lundi 27 décembre 2021

Le feu de Noël


 

 

Il peut y avoir la nuit la plus longue
Longue nuit de l'âme
Longue nuit du coeur
Mais au centre demeure toujours
L'embryon de la flamme
Qui nourrit la vie
Et réchauffe les graines fertiles
Du futur en sommeil;
 
Que Noël nous réveille à la joie
D'un demain en attente
Qui brûle dans nos rêves
Jamais endormis.
 
Que Noël soit le berceau d'un Nouveau
Qui brûle de prendre chair
Et que notre chair soit prête à le recevoir
Dans chaque espace, douloureux ou lumineux
Espaces vus et accueillis sans condition
Dans la présence simple d'ici et rien d'autre.
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vendredi 10 décembre 2021

Contaminants, les enfants ?

 

 


 Une oncologue parle de la situation des enfants face au virus...

A écouter...et à partager !

 

 

 

jeudi 9 décembre 2021

dimanche 5 décembre 2021

Au revoir, Pierre ...et merci !


 On a perdu un grand homme ! 

(1m65...mais une si belle âme ...)

Mon coeur est triste...


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Et merci aussi à Acouphène et Yannick... :-)
 
(à qui j'ai emprunté les vidéos)
 
 
 
 
 
 

Variants à venir

 


 

VARIANTS A PREVOIR :

(on n'est pas sortis de l'auberge !)


- Le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir.
- Le variant Suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique.
- Pour le variant Bordelais, pas de souci on a les Médoc.
- Le variant Normand est difficile à prévoir : "P'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non".
- Le variant Belge serait redoutable, ça finit généralement par une mise en bière.
- Ne craignez plus le variant Chinois, il est cantonné.
- Par contre, le variant SNCF arrivera plus tard que prévu.
- Contrairement aux apparences, le variant du Bénin serait grave voire dangereux.
- En ce qui concerne le variant Italien, vous en prenez pour Milan.
- De son côté, le variant Ecossais se tient à carreau.
- Apparemment, avec le variant Japonais, il y a du sushi à se faire.
- On parle de l'émergence d'un variant Colombien, mais il semblerait que ce soit de la poudre aux yeux.
- S'agissant du variant Moscovite, c'est un méchant virusse.
- Pour sa part, le variant Corse s'attaque au bouleau puisqu’il est transmis par l'écorce.
- Le premier symptôme du variant Breton, c'est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette chanter.
- Le variant Français du Covid existe déjà, mais il est en grève !

 

 

 

On fait du mal aux gens

 

 

 

 

 

samedi 4 décembre 2021

Quand tout devient fou

 


 

Cet été 2021, j’ai eu l’occasion de venir en France, pays dans lequel je n’avais pas mis les pieds depuis plusieurs années. Ce fut l’occasion pour moi de constater une sérieuse dégradation des relations humaines et des valeurs, terreau sans doute fertile pour accueillir la décompensation paranoïaque en cours.

Il me faudrait peut-être d’abord, pour le lecteur non familier de cette terminologie savante, définir clairement ce qu’est une « décompensation ». La folie au sens propre est une psychose (caractérisée par le déni de réalité : la réalité telle qu’elle existe est rejetée) qui produit un délire (lequel produit une « néo-réalité » dans le discours, c’est- à-dire une narration, plus ou moins incohérente, qui raconte une autre réalité que celle qui existe).  

La plupart du temps, la folie est identifiable, parce que la narration se perd dans un temps et un espace qui ne correspondent pas à l’expérience, et forme une mosaïque juxtaposant des propositions grammaticales sans queue ni tête. Les néologismes (nouveaux mots) abondent, et même le non initié est alors capable d’identifier un délire. Lorsque Marion prise d’un délire maniaque confond son transistor avec son chien Médor, et se promène avec le premier en laisse dans Marseille en lui parlant pour qu’il ne se brûle pas avec les pots d’échappement des voitures, il est tout de même visible pour le néophyte que « quelque chose ne tourne pas rond ».

Mais la psychose paranoïaque se caractérise quant à elle par un délire qui n’est pas aisément identifiable, car il s’apparente à la raison. Il en prend les habits, l’odeur, la couleur, la saveur, mais il n’est pas rationnel, et encore moins raisonnable. Délire de persécution, il a été dénommé « folie raisonnante » au début du XXème siècle par les psychiatres Sérieux et Capgras, sans néanmoins s’embarrasser du principe de non-contradiction. La réalité est réécrite, mais sous la perspective de l’idéologie : on fera le contraire des idéaux que l’on invoque, et surtout on persécutera des innocents désignés coupables, au nom du « Bien Commun ».

La paranoïa fonctionne sur la projection : accuser l’autre de sa propre culpabilité, et en particulier les profils particulièrement innocents, qui sont donc « vierges » pour accueillir une culpabilité supplémentaire. « Quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage ».

Dans le délire paranoïaque, plus rien n’a de sens, mais tout prétend en avoir. La psychose paranoïaque prétend au contrôle des esprits, en orchestrant un harcèlement des groupes qui les divise en « bons » et « méchants ». Les méchants sont ceux qui résistent au harcèlement, ou encore, refusent de rentrer dans la nouvelle réalité délirante, idéologique, proposée par la paranoïa. La paranoïa maîtrise les processus sectaires. 

La décompensation est ce moment où le paranoïaque, qu’il soit un individu ou un groupe (car cette « folie raisonnante » est contagieuse), se met à délirer si sévèrement qu’il passe à l’acte. Car si le délire crée une nouvelle réalité pour remplacer l’ancienne, avec la paranoïa, il faut faire advenir cette nouvelle réalité. Le discours est un oracle performatif : il produit seul la réalité. Il n’y a plus de réflexivité avec l’expérience pour créer un chemin de vérité.

La parole délirante est omnipotente et entend bien le démontrer, en marquant la réalité sous le sceau de l’idéologie. Le discours n’est plus un reflet de l’expérience : c’est l’expérience qui doit se conformer au discours. Il y a bien là une négation fondamentale de ce que les psychanalystes appellent le principe de réalité.

Dans un article d’Hannah Arendt intitulé « Les germes de l’internationale fasciste », la philosophe note : 

« C’est un aspect trop négligé de la propagande fasciste qu’elle ne se contentait pas de mentir, mais envisageait délibérément de transformer ses mensonges en réalité. Ainsi, Das Schwarze Korps reconnaissait quelques années avant le début de la guerre que les peuples étrangers ne croyaient pas réellement les nazis quand ils prétendaient que tous les Juifs sont des mendiants et des vagabonds qui ne peuvent subsister que comme des parasites sur l’économie des autres nations; mais, prophétisait-il, l’opinion publique étrangère aurait en l’espace de quelques années l’occasion de s’en convaincre, quand les Juifs allemands auraient été poussés hors des frontières précisément comme un tas de mendiants. Personne n’était préparé à ce type de fabrication d’une réalité menteuse. La caractéristique essentielle de la propagande fasciste n’a jamais été ses mensonges, car le mensonge est un caractère à peu près commun de la propagande, partout et en tout temps.

Ce qu’exploitait essentiellement cette propagande, c’était l’antique préjugé occidental qui confond la réalité et la vérité, rendant ainsi « vrai » ce qui ne pouvait jusque-là être donné que comme un mensonge. C’est pour cette raison que toute argumentation contre les fascistes — la prétendue contre-propagande — est si profondément dépourvue de sens : c’est comme si l’on débattait avec un meurtrier potentiel pour savoir si sa future victime est vivante ou morte, en oubliant complètement que l’homme est capable de tuer et que le meurtrier, en tuant la personne en question, peut à tout instant démontrer la justesse de son affirmation. »

En clair, le délire paranoïaque persécute, au nom de ce qu’il prophétise. Et ce qu’il prophétise, il le fait tout simplement advenir.

« Il y aura des quantités de morts !!! », dit-il. Et de fait, à force d’interdire les traitements qui soignent les patients, il est fort probable que ces morts arrivent. De plus, la narration idéologique justifie la persécution par la légitime défense. Avec la paranoïa, il est autorisé de tuer puisque c’était pour se défendre ! Le meurtre est justifié et justifiable, puisqu’il est désormais permis de transgresser, au nom du Bien Commun.

Le moment de la décompensation paranoïaque, c’est-à-dire du déchaînement du délire, est extrêmement violent. Ceux qui côtoient des psychotiques, et en particulier, des paranoïaques, le savent très bien. Les bouffées délirantes procèdent par phases, avec des accalmies.

C’est bien ainsi que l’on peut analyser les persécutions nazies : entre deux rafles, il y avait des assouplissements de mesures. Ça s’enflammait, puis se calmait, avant de s’enflammer à nouveau, exactement sur le mode de la bouffée délirante.

Par exemple, le 16 avril 1944, les 220 000 Juifs de Budapest (représentant 20% de la ville) durent s’installer dans les 1948 « maisons à étoiles jaunes », autorisés à ne sortir que trois heures par jour pour les courses, aller aux bains et aux rendez-vous médicaux. S’ensuivirent la confiscation des œuvres d’art et les expropriations, l’interdiction d’exercer une profession intellectuelle et la suppression de 500.000 volumes d’auteurs juifs. Le 1er mai 1944, le décret du 22 avril est mis en application, stipulant des rations alimentaires inférieures pour les Juifs. Entre le 15 mai et le 9 juillet 1944, Eichmann organisa, avec d’autres décideurs hongrois, la déportation de 437.402 personnes à Auschwitz-Birkenau. Mais en juillet, la décision de déporter tous les Juifs de Hongrie fut brutalement arrêtée. Dans le même temps, le confinement fut légèrement assoupli : les Juifs de Budapest purent sortir de chez eux six heures par jour, mais surtout, fin août 1944, ils furent autorisés à participer à certaines fêtes juives ainsi qu’à travailler. Les déportations reprirent sur le dernier trimestre de l’année 1944.

On voit bien que cela procède par vagues, lesquelles correspondent à des moments collectifs de bouffées délirantes, qui retombent par moments. Et ces vagues vont crescendo jusqu’à terme : soit la paranoïa collective est vaincue par la guerre, soit elle s’auto-consume dans une logique d’autodestruction (Hannah Arendt notait dans le même article d’ailleurs que les nazis n’en avaient rien eu à faire de la destruction de l’Allemagne qu’ils avaient pourtant tant glorifiée dans l’idéologie dominante). À moins peut-être qu’elle ne rencontre suffisamment de résistance ? Nous sommes aujourd’hui encore à la croisée des chemins, et les mois à venir seront déterminants. Il faut et il suffit que les masses cessent de croire dans l’idéologie mensongère.

Le délire paranoïaque occupe tout l’espace psychique, et vous fige dans « le temps des glaciations ». Le psychisme, pris au piège dans le non-sens, se réfugie alors dans le clivage qui lui est proposé : désigner un ennemi du malheur est tentant, et facile, surtout que c’est bien ce que fait systématiquement le harceleur. Si cela va mal, ce n’est pas à cause du harceleur, non ! C’est à cause de celui qui lui résiste bien entendu : La narration délirante tourne en rond, et capturés dans le tourbillon d’informations reçues chaque jour tous azimuts, où les vents soufflent tous de façon anarchique et contraire, sans plus permettre de distinguer sa route, nous restons sidérés. Car c’est bien d’une tourmente délirante dont il s’agit. Le contrôle est confondu avec la santé ; les soins seront désormais refusés à une partie de la population, sur des critères tout à fait clairs : que crèvent ceux qui refusent l’objet fétiche de l’illusion délirante ! 

 

 

« Ce qui nous sauvera, c’est le vaccin ! » Bien que les discours politico-médiatiques aient annoncé que « le vaccin rendait libre », eh bien ce n’est pas vrai. Des « vaccinés » doivent passer des tests PCR car ils peuvent être contagieux. Quel est donc le sens de séparer dans les classes les enfants « vaccinés » et les enfants « non-vaccinés », comme le propose le ministre de l’Éducation Nationale en France, Jean-Michel Blanquer, si les « vaccinés » peuvent être tout autant contagieux ? Tout ceci n’a plus ni queue ni tête !

Le délire paranoïaque cambriole tout l’espace psychique, et empêche tout recul et toute pensée, car il fonctionne de façon frénétique, au moment de la décompensation, par images chocs et passages à l’acte transgressifs.

L’individu est absorbé dans l’émotion et la sidération. Les coups pleuvent. La population qui capte le délire l’exécute, parce qu’elle a été engloutie dedans : c’est ainsi que l’on voit des personnes appliquer une loi de ségrégation avant même que cette loi ne soit votée.

La France a perdu la raison.

Le rythme des décrets et des décisions politiques empêche toute distance réflexive, et les gens, sentant bien que quelque chose ne tourne pas rond, veulent « agir ». Il serait pourtant nécessaire de faire une grande pause, avec un retour critique sur ce qui vient de se passer.

Malheureusement, ce n’est pas du tout l’intention du pouvoir, qui entend « soumettre ou démettre ». Et il est bien naturel que, dans ces conditions, les peuples se rebellent.

Il est important d’éviter d’entrer dans le délire, et de considérer ce moment comme ce qu’il est : une décompensation délirante, face à laquelle il est fondamental de retrouver son espace psychique intérieur, c’est-à-dire de s’extraire de la propagande harceleuse qui provient non seulement des médias mais encore des informations incessantes reçues par les copains, les amis, les collègues etc. S’extraire ne signifie pas ne plus s’informer, mais être capable, en recevant les nouvelles, de conserver son univers intérieur, qui est ce que convoite le délire paranoïaque avec la prédation de l’intime.

Nulle action ne récoltera de fruits durables si elle vient en pure réaction et ce d’autant que la décompensation paranoïaque conduit au passage à l’acte, non seulement du pouvoir, mais encore de ceux qui lui résistent. « On va tout péter », ai-je pu entendre. Mais « tout péter », cela donnera quel résultat ? Plus de désolation encore ? S’abstraire de cette folie est indispensable.

La connaissance des mécanismes de la folie ne suffit pas : j’ai vu certains s’y engloutir alors qu’ils ont une grande connaissance des mécanismes de déni, de clivage etc. Ce n’est pas à cet endroit que se situe la résistance intérieure, mais dans l’imprégnation d’un horizon, d’un passé, d’un ailleurs, suffisamment nourrissant et transcendant pour résister seul face au groupe devenu délirant. Il faut se renforcer dans sa capacité à s’incarner dans la solitude, essentiellement, le temps que les autres se réveillent et réalisent que ce à quoi ils avaient cru n’est qu’une farce doublée d’un cauchemar. 

Remettre du sens ne consiste pas nécessairement à décortiquer un délire truffé de paradoxes, qui abrase toute logique, mais à revenir à des fondamentaux moraux, historiques, littéraires, juridiques, mathématiques et philosophiques qui permettent de garantir les piliers de notre humanité. Ne considérons donc pas inutile de prendre du recul pour nourrir notre espace intérieur, pour réfléchir et garder une certaine distance, nous évader par moments dans d’autres temps et lieux au travers de la lecture, nourrir notre âme par la contemplation, afin de ne pas nous- mêmes sombrer dans le délire ou la violence. 

Il convient de noter d’ailleurs que le délire paranoïaque contamine tout l’espace social avec sa propre idéologie, mais encore qu’il crée d’autres idéologies paranoïaques en miroir, notamment chez ceux qui prétendent lui résister, alors que, parfois, ils se font avaler. La conclusion de Candide, face à la folie du monde, était de « cultiver son jardin », et c’est ce à quoi j’encourage le lecteur au sens propre, comme au sens figuré. La paranoïa invite toujours à jeter le bébé avec l’eau du bain. Sauvons le bébé, et faisons vivre en nous le monde d’avant le délire, et le monde qui lui succédera.

 

Ariane Bilheran

 


lundi 29 novembre 2021

Fictions "virusées"

 

Par curiosité, relisez donc le résumé de l'intrigue 
de cet épisode des "Simpson"...

Saison 22 épisode 6

 

 Quand on pense que la première diffusion  
date de  novembre 2010...
ça laisse songeur ...!!!

.

 
Résumé :

Lors d’une réunion privée au sommet de la Statue de la Liberté 
entre les plus grands représentants médiatiques, 
la décision d’introduire une nouvelle pandémie de virus aux Etats-Unis, 
à but commercial, est mise sur la table. 
 
Quelques jours après, c’est la crise dans tout le pays, 
les chats sont blâmés de porter un virus mortel 
et il est impératif de les éloigner dès les premiers symptômes. 
 
Homer s’empresse de vouloir brûler les affaires du chat, 
mais Marge l’arrête en lui apprenant 
qu’un vaccin est désormais disponible.
 
(...)
 

 
Dans la même veine, il y a aussi
Le dessin animé "Vexille"
datant de 2007...



 
...ainsi que le film
avec Tom Hanks...
 
(film de 2016 tiré du livre éponyme de Dan Brown)


Dans ce roman, un milliardaire
veut combattre la surpopulation...
et il envisage, pour cela, 
de répandre un virus mortel...

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La vie serait-elle en train de rejoindre la fiction???
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samedi 27 novembre 2021

Appel vibrant du professeur Perronne au peuple suisse

 


 

Chères citoyennes et chers citoyens de Suisse,

Vous allez voter ce dimanche sur les durcissements de votre Loi Covid, et en particulier sur l’imposition du passe sanitaire.

Votre démocratie vous le permettant, nombre d’entre vous ont voulu un référendum pour contester ces mesures. Le monde entier a désormais le regard posé sur vous.

Je suis médecin, enseignant et chercheur, spécialiste des maladies infectieuses. J’ai présidé pendant quinze ans la commission en charge de la réponse sanitaire aux épidémies et de la politique vaccinale en France, en plus d’avoir été vice-président du groupe d’experts sur les vaccins à l’OMS pour l’Europe.

Vous devez savoir un certain nombre de choses avant de voter.

Il est bien de vous prononcer, mais si les médias ne donnent pas les bonnes informations, il est difficile de le faire en connaissance de cause.

Tout d’abord, le «passe sanitaire» appelé chez vous «certificat Covid» n’a rien de sanitaire. C’est une mesure politique de coercition. Les «vaccinés» peuvent se contaminer, tomber malades du Covid, et même développer des formes graves de la maladie. C’est bien la preuve qu’il ne s’agit pas de vaccins. Multiplier le nombre d’inoculations ne changera rien.

De plus, les «vaccinés» peuvent contaminer les non vaccinés.

La contagiosité des dits «vaccinés» et des «non vaccinés» étant la même, le passe sanitaire instaure une discrimination grave, sans aucune utilité sur la santé des citoyens.

Cette mesure de contrainte vise à forcer la population à accepter ce qui est présenté comme un vaccin par une forme de chantage, ce qui est illégal en plus d’être honteux.

Les produits qu’on veut vous injecter, appelés à tort «vaccins», sont des substances géniques expérimentales, qui modifient le fonctionnement de vos cellules. Au mépris du principe de précaution, puisque les risques sont importants à court terme et inconnus à moyen et long terme. Imposer à la population de se soumettre à une expérimentation médicale de phase 3 est rigoureusement interdit par le Code de Nuremberg et la Convention d’Oviedo, ratifiés par nos pays.

De plus, on n’a pas le droit d’octroyer une autorisation conditionnelle de commercialisation d’un vaccin s’il y a des traitements efficaces – efficacité attestée par des centaines d’études. Des pays comme le Japon ou des territoires comme l’Uttar Pradesh en Inde ont éteint l’épidémie avec des médicaments bon marché et efficaces, interdits chez nous pour garantir l’imposition de la pseudo-vaccination.

On peut observer que les pays pauvres peu ou non «vaccinés» n’ont aujourd’hui plus de problème Covid, alors que les pays ou régions ayant pratiqué des «vaccinations» massives (comme le Royaume Uni, Singapour, l’Islande, l’État américain du Vermont, Israël…) connaissent des flambées d’infections et de morts.

Dans les services de réanimation de certains pays, les «vaccinés» sont largement majoritaires. Il suffit de regarder les cartes du monde pour constater que la «vaccination» de masse déclenche, re-déclenche ou entretient l’épidémie.

En Suisse, tout comme en France, l’épidémie est actuellement au niveau de n’importe quelle infection respiratoire banale et la mortalité est extrêmement faible.

En France, il n’y a plus que quelques dizaines de morts par jour (46 mi-novembre contre 317 début janvier) ». Et comme dans toutes les épidémies du passé, les virus développent des variants de moins en moins virulents.

La politique menée depuis bientôt deux ans dans nos pays est absurde et inefficace. Si nous avions simplement laissé le nouveau virus circuler, protégé les groupes à risque, isolé et soigné les malades, nous aurions connu un minimum de dégâts. Ce sont les mauvaises mesures politiques qui se sont montrées et se montrent encore les plus destructrices.

Pour toutes ces raisons, je vous invite à voter NON au durcissement de votre Loi Covid le 28 novembre prochain, et donner le signal du retour à la raison et à la vraie science parmi les nations.

Professeur Christian Perronne

 

lundi 22 novembre 2021

Message d'un centenaire

 

 


 

Notre grand socio-philosophe nous dit ceci à l’aube de ses 100 ans :

′′J ‘ai été surpris par la pandémie mais dans ma vie, 
j’ai l’habitude de voir arriver l’inattendu. 
L’arrivée de Hitler a été inattendue pour tout le monde. 
Le pacte germano-soviétique était inattendu et incroyable. 
Le début de la guerre d’Algérie a été inattendu. 
Je n’ai vécu que pour l’inattendu et l’habitude des crises.
 
En ce sens, je vis une nouvelle crise énorme 
mais qui a toutes les caractéristiques de la crise. 
C’est-à-dire que d’un côté suscite l’imagination créative 
et suscite des peurs et des régressions mentales
Nous recherchons tous le salut providentiel, 
mais nous ne savons pas comment.
 
Il faut apprendre que dans l’histoire, 
l’inattendu se produit et se reproduira.  
Nous pensions vivre des certitudes, des statistiques, des prévisions, 
et à l’idée que tout était stable, 
alors que tout commençait déjà à entrer en crise. 
On ne s’en est pas rendu compte.
 
Nous devons apprendre à vivre avec l’incertitude, 
c’est-à-dire avoir le courage d’affronter, 
d’être prêt à résister aux forces négatives.
 
La crise nous rend plus fous et plus sages. 
Une chose et une autre. La plupart des gens perdent la tête 
et d’autres deviennent plus lucides.  
La crise favorise les forces les plus contraires
 
Je souhaite que ce soient les forces créatives, 
les forces lucides et celles qui recherchent un nouveau chemin, 
celles qui s’imposent, même si elles sont encore très dispersées et faibles. 
Nous pouvons nous indigner à juste titre 
mais ne devons pas nous enfermer dans l’indignation.
 
Il y a quelque chose que nous oublions : 
il y a vingt ans, un processus de dégradation a commencé dans le monde.
 La crise de la démocratie n’est pas seulement en Amérique latine, 
mais aussi dans les pays européens. 
La maîtrise du profit illimité qui contrôle tout est dans tous les pays. 
Idem la crise écologique. 
L’esprit doit faire face aux crises pour les maîtriser et les dépasser. 
Sinon nous sommes ses victimes.

Nous voyons aujourd'hui s'installer les éléments d'un totalitarisme. 
Celui-ci n'a plus rien à voir avec celui du siècle dernier. 
Mais nous avons tous les moyens de surveillance de drones,
de téléphones portables, de reconnaissance faciale. 
Il y a tous les moyens pour surgir un totalitarisme de surveillance. 
Le problème est d'empêcher ces éléments de se réunir 
pour créer une société totalitaire et invivable pour nous.
 
À la veille de mes 100 ans, que puis-je souhaiter ? 
Je souhaite force, courage et lucidité. 
 
Nous avons besoin de vivre 
dans des petites oasis de vie et de fraternité.
 
 

 

 

 

 

samedi 20 novembre 2021

vendredi 19 novembre 2021

Conférence stimulante

 

 

 

Que ça fait du bien d'entendre des propos humains, sensibles et intelligents !

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dimanche 14 novembre 2021

Le mensonge se lézarde...



 

Ne doutez jamais qu’un petit groupe 
d’individus conscients et engagés 
puisse changer le monde. 
C’est même de cette façon 
que cela s’est toujours produit.
 
Margaret Mead
anthropologue
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Excellent discours...de J-D Michel
 
Vous pouvez l'écouter plus longuement  ici :
 
 
 
 
 
 
 

mercredi 10 novembre 2021

Déni collectif

 

 


 

C’est là toute la « magie » de l’emprise, tout le monde ou presque se rend compte de ce qui se passe, mais peu de personnes réussissent à se l’avouer car il est bien plus angoissant de se dire que nous vivons sous un régime autoritaire, plutôt que de nous dire que nous sommes victimes d’un virus. Un virus contre lequel nous avons un vaccin, une épidémie que nous pouvons tenter de combattre. Le niveau de contrôle ressenti par l’individu est ainsi déterminant dans sa prise de conscience.

C’est donc sous couvert d’un virus que nous avons vu un vocabulaire guerrier émerger, en effet d’après Emmanuel Macron : « nous sommes en guerre », nous devons « nous battre contre le virus », « prendre des mesures exceptionnelles », et ce « quoi qu’il en coûte ».

Or si nous étions réellement face à une problématique de santé publique, le champ lexical ne devrait-il plutôt pas être agrémenté de mots tels que « soigner », « guérir », « prévenir » ?

Les médecins et les soignants qui parlent de prévention (de vitamine D par exemple) deviennent des charlatans. On nous dit même que la vitamine D est dangereuse et toxique, alors qu’elle est encore prescrite par les pédiatres aux nourrissons afin qu’ils puissent renforcer leur système immunitaire pour se protéger des virus. Il en va de même pour tous les traitements : hydroxychloroquine, Ivermectine, tout ce qui semble fonctionner pour soigner les gens atteints de ce virus est dénigré. Les médecins qui les prescrivent sont pourchassés, renvoyés, traités de tous les noms alors que, dans le même temps, des centaines d’études émergent pour montrer leur efficacité.

Le but ne peut donc pas être de se débarrasser du virus et encore moins de soigner les gens. Pire encore, dans quelle démocratie qui a à cœur la santé de ses citoyens, les gens sont-ils interdits d’hôpitaux s’ils n’ont pas leur « pass sanitaire » ? Dans quel monde, en pleine pandémie, alors qu’on nous dit que toutes les mesures qui sont prises sont prises pour éviter l’engorgement de l’hôpital public, on renvoie les soignants pendant qu’on ferme des lits ? Ajoutons que la situation est similaire dans plusieurs pays du monde (Australie, Canada…).

Sommes-nous tous capables d’accepter cette réalité tant elle est angoissante ?

Le double discours, utilisé dans tout système pervers, consiste à dire tout et son contraire. Cela crée une dissonance cognitive dans l’esprit des personnes qui deviennent incapables de déterminer ce qu’on leur demande. Le déni permet alors de diminuer le niveau de tension interne : puisqu’il est impossible de trouver une logique dans toute cette histoire, on va se protéger par le déni. Au fond, nous savons ce qu’il en est, mais de remettre en question la société, ses mécanismes ou simplement de penser que le gouvernement ne souhaiterait pas notre bien nous amène à éprouver de l’angoisse. Pour s’en prémunir, il ne reste plus que le déni. C’est ainsi que rapidement, on peut être amené à se complaire dans l’idée que « les réfractaires sont des complotistes » ou encore que « le gouvernement est incompétent ».

Le déni, c’est le mécanisme de protection psychologique qui est souvent utilisé par les victimes de violences et d’abus, car c’est ce qui protège le psychisme d’un effondrement dépressif.


Ce mécanisme est par exemple très fréquent chez les femmes battues, elles préfèreront se dire que c’est elles qui interprètent mal les choses, qu’elles ont mal compris les intentions de leur agresseur, et que finalement, il n’a rien fait de mal ! C’est la seule façon pour elles de se sentir en sécurité, même si, au fond d’elles-mêmes, elles savent très bien ce qu’il en est. Il faudra ensuite attendre un drame pour que les victimes prennent conscience que leur vie est en jeu, que non, ce ne sont pas elles les coupables et qu’elles doivent se défendre. Mais il est beaucoup plus difficile de se dire ça et d’admettre qu’on est une victime, plutôt que de nier la réalité qui est pourtant évidente, car cela signifie se sentir en danger.
 
Voilà pourquoi la plupart du temps, les victimes de violences conjugales ne se réveillent que lors d’un drame : il est psychiquement nécessaire que la réalité devienne plus angoissante que leur angoisse de base, pour qu’elles puissent réagir, car elles sont paralysées par la peur. Nous pouvons aujourd’hui observer exactement les mêmes mécanismes au sein cette « crise sanitaire ».
 
Un autre mécanisme qui est utilisé dans tout système pervers est celui de la double contrainte : le fait d’être soumis à 2 injonctions totalement contradictoires. Par exemple, « sois spontané ». Ici, nous avons des injonctions telles que « faites-vous vacciner obligatoirement de votre plein gré ».
 
Ceux qui s’opposent aux systèmes pervers sont toujours désignés comme les coupables. Si les injonctions contradictoires ne fonctionnent pas, si les stratégies illogiques et irrationnelles des pervers ne fonctionnent pas, ce n’est pas parce que ça ne peut tout simplement pas fonctionner, non, ce n’est jamais de la faute des pervers. C’est toujours à cause de ceux qui ne veulent pas se plier aux désirs des pervers !
 
Donc, actuellement, même si l’on sait avec certitude que le « vaccin » ne protège personne, ni les « vaccinés » ni les personnes de leur entourage, car il n’empêche pas la contagion, c’est quand même de la faute de ceux qui ne sont pas « vaccinés » ! Car un pervers ne s’embarrasse ni de la logique, ni de la réalité. Il est dans un délire de toute puissance, et pour lui, ce qu’il pense devient réalité. S’il a décidé de vous faire croire que s’il vous a trompé, c’est par amour, vous finirez par y croire ! C’est ce qu’on appelle la « folie blanche » et la « projection » : au niveau psychologique, un pervers est en fait quelqu’un qui, pour ne pas sombrer dans la folie, va la projeter sur vous. Ce n’est donc pas lui le fou, mais c’est vous !
 
Dans un premier temps, c’est évidemment faux, tant qu’on voit encore les manœuvres de la personne. Mais dans un second temps, ça devient malheureusement vrai pour une raison très simple : à force de chercher la logique dans un fonctionnement pervers, on devient réellement fou.
 
C’est en partie ceci qui explique le comportement de nombreux de nos concitoyens.
 
Ils sont victimes de ce mécanisme de projection. Le pouvoir incapable d’accepter sa propre folie, la renvoie sur le peuple. Et ceux qui ne regardent pas les choses sous l’angle de la manipulation psychologique tombent dans le panneau. Ils deviennent fous à leur tour.
 
C’est ainsi qu’on voit maintenant des gens nous accuser d’être des assassins si nous refusons de nous faire injecter, ou qu’on voit des gens mettre le masque au restaurant quand ils sont debout, mais pas assis. Ou encore, qu’il devient possible de dire dans la même phrase que « empêcher quelqu’un de se rendre à l’hôpital, c’est pour protéger sa santé ! ».
 
Tout ce qu’un pervers est, pense et ressent, il le renvoie sur ses victimes. Quand il s’agit d’un particulier, le phénomène est très limité. Mais quand il s’agit d’un gouvernement, ça donne ce que nous voyons actuellement.
 
Il existe d’autres mécanismes qui sont utilisés par les pervers, mais afin de ne pas trop alourdir cet article nous allons simplement en aborder un dernier, qui est fondamental : la perversion des mots.
 
Un pervers déviera toujours les mots de leur sens. Ici, la plus grosse manipulation a été faite à partir du mot « vaccin ». Un vaccin est normalement une injection qui vous empêche d’attraper une maladie. Si l’on est vacciné contre le tétanos, on ne s’inquiète plus de l’avoir ou non, on sait qu’on est protégé.
 
Or, ici, le « vaccin » n’empêche ni d’attraper la maladie, ni de faire une forme grave, ni de contaminer quelqu’un, ni de mourir de cette même maladie. Pire encore, il paraît faciliter les infections et nous exposer à de graves effets secondaires, car cette injection expérimentale, (et non ce vaccin) n’a pas été testée suffisamment avant d’être injectée en masse. Nous voyons donc maintenant les chercheurs Israéliens qui commencent à s’inquiéter de la dangerosité à long terme de cette injection expérimentale, après avoir injecté quasiment toute leur population, alors même que cela fait des mois que des voix dissidentes avertissent et demandent justement ce qu’il en est, avec raison.
 
 
 

 

Avec tous ces éléments, commencez-vous à comprendre
pourquoi les gens sont en plein déni ?

 

Imaginez que vous venez de recevoir votre 3e dose d’injection expérimentale. Que ressentiriez-vous si l’on vous disait maintenant : « on a peut-être fait une erreur, vous aurez certainement un cancer dans 2 ans », alors qu’au départ, vous risquiez pour la plupart un vilain rhume avec le variant Delta (anciennement variant indien) ?
Il est en effet très difficile d’accepter que l’on se soit fait manipuler, pas simplement à cause de l’égo mais aussi et surtout à cause de l’angoisse que cela génère. Car, quand vous êtes victime de violences, si vous vous rendez compte de la situation, vous pouvez toujours fuir, bien que la situation soit déjà terriblement angoissante mais, quand vous vous êtes fait injecter x fois un produit dans votre corps et qu’on vous informe que, peut-être, ce produit était inutile et très dangereux, que faire ?
Nulle part où fuir, aucun moyen de retirer ce produit de votre corps.
Il ne reste alors que le déni, pour vous protéger de la réalité. Vous voilà rendu à soutenir le système pervers jusqu’au bout, quitte à risquer votre vie, quitte à faire et dire des choses qui ne vous ressemblent pas, car c’est le seul moyen qu’il vous reste pour vous protéger de l’angoisse qui vous ronge et qui menace de se manifester à chaque instant.

 

Alors, comment aider à la prise de conscience ?

Une personne dans le déni ne cherche pas à s’informer car elle connaît la réalité, elle essaie simplement de s’en protéger. Elle a besoin d’avoir des informations sur les mécanismes de la manipulation. Elle a besoin de comprendre que oui, ce qu’elle ressent est légitime, qu’elle n’est pas réellement folle, pour pouvoir redonner sa folie apparente à la personne à qui elle revient de droit.

La victime a également besoin de beaucoup de soutien, car c’est un chemin extrêmement difficile que celui de la prise de conscience.

Si vous essayez de faire sortir quelqu’un du déni en le menaçant, vous n’y arriverez jamais. Vous devez au contraire rassurer, écouter, qu’il s’agisse de doutes, d’interrogations ou d’objections. C’est un processus qui se fait toujours par étapes : la personne semble avoir compris, puis tout d’un coup elle est de nouveau dans un déni profond car elle n’a pas réussi à gérer l’angoisse que la réalité lui a fait ressentir.

C’est pourquoi il est absolument primordial de ne pas se diviser. Oui, les gens sont sous l’emprise du gouvernement et collaborent mais ils font au final simplement ce qui leur semble le mieux pour se protéger de ce qui nous attend, car ils savent aussi bien que nous ce qu’il en est de la réalité.

Voilà pourquoi il est devenu inutile d’essayer de réveiller les gens : ils savent déjà tout ! La meilleure chose à faire est de les aider à accepter cette réalité afin que nous puissions trouver tous ensemble une issue à cette crise. Soyons-là les uns pour les autres, comprenons que chacun fait ce qu’il peut à son niveau, même si quand on regarde la situation on est en droit d’être terrifié du comportement des gens. Or pour la plupart, ce n’est pas leur comportement qui se manifeste, mais simplement une projection des actes et paroles des personnalités perverses qui nous gouvernent.

Nous sommes tous humains mais nous n’avons pas tous les mêmes raisonnements, les mêmes capacités ou aptitudes, et pour certains d’entre nous, se sentir plus en sécurité revient à faire ce qu’on nous demande. Obéir est alors un moyen de se sentir un peu moins en danger, même en ayant compris de quoi il est réellement question : car plus personne à ce stade ne peut nier que tout ceci n’a rien de sanitaire.

Inutile donc de tenter de « réveiller » les gens en plein déni, on ne peut pas dénier quelque chose qu’on ne sait pas. Il est par contre nécessaire d’être plus que jamais compatissant, c’est à dire « se mettre à leur place » pour comprendre, de manière individuelle, quelles sont leurs peurs, et quels seraient les meilleurs moyens pour parvenir à leur faire reprendre conscience de la réalité.

Il s’agit d’un travail absolument titanesque, mais c’est grâce à la compréhension, à la douceur, que l’union sera à nouveau possible. N’oublions pas que si nous ne sommes pas capables de tous nous unir, nous finirons tous broyés par le système pervers et absolument monstrueux qui se montre à nous.

La compassion, l’entraide et l’union deviennent alors les seules armes contre les fous. Étant incapables d’empathie, c’est bien la seule arme que nous ayons et dont ils ne disposent pas : notre humanité. Il ne tient qu’à nous de nous en servir, afin d’aider ceux qui ont peur et de lutter pour l’Etat de droit, pour la dignité humaine et pour le bien-être du plus grand nombre, ensemble et non plus les uns contre les autres.

 

 
 
 
 
 

lundi 8 novembre 2021

Obéir à la loi de la majorité ?

 


 

Tous les hommes reconnaissent le droit à la révolution, 
c'est à dire le droit de refuser fidélité et allégeance au gouvernement 
et le droit de lui résister quand sa tyrannie ou son incapacité 
sont notoires et intolérables.
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Le seule obligation que j'aie le droit d'adopter,
 c'est d'agir à tout moment selon ce qui me paraît juste.
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La démocratie telle que nous la connaissons est-elle 
l'aboutissement ultime du gouvernement ? 
Ne peut-on franchir une nouvelle étape 
vers la reconnaissance et l'établissement 
des droits de l'homme...?
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Ne peut-il exister de gouvernement ou ce ne seraient pas les majorités 
qui trancheraient du bien ou du mal, mais la conscience ? 
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Il est des lois injustes - devons-nous tout simplement leur obéir, 
ou devons-nous entreprendre de les amender, 
et leur obéir jusqu'à ce que nous ayons obtenu gain de cause, 
ou bien encore devons-nous les transgresser d'emblée ?  
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Si le gouvernement est d'une nature telle 
qu'il vous oblige à vous faire l'agent d'une injustice à l'égard d'autrui, 
alors je dis que vous devrez enfreindre la loi. 
Faites de votre vie une contre-fiction pour gripper la machine. 
 
Il est de mon devoir de m'assurer 
que je ne contribue pas au mal que je condamne. 
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dimanche 7 novembre 2021

samedi 6 novembre 2021

Penser et agir

 

 

 

"Penser est dangereux mais ne pas penser

est plus dangereux encore..."

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"Le pouvoir jaillit des hommes

quand ils agissent ensemble. "

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Hannah Arendt

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