes, bassin
 l’énergie de la terre. 
.
 
Texte entier  ICI
 
 
 


samedi 28 novembre 2020

vendredi 27 novembre 2020

Debout !

 


 

- Lève-toi ! Marche ! Debout !
- Mais je suis déjà debout ! 

- Non, mets-toi encore debout
dans ce que tu crois être debout! 
Ouvre les yeux !

- Mais j’ai déjà les yeux ouverts !
 
- Ouvre les yeux
dans les yeux que tu crois avoir ouverts ...
.

Christiane Singer
"Du bon usage des crises"
.

 

 

 

jeudi 26 novembre 2020

Cette force en nous...

 

 

Sur quel "socle" avons-nous basé notre vie ?
Si c'est sur ce que nous ont dit nos parents, 
nos professeurs, les autorités en place, les médias...
nous risquons d'être très très déstabilisés 
dans les prochains temps...

Car le Mensonge avec un grand M,
est en train d'apparaître au grand jour...
Le vrai visage de nos dirigeants 
et de nos institutions
est en train d'émerger...
et de nous laisser dans la stupeur.

Il est donc urgent, face à cette situation de "désillusion"
de retrouver un "socle" sûr, une base sur laquelle s'appuyer...
quelque chose ou quelqu'un en quoi ou en qui faire confiance...

A qui allons-nous faire confiance dans ce monde en chaos, 
qui est en train de perdre tous ses repères ?

Eh bien,  je crois que si l'on a vraiment compris 
la "leçon" des événements de 2020, 
on est sur le point de comprendre 
que notre "socle" véritable 
n'est pas à l'extérieur de nous, 
mais qu'il est, et qu'il a toujours été...
 "en nous".
 
 

 
C'est "en nous" et seulement "en nous"
que nous trouverons la force et l'assurance 
nécessaires pour repartir sur de nouvelles bases, 
sur un nouveau paradigme.

Si suffisamment de personnes font cette démarche
de retrouver la Force "en elles"
alors, dans un deuxième temps, 
elles pourront unir leurs forces individuelles
et trouver un avenir commun.

Si suffisamment de personnes retrouvent
tout au fond d'elles-mêmes
leur "pouvoir enfoui", leur "pouvoir créateur", 
alors il sera possible de re-créer , de co-créer
un monde plus beau.
 
Alors, nous aurons coupé nos "fils" de dépendance,
nous cesserons d'être des marionnettes,
et nous retrouverons notre condition d'Homme,
d'Homme avec un grand H.
 
Il est grand temps de retrouver 
notre être "majuscule", 
notre dignité, notre valeur...
 
Il est grand temps
de se mettre "debout"...

.

La Licorne

.
 
 

.

 

 

mercredi 25 novembre 2020

Laisser faire ?



 
 
La véritable santé intérieure consiste à accepter
la réalité sous toutes ses formes.
Mais l’acceptation n’est 
ni résignation, ni soumission.
.

Etty Hillesum

.


 
 
L'histoire est remplie de faits 
montrant la vérité réduite au silence 
 
.
Il devrait y avoir en toute constitution 
un centre de résistance contre le pouvoir prédominant, 
et, par conséquent, dans une constitution démocratique, 
un moyen de résistance contre la démocratie. 

.

Ne laissez personne apaiser sa conscience 
en lui faisant croire qu’il ne peut faire aucun mal 
s’il ne prend pas parti et ne forme pas d’opinion. 
  
Les hommes méchants 
n’ont besoin de rien de plus
 pour atteindre leurs fins, 
que les hommes de bien 
regardent sans rien faire.

.

John Stuart Mill  

.


 Film "I comme Icare" - Expérience de Milgram


 

Ce soir

 

 

Ce soir, je broie du noir.


Je compatis avec tous ces gens qui doivent remettre leur commerce (de toute une vie parfois), ou ont dû le faire depuis mars, avril ou mai, déjà.


Je compatis avec tous ces gens inconscients, trompés, qui ne voient pas toute l'horreur qui vient, après autant de destruction de l'économie, de vie sociale et de ressources, au profit de quelques-uns.


Je compatis avec tous ces gens qui ne peuvent plus faire rire, pleurer, vibrer car le masque est devenu la nouvelle religion d'une certaine humanité hypnotisée et terrorisée. 


Je compatis avec tous ces gens qui ne peuvent plus danser, chanter, jouer de cette musique qui adoucit les moeurs ou qui galvanise les émotions, rassemblant, effaçant les différences et les conflits l'espace d'un concert.


Je compatis avec nos enfants, nos adolescents à qui certains, désinformés, disent qu'ils doivent renoncer à leur nature car leur peur de la mort est pour eux l'idéal de vie.


Je compatis avec ces personnes âgées, effrayées, apeurées, non par la mort, proche, mais par cette terrible maladie qui fait mettre un tube dans les bouches, ou fait mourir seul loin des siens et pour cela comme pour le reste, je tiens les "grands" médias hautement responsables.


Je compatis avec les médecins honnêtes qui ont vu comment une certaine science froide et calculatrice a voulu prendre possession de leur art, de leur bienveillance et de leur expertise qui, pourtant, aujourd'hui, serait si précieuse à la population tétanisée.


Je compatis avec tous les soignants, de tous métiers, que personne n'a écouté toutes ces années, qui aujourd'hui paient les erreurs, les décisions et les mensonges des autres.


Je compatis avec la vérité, bafouée, avec le bon sens, foulé au pied, et avec la normalité, transfigurée aujourd'hui par ce masque horrible, au sens propre comme au sens figuré.


Demain sera un autre jour pour repartir au combat.
Ce soir, je broie du noir.


Pascal Sacré



mardi 24 novembre 2020

Bilan du confinement : le remède pire que le mal ?


 
(...)
La vérité est que le confinement 
(qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre)
crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. 
 
Son bilan mondial n’est associé 
à aucune réduction mesurable de la mortalité 
tandis que son principal résultat observable est d’abord 
de mettre au chômage des centaines de milliers 
et peut-être demain des millions de personnes, 
surtout évidemment parmi les plus fragiles 
(emplois précaires, CDD, intérim, 
personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), 
et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, 
souvent familiales, autres que les commerces de bouche, 
dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. 
 
Gageons que les très grands groupes s’en satisferont 
car ils les rachèteront sans doute demain.
(...)

.

Tribune sur "Regards.fr"

du 29 octobre 2020
.
 
 
Texte entier ICI

Signé par plus de 500 signataires,
universitaires, scientifiques,
 professionnels de la santé, 
du droit, de l’éducation et du social, 
ainsi que des artistes...
.
 
 

Chanson sur 2020...


Petit bilan de l'année 2020
 
 C'est toujours aussi "jubilatoire" 
et "bon pour le moral"... 

Si ça ne tenait qu'à moi, 
...ça serait remboursé par la sécurité sociale...;-)
.
La Licorne
.


 

 

lundi 23 novembre 2020

La naïveté nous tuera-t-elle ?

 

Le mensonge et la crédulité s'accouplent
et engendrent l'opinion.
.
Paul Valéry
.

 

 Pinocchio, le chat et le renard...


 

 Voir, sur ce sujet, cette vidéo de Fabien Moine :

"La naïveté nous tuera-t-elle ?"

(après les 5 premières minutes, vous aurez des...faits, 

et une bonne synthèse de la situation) 

.


 

dimanche 22 novembre 2020

Questions naïves...(suite)

 
Je m'étais déjà posée, récemment, 
au sujet de la "crise du virus"...
 
Voici la suite de mon questionnement... :
 
 

  
Pourquoi a-t-on cherché, dès le début,
un vaccin contre le Covid19, au lieu de favoriser 
les traitements médicamenteux simples et moins coûteux
proposés par quelques médecins expérimentés ?
 
Pourquoi dépense-t-on des milliards en ce sens 
et ne trouve-t-on pas un sou pour augmenter 
le nombre de lits d'hôpitaux
et le nombre des soignants ?
 
Pourquoi tente-t-on un vaccin 
alors que l'immunité définitive 
contre le virus n'est absolument pas assurée ?
(certains ont été contaminés 
deux ou trois fois de suite) 

Pourquoi ne nous dit-on pas 
que les "variantes" actuelles du virus
sont différentes de celles du printemps 
et que cela pose problème
pour un vaccin "efficace" ?
 
Pourquoi nous présente-t-on 
comme "sûr"
un vaccin préparé dans la précipitation
(en un an au lieu des dix ans habituels) ?
 
Pourquoi s'est-on permis
 de "sauter" certaines phases
dans l'élaboration de ce vaccin ?
 
Pourquoi ne nous donne-t-on pas
la composition exacte de ce vaccin 
(nombre d'adjuvants, quantités...etc) ?
 
Pourquoi ne nous parle-t-on pas 
de ses effets secondaires ?
 
Pourquoi a-t-on déjà oublié les aberrations
et les effets délétères du précédent
 
Pourquoi n'est-on pas plus prudent
par rapport à un vaccin "nouveau"
qui n'a jamais été testé, à grande échelle, 
sur l'être humain ? 
 
Pourquoi ne prend-on pas, à son égard,
toutes les précautions qu'on avait prises 
avec l'hydroxychloroquine,
sur laquelle on avait pourtant 
beaucoup plus de "recul"
puisqu'elle était prescrite, sans souci,
depuis des dizaines d'années ?
 
Pourquoi n'est-on pas mieux informé 
du risque d'"emballement immunitaire"
 
Pourquoi est-ce que ses effets potentiels 
sur l'ADN humain
et sur les générations futures
ne sont pas évoqués,
ni pris en compte ?
 

 
 

 
 
Pourquoi un informaticien milliardaire
 s'est-il soudainement découvert,
il y a quelques années, 
 une passion pour la médecine
et pour la vaccination ?
 
Pourquoi avons-nous droit
à une "campagne de promotion" 
aussi intensive du vaccin 
présenté comme l'unique "sauveur" ?
 
Pourquoi, petit à petit, 
nous met-on dans la tête
qu'il faudra le rendre "obligatoire" ? 
 
Pourquoi ne parle-t-on pas
des  profits gigantesques 
que cela va générer 
et de leurs bénéficiaires ?

Et enfin, pourquoi les voix divergentes
à son sujet sont-elles
systématiquement raillées, 
bâillonnées, censurées ?
.
 
La Licorne
 

  + Vidéo à visionner absolument :

"Le vaccin ARN, c'est quoi ?"

.

 
 
 

Une époque passionnante ?


 
 
 
On vit une époque passionnante 
où l'on peut basculer vers le plus sombre
(ou bien) déverrouiller pour aller vers du meilleur.
 
.
.



Vivre ou survivre ?



 

Nous avons un management à la peur, et ce management à la peur nous fait faire table rase de questions profondément métaphysiques sur la vie humaine.

C’est-à-dire, qu’est-ce que vivre ? Est-ce que vivre, c’est survivre ?

Est-ce qu’à un moment donné, on a demandé aux personnes âgées, qu’on a privées de tout lien affectif, est-ce qu’on leur a demandé ce qu’elles préféraient ?

C’est-à-dire peut-être, vivre une semaine mais dans la tendresse de leurs proches, ou vivre 10 ans dans un univers tel qu’on nous le présente ?
Et ce choix-là c’est un choix que chacun doit faire en conscience, c’est-à-dire que c’est le choix d’Achille quand, à la guerre de Troie, sa mère vient le voir, et elle lui dit :  
« Voilà attention, Achille, tu as le choix. Soit tu vas mener une vie bien confortable, avec ta femme, tes enfants, tout ça, tu seras heureux puis tu vivras longtemps, soit tu vas aller à Troie, mais à Troie tu vas mourir jeune, mais tu accompliras des choses héroïques qui seront connues de tout temps dans toute l’Histoire de l’humanité. »

Nous sommes en 2020 et nous connaissons les exploits d’Achille.
Donc ce choix de la vie héroïque, il doit être laissé à tout un chacun. Et ça, ça me paraît
extrêmement important, c’est-à-dire qu’on nous supprime le droit à la vie héroïque.

Le droit à la vie héroïque.
Et est-ce que Saint-François d’Assise, il s’est demandé s’il allait attraper la lèpre quand il est
allé aider les lépreux ? Et quand il a vécu avec eux ?
C’est le choix de la vie héroïque.
C’est-à-dire à un moment donné qu’est-ce que c’est que cette vie héroïque ?

C’est ce qui nous humanise. 

 

Ariane Bilheran

 


  « Celui qui voudra sauver sa vie, la perdra. 
Celui qui acceptera de la remettre entre les mains du Père, 
la retrouvera. »
.
Evangile de Saint Luc
.

.



samedi 21 novembre 2020

Il est temps de dire NON

 

.... 


J'ai dit non
Non non non
Non merci
Non madame
Non sans façon
C'est non non et non

 
J'ai compris nom de nom
Que rien au fond
Que rien ne vaut
Le pouvoir de dire NON

.

Louis Bertignac



jeudi 19 novembre 2020

Les outils du totalitarisme




 
Dans cette vidéo, qui fait suite au documentaire "Hold up"
Ariane Bilheran (*) explique de façon fine et détaillée
par les pouvoirs en place...
pour obtenir notre consentement.
.
 
Une interview exceptionnelle...!
Limpide et percutante, subtile et éclairante...
.


 

 Extrait :

"Les tyrans ont plus d’un tour dans leur sac 
pour soumettre les foules.
Et cette année est le symptôme d’une dégénérescence 
dans laquelle nous sommes depuis très longtemps.
 
Moi déjà en 2010, dans un livre, je parlais de « démocratie totalitaire », 
bah aujourd’hui, je vais vous le dire : on est carrément dans le totalitarisme
ce n’est plus la peine de parler de démocratie, 
car l’opinion du peuple et son consentement : on s’en fout !

L’État décide pour vous.
 Ce que vous faites, où vous allez...(...)
L’État décide qui vous avez le droit de voir, 
qui vous n’avez pas le droit de voir, 
l’État décide pour vous.
L’État pense pour vous.
L’État s’intruse dans l’intime pour vous. "

 
 
(*) Ariane Bilheran est une psychologue et écrivain française,
spécialiste du harcèlement, de la manipulation 
et de la psychologie du pouvoir
.

On peut retrouver le texte intégral de cette interview ICI

.

 

 

 


mercredi 18 novembre 2020

Pions ou pantins

 
 

 
Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que, dans la situation actuelle, 
nous sommes tous des "pions"... qu'on déplace sur un échiquier.
 
Ceux qui "jouent" ce jeu, ont, sur nous, 
un certain nombre de" coups d'avance"... 
et ils nous est très difficile, à nous, pauvres pions,
de voir où l'on veut nous emmener...
 
Parfois, nous nous disons :
"Tiens, cette façon de "jouer" n'est pas très logique..
Tiens, ce n'est pas ce que j'aurais fait..."
Mais nous continuons à n'opposer aucune résistance...
et à avancer dans la partie "en aveugles"...

Un jour, quand nous allons approcher de la fin du jeu,
nous allons comprendre l'"échec et mat" 
qui était "prévu"dès le départ...
et nous risquons de nous réveiller...
.
 
 

 
Une autre comparaison est évidemment l'image du "pantin"...
Nous sommes aussi ce "pauvre pantin", ce Pinocchio
façonné et fabriqué, c'est-à-dire "conditionné", "formaté"...
à qui il arrive toutes sortes d'"aventures" rocambolesques...
 
Vous connaissez l'histoire :
"Manipulé", "grugé" et "maintenu dans l'ignorance",
Pinocchio, le pantin de bois, 
ne retrouvera son "humanité" et sa "liberté"
qu'après le passage dans le "ventre de la baleine"...

Or, nous sommes actuellement, il me semble,
dans ce "ventre"...
 qui, symboliquement, représente le "confinement",
 confinement qui mène à l'intériorisation,
au "retour sur soi",
...puis à la transformation.
 
Nous sommes, à ce moment crucial, où, 
abandonnant nos mensonges sur nous-mêmes, 
nous pouvons enfin  ouvrir les yeux
sur les mensonges autour de nous ...
 
Le ferons-nous  "à temps" ?
 
Toute la question est là...

.
 
La Licorne







Ne pas se tromper d'ennemi...

 

 

L'ennemi est bête : 
il croit que c'est nous l'ennemi 
alors que c'est lui !
.

Pierre Desproges

.

 
Ne nous trompons pas d'ennemi :
 
l'ennemi n'est pas notre voisin, 
ce n'est pas celui qui pense différemment...
 
Ce n'est même pas le virus...
(un virus ne "s'éradique" pas)

L'ennemi , c'est tout ce qui contribue 
à détruire notre "humanité"...

.


 

 
 
 

mardi 17 novembre 2020

A travers la frayeur...jusqu'au bout de l'amour

 

Je deviens convaincu que l’amour est la solution 
à la plupart des problèmes que rencontrent 
les êtres humains dans leur vie.
 
Cela peut sembler une idée simple, convenue,
 et pourtant pratiquement personne ne la met en œuvre, 
car il est souvent difficile d’aimer.
.
 
Laurent Gounelle
"L'homme qui voulait être heureux"
.
 

 


Dansons dans la frayeur, jusqu'à retrouver le calme...

 .

 


Dance me through the panic till I'm gathered safely in...

Fais-moi danser à travers la panique jusqu'à ce que je sois en sécurité

.

Leonard Cohen

.

 

 

lundi 16 novembre 2020

Combat ou élévation ?


 
Depuis le début de la crise,  on nous fait croire
que nous sommes "en guerre"...
et qu'il faut "combattre" ?
Mais combattre quoi ?
 
Un virus invisible et  insaisissable ?
Les personnes qui appliquent, sans sourciller,
les ordres venus d'en haut ?
Ou nos voisins, qui ne font pas ce que, nous, 
nous ferions ?
 
Réfléchissons deux minutes...
Où nous mèneront 
ces conflits et ces "combats" ?
A l'angoisse permanente...
A la guerre civile...
Ou à la délation...
 
Rien de bien réjouissant...en somme.
 
Et si on arrêtait de "combattre" ?
 
Et si , devant cette situation inédite...
on se rappelait ce que disait Einstein :
"Le monde que nous avons créé est le résultat 
de notre niveau de réflexion, 
mais les problèmes qu'il engendre 
ne sauraient être résolus à ce même niveau."

Et si la situation requérait, avant tout, 
un changement de niveau de pensée, 
 
Au lieu de laisser les contradictions nous "déchirer", 
est-ce qu'on ne pourrait pas tenter 
de s'élever au-dessus d'elles ?
De les voir de plus haut, 
selon un nouveau point de vue ?
 
Et si on allait vers
"une conciliation des opposés" ?
 
Et si nous utilisions enfin nos deux "ailes"
pour nous "envoler"...un peu plus haut ? 
:-) 

 

 
Samedi, on m'a envoyé une vidéo
qui m'a fait un bien fou...
et qui m'a redonné espoir...

Je vous la partage...
vous me direz ce que vous en pensez...
 
Attention :
Ce n'est pas la vidéo d'un "lanceur d'alerte", 
ce n'est pas la vidéo d'un psychothérapeute ou d'un sage...
non...il s'agit du discours  d'un homme d'état bolivien !!!
 
Comme quoi, l'espoir ne vient pas toujours 
de là où on l'attend ! ;-))
.
 
La Licorne
.

 


 

dimanche 15 novembre 2020

Je m'auto-autorise...

 

 

 

Autorisation à remplir quotidiennement

 

Je soussigné(e) ...................................

née sur la Terre au vingtième siècle 

en des années de relative liberté...

m'autorise

en vertu de la Loi du Bon Sens,

et des Droits de l'Homme et de la Femme ,

 à respirer,  à vivre et à aimer...

24 h sur 24.

.

La Licorne

.



Qi Gong et santé

 


 Respirer, 

c'est vivre !

 


 

 

samedi 14 novembre 2020

Ah, m'asseoir sur un banc...

 

 Réécriture d'un grand classique... ;-)



 

Ah, m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a...
Me rappeler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
Le temps où y'avait pas toutes ces lois

Ah, m'asseoir et r'garder tous ces pigeons idiots
Qui gobent tout : et le vrai et le faux
Et partir d'un grand rire qui lézarde les murs
Qui se fout de toutes les dictatures...
 
Te raconter un peu comment c'était avant
Les moments fabuleux qu'on volait tout le temps
Vie sans masque et le droit d'être fou et vivant...

 Respirer dans le vent...
Respirer dans le vent...
.
 
La Licorne

 



 

vendredi 13 novembre 2020

Le masque, la vie et le canari

 

Printemps 2020 :

Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé : 
« Les masques sont inutiles si vous n'êtes pas malade, 
si vous n'avez pas été personne contact proche de personnes malades... »
« J'insiste, l'usage du masque en population générale 
n'est pas recommandé et n'est pas utile. »
 
Jérôme Salomon, directeur général de la Santé : 
« Je pense qu'il y a un consensus très clair aujourd'hui pour dire : 
il ne faut surtout pas avoir de masques pour le grand public ; 
ça n'a pas d'intérêt et c'est même presque faussement protecteur... »

 .

 

 

29 juillet 2020

Vivre masqué en permanence dans les espaces clos et à l’extérieur alors que ce virus circule à bas bruit est un non sens total.

Et quoi qu’en pensent les adhérents au masque obligatoire qui n’y voient toujours rien d’autre qu’une simple mesure d’hygiène envers les autres,- ce qui reste encore à démontrer -, c’est toute la vie quotidienne qui est affectée et durablement. Car tout est à présent soumis au règne du masque obligatoire, les moindres gestes, la moindre action, les moindres déplacements, les visites, les rendez-vous, c’est toute notre vie quotidienne qui est à présent régie et rythmée par ce régime du masque : sortir, faire ses courses, aller chez le coiffeur, au restaurant, dans un bar, un musée, au cinéma, faire du sport, de la danse, etc etc.

 

Qu’en sera-t-il demain?


Et si ce régime est imposée aujourd’hui dans des conditions sanitaires saines, qu’en sera-t-il lorsque les autres coronavirus reviendront bientôt?
Au moindre rhume, aux moindres symptômes grippaux, que fera t-on?
Si ces contraintes limitantes drastiques sont imposées alors qu’elles ne se justifient pas aujourd’hui, à quelles mesures aurons-nous droit à la saison des grippes?
Dans ces conditions, il est clair que ce régime sera maintenu sans aucune limite de temps. C’est un peu comme si on avait érigé un immense barrage face à une hypothétique vague démesurée, un tsunami dont la survenue est loin d’être certaine. C’est un peu aussi comme le désert des Tartares avec sa forteresse érigée contre un ennemi qui ne venait jamais.


Nous avons basculé dans un univers de précaution absolue visant l’asepsie et le risque zéro pour préserver la vie et nous sommes en réalité entrain de perdre la vie. Car la vie n’est pas la survie.
Lorsque vous marchez dans une rue commerçante de votre quartier et qu’un inconnu masqué vous fonce dessus pour vous prévenir que la police vient de verbaliser deux personnes pour non port du masque alors que rien n’indique qu’il est obligatoire dans ce secteur, vous réalisez qu’il se passe quelque chose qui n’a strictement rien à voir avec la santé. 

Lorsque vous prenez les transports en commun et que des patrouilles de police sanitaire arpentent la plateforme en dévisageant les passagers, vous comprenez que ce monde est devenu invivable. Lorsque vous entrez dans votre bistrot familier et qu’on exige de vous de mettre votre masque pour faire 2m50, et qu’en vous installant, la serveuse masquée vous présente un carnet dans lequel vous êtes invité à indiquer votre nom et votre numéro de téléphone pour être autorisé à manger, vous comprenez que rien ne sera jamais plus comme avant et que la joie, le plaisir de sortir, la convivialité, les échanges et les partages dans ces conditions, c’est terminé.

 

Un régime de dictature sanitaire

Je suis désolé pour toutes les personnes qui approuvent ce régime de dictature sanitaire, sincèrement, car je pense qu’elles ont perdu leur sens commun, leur bon sens, leur faculté de juger et de discriminer. Et je le pense sincèrement. Ces personnes qui en insultent d’autres sont en réalité atteintes d’un autre virus bien plus toxique, celui de l’intoxication médiatique et du formatage des cerveaux alimenté et entretenu par la propagande médicale et politique anxiogène et contre lequel il n’y a aucun remède ni aucun vaccin.


Ce masque qu’ils exigent parfois avec violence au nom de leur santé en masque en réalité un autre, celui qui voile leur conscience et surtout leur liberté de conscience, de penser, d’apprécier et d’évaluer correctement la situation, celui qui voile la raison au profit du fantasme de la maladie mortelle qui rôde à chaque coin de rue, celui de la peur panique d’être contaminé par la peste.


D’abord il y a eu un virus. Ensuite des malades, puis des morts. Comme chaque année à la même saison, cette année l’aire des morts aura juste été plus concentrée sur une plus courte période.
Mais au total, comparé aux pics épidémiques annuels et saisonniers? Prenez la peine honnêtement de regarder un graphique de santé publique étalé sur les dernières années.

C’est la visibilité de cette épidémie qui a choqué les consciences et construit une image, une représentation erronée de la réalité, une discordance, ce sont les discours et les messages  changeants, les injonctions contradictoires et paradoxales, les conflits d’intérêts de toute catégorie, l’instrumentalisation, la récupération et l’exploitation politiques de l’épidémie qui ont brouillé la lisibilité correcte et rationnelle de cet épisode.
Oui il y a eu une épidémie due à un coronavirus dont l’origine demeure mystérieuse pour moi et pour d’autres.

 

La peur panique d’être contaminé par la peste / Le syndrome du canari dans la mine

Oui les plus fragiles et les plus âgés en ont été victimes. Soit. Et alors? Est-ce une raison suffisante pour imposer ce régime de dictature sanitaire totalement disproportionné au moment où nous avons besoin de légèreté et d’air?
Est-ce une raison pour enfermer et astreindre toute une population au moment où rien ne le justifie lorsqu’on regarde les courbes des hospitalisations et des décès?


Et après?
Le contrôle électronique et numérique des contaminés?
Des codes de couleurs?
Un bracelet électronique pour les pestiférés?
Et puis pourquoi faire croire que ce régime prendra fin avec un vaccin alors que l’on sait parfaitement bien qu’aucun vaccin contre un coronavirus n’a jamais vraiment fonctionné? Si les vaccins contre la grippe saisonnière fonctionnaient massivement, on le saurait me semble t-il. A t-on éradiqué la grippe avec un seul vaccin?


Alors j’avoue, oui, j’avoue et je reconnais volontiers que je suis atteint d’un syndrome très connu: celui du canari dans la mine. Vous savez, cet oiseau que les mineurs emportaient pour les prévenir du gaz méthane qui s’échappait du charbon, un gaz incolore inodore et indétectable.
Lorsque que le canari s’endormait, ou mourait, il était temps de sortir.

 

Michel Rosenzweig