vendredi 30 avril 2021

Résistez

 

 


 

 " Résistez beaucoup, obéissez peu ".

Dès que vous cesserez de remettre en question

la soumission, vous serez complètement asservis,

Et une fois complètement asservis, aucune nation, aucun état,

aucune ville, ne peut jamais plus ensuite recouvrer la liberté.


Walt Whitman
 
.
 

 

Impressionnante manifestation à Londres 

samedi dernier, 24 avril

 
 
 La résistance pacifique est en route !
 
.



 

mercredi 28 avril 2021

Projet transhumaniste

 


(...)

 Mais pourquoi le f(o)utur aurait-il besoin 
de la vaccination massive ? 
 
La réponse est triple : 
(1) Elle est le seul moyen d’imposer à l’échelle mondiale 
une identité numérique liée au corps, qui est la clé du foutur. 
(2) Cette identité numérique est également la clé du Grand Reset, 
qui a besoin d’introduire une nouvelle monnaie numérique 
sur la base d’une identification forte.
 (3) Le grand marché des objets connectés, 
environ dix fois supérieur à celui de la vaccination, 
a lui aussi besoin d’une identité numérique forte (liée au corps)
 pour pouvoir se déployer sans failles.
 
 
Nous avons (...) vu débarquer un projet mondialiste 
associant par un intérêt commun 
Big Pharma, les Big Techs et la haute finance, 
s’agissant d’utiliser le passeport vaccinal 
pour faire ensuite entrer le monde dans le tout numérique 
de la quatrième révolution industrielle 
décrite dans les livres de Klaus Schwab, 
du forum économique mondial. 
 
Ce dernier déclare ouvertement 
vouloir nous conduire vers le transhumanisme,
 c’est-à-dire vers l’homme augmenté, 
automatiquement relié au « cloud » 
par les objets connectés de son environnement.

(...)
 
Si nous ne voulons pas du transhumanisme, 
soyons donc lucides et sachons dire non, 
en vibrant la joie et la puissance 
de l’être souverain et confiant 
qui sait que ce futur ne passera pas par lui. 
 
 
Vibrons des projets solidaires, autonomes et résilients 
qui valorisent la nature au lieu de la détruire.
Rêvons de rejoindre des initiatives innovantes et créatives 
en allant nous installer dans les campagnes.

.
 

 

(article complet sous le deuxième lien)
.
 
 
 
 

lundi 26 avril 2021

Entretiens avec Alain Damasio

  


 

Rien n'a plus changé notre façon de vivre que les Gafa...

 

Alain Damasio


  

 

 
La liberté, elle est pour moi ce dehors, intérieur à chacun de nous, 
dont ceux qui nous gèrent voudraient tant faire une Zone. 
Ou mieux : une norme.
 
 
Sachons nous ouvrir pour agrandir cette poche,
qui est poumon – et vent pulsif. 
 
Osons même, parfois, élargir la cicatrice 
et refuser le cocon consumériste, 
les consolations et les soins. 

Parce que ça fait mal, d’être libre.

.

Alain Damasio
"La zone du dehors"

.

 

 

 

 


 

 

dimanche 25 avril 2021

Ce dont on meurt...

 




- J'ai exercé la médecine pendant plus de quarante ans. 
Je sais fort bien que le choléra n'est pas tout à fait 
le produit de l'imagination pure. 
Mais, s'il prend si facilement de l'extension, 
s'il a comme nous disons cette "violence épidémique"
 c'est qu'avec la présence continue de la mort, 
il exaspère dans tout le monde le fameux égoïsme congénital. 
On meurt littéralement d'égoïsme.
.
 
Jean Giono
"Le hussard sur le toit"
 






 

vendredi 23 avril 2021

Flashmob dans toute la France : "Dansez encore...dansez dehors..."



 


 

Appel de HK et les saltimbanques


 
Nous déposons un préavis 
de Flashmob Général dans toute la France 
pour ce samedi (24 avril) à midi pile  
(reconductible pour le samedi suivant)

L'idée est simple : 
qu'on se mette à chanter 
tou-tes en même temps
Avec ou sans instruments suivant les réalités locales, 
car même a cappella cela peut être très beau ! 
 
 
Notre rêve : 
voir fleurir au même moment 
des petits flashmobs bon enfant, 
joyeux et bucoliques sur nos marchés, nos places, 
devant nos théâtres, ou plus à l'écart 
dans nos parcs, sous les kiosques, 
et même aux balcons et aux fenêtres ; 
 
En respectant les règles sanitaires 
car l'idée n'est pas de se faire verbaliser 
ni de créer la moindre tension ou division 
mais de partager un moment de joie et de sourires  
 
Car oui, nous affirmons que les "moments de convivialité"
 doivent pouvoir être partagés par tou-tes et au grand air 
(et non pas secrètement le soir dans les ministères). 
 
À samedi midi !
 

.
 
 
 
Chansons et paroles à retrouver ici :

.

 

 

 

   
 
 
 
 
 

jeudi 22 avril 2021

Issue




 

Il n'y a pas d'un côté le monde avec ses guerres, 
ses tortures, ses horreurs, 
et de l'autre les hommes qui s'en indignent. 

Il n'y a qu'un seul monde. 
Et tout ce qui respire sous le soleil 
partage un souffle, un seul.
.
En dressant un mur contre la haine du monde, 
sa laideur, sa tristesse, sa vénalité, sa dépression 
- comme si tout cela ne nous concernait pas -,
 nous nous ôtons le seul puissant outil de changement : 
la conscience que ce monde n'est rien d'autre
qu'un précipité chimique de toutes mes pensées, 
de toutes mes peurs, de toutes mes cruautés.

Mais dès que je cesse de voir le monde en dehors de moi,

séparé de moi pour le réintégrer, l'incorporer (...)
 alors une issue se dessine, 
et la sensation d'impuissance cesse !

Ce lieu que je suis est transformable.
.
 
Christiane Singer
 
.





 

mercredi 21 avril 2021

Totalitarisme et porte de sortie

 

Attention...

Vidéo essentielle !


S'il n'y en avait qu'une à regarder,

(et surtout à écouter)

ce serait celle-là...

 

 
 
 
 Les trois premières vidéos sont ICI
 
.



 
 

mardi 20 avril 2021

Trois catégories

 

 


 

Il existe trois catégories de personnes: 

celles qui voient, 

celles qui voient quand on leur montre,

celles qui ne voient jamais rien.

.

Léonard de Vinci

 

 

lundi 19 avril 2021

La banalité du mal

 

De même que la tombée de la nuit n'arrive pas tout de suite,
l'oppression non plus...
Il y a un crépuscule où tout reste apparemment inchangé.

Et c'est dans un tel crépuscule que nous devons être le plus conscients
des changements dans l'air - aussi légers soient-ils -
de peur que nous ne devenions
des victimes involontaires de l'obscurité.
.
William O. Douglas
 

 

Hannah Arendt, juive, déportée et réfugiée aux États-Unis, 
avait osé écrire dans le New York Time 
 qu’Eichmann n’était pas un monstre 
au sens où on aurait pu le comparer 
à Dracula ou Gilles de Ray,  
mais un personnage banal, 
non prédisposé à la méchanceté ou au sadisme, 
mais tout simplement un fonctionnaire 
qui avait refusé d’élaborer une pensée propre
un homme semblable aux millions de téléspectateurs 
qui aujourd’hui abdiquent toute pensée autonome 
pour se mouler sans histoire dans le confort d’un monde Orwellien.
 
Cette banalité du caractère, cette médiocrité assez commune, 
ces inaptitudes à la méchanceté et à la perversité 
hissées à des responsabilités d’exécution considérables, 
ont généré l’un des plus grands massacres de l’histoire.
 
Il ne s’agit pas des prédations de Gengis Khan, 
mais de celles complètement inattendues 
d’un clerc de notaire ou d’un préparateur en pharmacie.
 
C’est là où l’analyse d’Hannah va bouleverser la grille de lecture 
de toute l’anthropologie politique. 
Son analyse n’en n’est que plus fulgurante, 
son actualité que plus oppressante et avérée.
 
Pour avoir osé s’en tenir à la seule analyse philosophique 
en se dégageant du jugement politique, 
sa propre communauté l’avait conspuée violemment, et isolée. 
Pour Arendt, la lancinante question de sa vie sera la question du mal 
alors que pour les siens, seul comptait le jugement sur le monstre.
 
Il lui fallut un immense courage moral pour ne pas abdiquer intellectuellement 
devant le fait qu’un nazi n’est pas forcément un être ivre de sang, 
jouissant de la souffrance de ceux qu’il haïssait. 
Sa thèse de la banalité du mal n’en n’est devenue 
que plus effroyablement pertinente et cruellement contemporaine.
 
À mon avis, ses détracteurs, dont on comprend parfaitement les blessures profondes, 
ne comprenaient rien de sa démarche philosophique. 
Ils ne se rendaient pas compte qu’en affirmant la banalité 
du petit bourgeois méthodique et obéissant dans la gestion de l’impensable, 
Hannah invitait à comprendre l’extrême perversité 
d’une humanité grise et paisible qui abdique toute pensée autonome.
 
Elle alertait l’opinion sur la capacité d’adhésion tranquille 
de la majorité des hommes à l’absurde 
lorsque l’absurde est normalisé par une administration 
soutenue par le droit et la mise en condition 
d’un peuple qui se refuse de penser 

Or le propre de l’homme c’est de penser, 
et refuser de le faire l’amène à nier son humanité. 
Niant son humanité, il devient un monstre. 
Son appel est d’une tragique actualité.
.

 Article complet ICI


   




mercredi 14 avril 2021

Conférence (dé)chiffrée

 

 

Christophe Alévêque nous donne les chiffres (véridiques) 

de la pandémie...

Défense de rire ! Ce n'est pas drôle...

.



mardi 13 avril 2021

A quoi bon se faire vacciner ?


 Alors que Nice se targue d’avoir « battu le record » journalier de vaccinations (lire « Vaccination contre la Covid-19 : le record de France a été battu à Nice avec plus de 5 300 personnes au rendez-vous »), qu’il nous soit permis de nous questionner :  

POURQUOI toutes ces personnes se font-elles ainsi vacciner ?

 


 

1) Les personnes vaccinées ne sont pas dégagées des restrictions de libertés imposées par le vrai-faux confinement. Le Conseil d’État, dans son ordonnance du vendredi 2 avril dernier, a indiqué que « les personnes vaccinées peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». Et que, dès lors, « l’atteinte à la liberté individuelle […] ne peut […] être regardée comme disproportionnée en tant qu’elle s’applique aux personnes vaccinées ».

 

2) Les vaccins précipitamment concoctés qu’on nous administre n’ont pas encore passé la phase expérimentale.

 

3) Ils peuvent être dangereux au point que certains « vaccins » sont retirés en catastrophe des vaccinodromes.

 

4) Ils ne nous protègent pas forcément : « C’est une question incroyablement importante, à laquelle nous n’avons tout simplement pas la réponse », disait il y a quelques semaines le virologue Timothy Henrich, qui étudie les effets à long terme de la maladie.

 

5) S’ils protègent, c’est sur du court terme : environ 3 mois comme l’explique l’étude sur le vaccin Moderna bien que les chercheurs espèrent davantage.

 

L’espoir fait vivre.

Par ailleurs, avoir contracté la Covid-19 ne protège pas davantage : une personne de mon entourage, infectée en décembre, a déjà perdu, après trois mois, la quasi totalité des anticorps protecteurs contre la maladie (révélé par test sanguin de contrôle) ! Elle veut donc se faire vacciner… Pour quel bénéfice ? Trois mois de plus ? Et après ?

 

Dans ces conditions, à quoi bon se faire vacciner ?

 

En 1957 et 1969, les épidémies de grippe – non médiatisées : il n’y avait pas le croque-mort de 20h, chaque soir, dans la petite lucarne – auraient fait respectivement 20 000 et 30 000 morts en France. Personne ne s’en souciait plus que ça, aucun vaccin n’a été bricolé dans l’urgence, et l’immunité collective a fait le reste. Aujourd’hui, dans notre société de l’émotion, du sensationnel, du « buzz » mais aussi de plus en plus hygiéniste, réfutant le risque et les responsabilités, cette grippe saisonnière a pris des proportions dramatiques faisant basculer le monde dans la psychose et l’irrationnel.

 

 

 

Partant, si vous croyez voir rouvrir les théâtres et les cinémas au 15 mai (et les restaurants dans la foulée), comme l’a annoncé Macron, si vous pensez être libérés des restrictions en tous genres avant l’été, vous vous bercez d’illusions. Surtout qu’après les variants anglais, australien, sud-africain, brésilien, voici venu le variant breton ! Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 dont on nous dit qu’il pourrait échapper aux tests de dépistage classiques. Donc, il va se répandre. Et d’autres après lui. Car le propre des virus, c’est de muter !

 

« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir ».

 

Charles André

Source "Nice provence Info"

 ...

 


 

 + Interview de Serge Rader 

(importante)


 

 

et un peu d'Humour... 

(piqûre de rappel)


.


Autre article essentiel : 

Les 18 raisons pour lesquelles

je ne me ferai pas vacciner

.

 

Témoignage :

e se targue d’avoir « battu le record » journalier de vaccinations (lire Vaccination contre la Covid-19 : le record de France a été battu à Nice avec plus de 5.300 personnes au rendez-vous), qu’il nous soit permis de nous questionner : POURQUOI toutes ces personnes se font-elles ainsi vacciner ?

Nice-Matin 10 avril 2020 - record vaccination

1) Les personnes vaccinées ne sont pas dégagées des restrictions de libertés imposées par le vrai-faux confinement. Le Conseil d’État, dans son ordonnance du vendredi 2 avril dernier, a indiqué que « les personnes vaccinées peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». Et que, dès lors, l’« atteinte à la liberté individuelle […] ne peut […] être regardée comme disproportionnée en tant qu’elle s’applique aux personnes vaccinées » (lire Les restrictions de déplacement des personnes vaccinées sont justifiées).

2) Les vaccins précipitamment concoctés qu’on nous administre n’ont pas encore passé la phase expérimentale, (lire Covid : oui, les vaccins sont expérimentaux ! du 19 mars 2021).

3) Ils peuvent être dangereux au point que certains « vaccins » sont retirés en catastrophe des vaccinodromes (lire Vaccins Pfizer et AstraZeneca : des effets indésirables très surveillés).

4) Ils ne nous protègent pas forcément : « C’est une question incroyablement importante, à laquelle nous n’avons tout simplement pas la réponse », disait il y a quelques semaines le virologue Timothy Henrich, qui étudie les effets à long terme de la maladie (lire Scientists want to know if vaccinated people can still become COVID-19 long-haulers, en anglais).

5) S’ils protègent, c’est sur du court terme : environ 3 mois comme l’explique l’étude sur le vaccin Moderna bien que les chercheurs espèrent davantage (lire Durability of responses after SARS-CoV‑2 mRNA-1273 vaccination, en anglais). L’espoir fait vivre.
Par ailleurs, avoir contracté la Covid-19 ne protège pas davantage : une personne de mon entourage, infectée en décembre, a déjà perdu, après trois mois, la quasi totalité des anticorps protecteurs contre la maladie (révélé par test sanguin de contrôle) ! Elle veut donc se faire vacciner… Pour quel bénéfice ? Trois mois de plus ? Et après ?

Dans ces conditions, à quoi bon se faire vacciner ?

En 1957 et 1969, les épidémies de grippe – non médiatisées : il n’y avait pas le croque-mort de 20h, chaque soir, dans la petite lucarne – auraient fait respectivement 20 000 et 30 000 morts en France. Personne ne s’en souciait plus que ça, aucun vaccin n’a été bricolé dans l’urgence, et l’immunité collective a fait le reste. Aujourd’hui, dans notre société de l’émotion, du sensationnel, du « buzz » mais aussi de plus en plus hygiéniste, réfutant le risque et les responsabilités, cette grippe saisonnière a pris des proportions dramatiques faisant basculer le monde dans la psychose et l’irrationnel.

Partant, si vous croyez voir rouvrir les théâtres et les cinémas au 15 mai (et les restaurants dans la foulée), comme l’a annoncé Macron, si vous pensez être libérés des restrictions en tous genres avant l’été, vous vous bercez d’illusions. Surtout qu’après les variants anglais, australien, sud-africain, brésilien, voici venu le variant breton ! Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 dont on nous dit qu’il pourrait échapper aux tests de dépistage classiques. Donc, il va se répandre. Et d’autres après lui. Car le propre des virus, c’est de muter !

Alors, à bon paranoïaque, salut !

Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »


Alors que Nice se targue d’avoir « battu le record » journalier de vaccinations (lire Vaccination contre la Covid-19 : le record de France a été battu à Nice avec plus de 5.300 personnes au rendez-vous), qu’il nous soit permis de nous questionner : POURQUOI toutes ces personnes se font-elles ainsi vacciner ?

Nice-Matin 10 avril 2020 - record vaccination

1) Les personnes vaccinées ne sont pas dégagées des restrictions de libertés imposées par le vrai-faux confinement. Le Conseil d’État, dans son ordonnance du vendredi 2 avril dernier, a indiqué que « les personnes vaccinées peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». Et que, dès lors, l’« atteinte à la liberté individuelle […] ne peut […] être regardée comme disproportionnée en tant qu’elle s’applique aux personnes vaccinées » (lire Les restrictions de déplacement des personnes vaccinées sont justifiées).

2) Les vaccins précipitamment concoctés qu’on nous administre n’ont pas encore passé la phase expérimentale, (lire Covid : oui, les vaccins sont expérimentaux ! du 19 mars 2021).

3) Ils peuvent être dangereux au point que certains « vaccins » sont retirés en catastrophe des vaccinodromes (lire Vaccins Pfizer et AstraZeneca : des effets indésirables très surveillés).

4) Ils ne nous protègent pas forcément : « C’est une question incroyablement importante, à laquelle nous n’avons tout simplement pas la réponse », disait il y a quelques semaines le virologue Timothy Henrich, qui étudie les effets à long terme de la maladie (lire Scientists want to know if vaccinated people can still become COVID-19 long-haulers, en anglais).

5) S’ils protègent, c’est sur du court terme : environ 3 mois comme l’explique l’étude sur le vaccin Moderna bien que les chercheurs espèrent davantage (lire Durability of responses after SARS-CoV‑2 mRNA-1273 vaccination, en anglais). L’espoir fait vivre.
Par ailleurs, avoir contracté la Covid-19 ne protège pas davantage : une personne de mon entourage, infectée en décembre, a déjà perdu, après trois mois, la quasi totalité des anticorps protecteurs contre la maladie (révélé par test sanguin de contrôle) ! Elle veut donc se faire vacciner… Pour quel bénéfice ? Trois mois de plus ? Et après ?

Dans ces conditions, à quoi bon se faire vacciner ?

En 1957 et 1969, les épidémies de grippe – non médiatisées : il n’y avait pas le croque-mort de 20h, chaque soir, dans la petite lucarne – auraient fait respectivement 20 000 et 30 000 morts en France. Personne ne s’en souciait plus que ça, aucun vaccin n’a été bricolé dans l’urgence, et l’immunité collective a fait le reste. Aujourd’hui, dans notre société de l’émotion, du sensationnel, du « buzz » mais aussi de plus en plus hygiéniste, réfutant le risque et les responsabilités, cette grippe saisonnière a pris des proportions dramatiques faisant basculer le monde dans la psychose et l’irrationnel.

Partant, si vous croyez voir rouvrir les théâtres et les cinémas au 15 mai (et les restaurants dans la foulée), comme l’a annoncé Macron, si vous pensez être libérés des restrictions en tous genres avant l’été, vous vous bercez d’illusions. Surtout qu’après les variants anglais, australien, sud-africain, brésilien, voici venu le variant breton ! Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 dont on nous dit qu’il pourrait échapper aux tests de dépistage classiques. Donc, il va se répandre. Et d’autres après lui. Car le propre des virus, c’est de muter !

Alors, à bon paranoïaque, salut !

Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »


 

 

 


samedi 10 avril 2021

"Danser encore"...et encore

 
 
La chanson  de HK et les saltimbanques
devenue "hymne", 
 
continue, sous différentes formes
à faire le tour de la France...
 
....


Elle a été reprise 
à Paris...
.
 
 
 
 
 
 

Et, en plus, elle s'exporte

et connaît maintenant quelques "versions étrangères"...

 ou "hors métropole"


 
 
 
En Espagne (ci-dessus), aux Pays-Bas(1), (2)
en Suisse ,  en Allemagne....en Italie...en Guadeloupe...
au Québec...en Pologne...
 
 

...
 
La version originale de HK 
est visible sur ce blog 
 ICI
 
... 
 
 
Version avec paroles
 
 

 
 .
 
Chorégraphies sur la chanson :
ICILA et encore LA
 
 
 
Flashmob à Berlin :

 
 
 

Douter ou ne pas douter ?

 

 

L’ennui dans ce monde, 

c’est que les idiots sont sûrs d’eux

et les gens sensés pleins de doutes.

.

Bertrand Russell
 

 


 

Le meilleur moyen de s'assurer une vie aussi paisible qu'engourdie 

est de ne pas mettre en doute ce qui nous entoure - 

seul vit celui qui doute. 

.

J.K. Stefansson

.


La philosophie nous enseigne à douter de ce qui parait évident...

La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident 

ce dont il serait raisonnable de douter.

.

Aldous Huxley

.

 







jeudi 8 avril 2021

La vaccination est-elle en train d'aggraver la situation ?

 


 

    Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats des vaccinations sont excellents et en particulier qu’elles auraient fait disparaître l’épidémie en Grande-Bretagne avec l’absence de morts (!) et en particulier en Écosse. Pourtant curieusement les données de l’OMS montrent le contraire.

    En effet, après la vaccination les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté ; les trois derniers mois (post-vaccination) cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

    La comparaison avec la Suède non confinée et très peu vaccinée est éloquente ; entre début décembre (début de la vaccination) et le 29 mars 2021 la Grande- Bretagne a compté 62 547 morts attribuées au Covid-19 (soit 919/million d’habitants) contre 5 371 (537/M) en Suède sur la même période.

 

 

 

   

 Au total, depuis la vaccination la Grande-Bretagne s’est hissée au deuxième rang européen des plus fortes mortalités Covid-19 avec 1 807 morts/M derrière la Belgique (1 988/M)

    Comment des médias peuvent-ils proclamer que la vaccination britannique serait un succès et qu’elle éviterait les formes graves ?!?!!!

    Les journalistes recopient-ils les bulletins de victoire des firmes pharmaceutiques et du gouvernement britannique, sans vérifier que leur propagande est compatible avec les chiffres officiels de l’OMS que chacun peut consulter sur le site WHO Covid19 Dashboard ?

    Le succès d’une vaccination de masse ne se mesure pas au pourcentage de vaccinés mais seulement à la diminution du nombre des contaminations et à la chute de la mortalité. Or dans tous les pays champions de la vaccination, on assiste au contraire à une augmentation forte de ces deux indices.

 Autre exemple, les Émirats arabes unis :

 

 

Ces évolutions post-vaccinales sont très inquiétantes. Elles suggèrent que le trop faible taux d’anticorps après la première injection de vaccin aurait favorisé un phénomène d’anticorps facilitants [1] aggravant la mortalité, comme le craignait l’Académie de médecine dans son communiqué du 11 janvier dernier : « dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

 

Ces risques de la vaccination anti-Covid-19 ont d’ailleurs aussi été soulignés par 5 membres du Comité scientifique, dont le professeur Delfraissy dans un article récent publié dans le Lancet :

 

« L’arrivée rapide des variants du SRAS-CoV-2 tels que les variants identifiés pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une évasion immunitaire dite naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue.

Si une évasion immunitaire importante se produit, les vaccins actuels offriront probablement encore un certain bénéfice aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme… ».

Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur,  fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et comme principale réponse à la pandémie ».

 

  1. Olivier Véran a d’ailleurs récemment reconnu dans un mémoire adressé au Conseil d’État :

1°) "L’efficacité partielle des vaccins”...“l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants.”

2°) "Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant.”

3°) “...le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers." 

    !!!!!!!!!!!!!!!!

 

    Dans la mesure où le ministère reconnaît que le vaccin n’offre pas de protection individuelle suffisante, qu’il expose aux formes graves et qu’il n’empêche pas la transmission du virus, on ne comprend pas pourquoi il persiste dans sa propagande actuelle qui prétend le contraire.

 

    Les vérités affirmées devant le Conseil d’État devraient faire réfléchir ceux qui veulent se faire vacciner en croyant ainsi se protéger et protéger les autres et retrouver leurs libertés. 

Même si vous cédez au chantage « vacciné ou confiné » vous ne serez ni protégé, ni libre. Le Conseil d’État vient de débouter l’octogénaire qui s’était fait vacciner pour redevenir libre.

 

Dr Gérard Delépine

.

Article ICI 

(datant du 4 avril 2021)


Vidéos à visionner en complément 

ICI et LA

 .

Un autre article, datant de février

ICI

.

 

Enfin, un dernier article, très récent :

"Petite histoire d'un vaccin qui n'en est pas un..."

.


 

 

mardi 6 avril 2021

Pour "comprendre"...

 

Je ne saurais trop vous conseiller cette série de vidéos du Dr Louis Fouché, 

qui traite en profondeur et de façon très intelligente

de la crise actuelle ...sous tous ses aspects.


 

  


 

 



 


Cessons de ré-agir, il est temps d'agir !

.




lundi 5 avril 2021

Humour de Pâques

  

 

A l'époque, déjà, 

certains ne supportaient pas le confinement... 

;-)

.


 

Inspiré du blog de Yannick

.

 

 


dimanche 4 avril 2021

Ce qui n'est pas responsable...


 


 

Êtes vous irresponsable parce que vous ne portez pas votre masque en extérieur ?
Voilà ce que vous pourrez répondre :
Il y aura des gens parmi vos amis, votre famille, des personnes que vous ne connaîtrez pas, sur des plateaux télé, qui vous diront vous êtes irresponsable parce que vous n’avez pas porté votre masque en plein air aujourd’hui lors d’un rassemblement, alors qu’il n’y a aucune étude sérieuse qui démontre son efficacité en extérieur...
Vous serez pourtant à leurs yeux des irresponsables, mais vous pourrez leur répondre ceci :
Ce qui n’est pas responsable, c’est de nous avoir dit que l’épidémie n’avait aucune chance d’arriver en France et de ne pas s’y être préparé.
Ce qui n’est pas responsable, c’est d’avoir laissé l’hôpital sans moyens depuis des années et de faire porter sur les soignants le poids des erreurs politiques manifestes et répétées . Ce qui n’est pas responsable, c’est de penser qu’il n’y a que la vaccination qui pourra nous sortir de cette situation.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de croire sur parole les labos pharmaceutiques et d’accepter de tester à grande échelle un prototype de vaccin expérimental.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas écouter des spécialistes réputés en économie, en médecine, en droit, en biologie, en psychiatrie, sous prétexte qu’ils ne vont pas dans le sens de la pensée gouvernementale.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de dire à des gens qu’ils ne sont rien, rien, rien, qu’ils ne sont pas utiles à la société, qu’ils sont non essentiels.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de mettre au ban de la société les fiertés de notre nation que sont la gastronomie, la culture et le sport.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de fermer des lieux culturels alors qu’aucun cluster n’a été identifié dans ces lieux et de priver les Français du droit fondamental à l’éveil.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas promouvoir les bienfaits de l’activité physique, du soleil, du grand air et d’interdire la promenade, la baignade et le sport.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de voir ces dizaines d’enfants entrer en psychiatrie pour des tentatives ou des envies de suicide et de ne rien faire.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de laisser nos étudiants dans leur cité universitaire comme dans une prison sans lien social
Ce qui n’est pas responsable, c’est de continuer à considérer les Français comme des enfants et de leur demander de se comporter en adulte.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de punir à 18h05 des automobilistes piégés dans des bouchons créés par les contrôles eux mêmes.
Ce qui n’est pas responsable, c’est embourber les Français dans des mesures absurdes et de perdre la confiance de son peuple.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de couler l’économie en endettant les Français sur plusieurs générations
Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas voir que les dégâts causés par les mesures sanitaires ont dépassé ceux causés par le virus lui même.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de faire peser le poids des erreurs politiques sur le dos d’un Français qui a retiré son masque le temps d’un après midi ensoleillé en extérieur.

Voilà ce que vous pourrez répondre pour avoir enlevé votre masque.
Aujourd’hui, ce n’est pas irresponsable, c’est réfléchi.
Montrez votre visage dignement, le temps d’une manifestation ou le temps d’une revendication, c’est un acte ponctuel de désobéissance civile et de contestation.
Ce n’est pas un acte irresponsable,

c’est un acte citoyen !

 

Ingrid Courrèges

 

  

vendredi 2 avril 2021

Ce que j'attends...

 

 

 

C'était un mardi, je crois.

Je ne l'avais jamais vu aussi radieux.
J'ai trouvé, me dit-il.
J'ai trouvé ce que j'attendais - enfin, pas tout à fait,
mais j'ai trouvé un mot pour le dire.
Vous ne devinerez jamais.
J'essayai pourtant : Dieu ? La mort ? L'amour ?
pas du tout, répliqua-t-il.
Vous cherchez du côté du plus grand.
C'est une erreur sans doute inévitable.
Moi-même je l'ai commise jusqu'à ce matin.
C'est tellement plus simple :
j'attends le printemps.
.
 
Je dus avoir l'air stupide.
Il me précisa sa pensée.
(...)
Ce que j'appelle le printemps, me dit-il,
n'est pas une affaire de climat ou de saison.
Certes, je ne suis pas insensible
à la résurrection du mois de mai,
à cette candeur nouvelle
 qui rend le coeur si rouge et les filles si moqueuses.

Mais on peut toujours objecter que cette résurrection
sera bientôt suivie par un nouvel hiver,
un goutte-à-goutte de la mort froide,
les saisons sont rondes, bégayantes.

Ce que j'appelle le printemps brise ce cercle-là,
comme tous les autres.
Cela peut surgir au plus noir de l'année.
C'est même une de ses caractéristiques :
quelque chose qui peut venir à tout moment
pour interrompre, briser,
- et, au bout du compte, délivrer.
.
 
"La présence pure"