jeudi 30 septembre 2021

Les coulisses du coronavirus


 


L'interviewée est chercheuse indépendante, 
docteur en droit et analyste de géopolitique juridique internationale. 
 
Voici trois citations tirées de cet entretien. 
 
"Avons-nous envie d’être des cobayes pour des intérêts financiers supérieurs 
qui ne pensent qu’à nous mettre en esclavage?"
 
 « Quand on renonce à un peu de liberté pour de la sécurité, 
on finit par perdre les deux » 
 
"Ne mettre systématiquement en avant que les droits humains, 
c’est la disparition du sens même de la civilisation. 
Il faut aussi promouvoir nos devoirs." 
 
Elle propose une refonte totale de notre société en réinstallant des contre-pouvoirs 
et réappropriant la politique dans le collectif par la création de groupements d'intérêts. 
 
Cet entretien, exceptionnellement, ne s'inscrit pas dans l'esprit positif 
auquel j'avais habitué mes lecteurs. 
 
Or il propose de faire face à la réalité, 
de faire preuve de discernement et de bon sens pour, en fin de compte, 
bâtir une nouvelle société, libérée de la corruption et du mensonge.
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dimanche 26 septembre 2021

Trop petit ?

 

Combat actuel :  David et Goliath ?


 

Si vous pensez que vous êtes trop petit
pour changer quoique ce soit,
essayez donc de dormir
avec un moustique dans votre chambre...
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 Betty Reese
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Certes, je ne suis qu'un.
Mais je suis un.
 
Je ne peux pas tout faire.
Mais je peux faire quelque chose.
 
Et le fait de ne pas pouvoir tout faire
ne m'autorise pas à refuser de faire
ce que je peux faire.
 
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 Edward Everett
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jeudi 23 septembre 2021

Vaccination obligatoire pour tous : lettre aux sénateurs

 

Le 22 septembre 2021 LETTRE OUVERTE AUX SENATEURS

Objet : appel au sujet du projet de loi de vaccination universelle anticovid au Sénat

 
 

 

Mmes Mrs les Sénateurs

 
Nous apprécions votre volonté d’obtenir une protection collective permettant un retour à la vie normale et avons lu avec intérêt le projet de loi déposé au Sénat le 31 aout en première lecture.


Néanmoins, nous permettons de vous apporter quelques informations complémentaires : le Sars Cov 2 est très sensible aux traitements précoces tels que l’Ivermectine, comme les expériences récentes de l’Inde et du Japon en témoignent. L’utilisation de ces traitements précoces permettrait de faire disparaitre le spectre de formes graves en rapport à cette forme de grippe, qui ne tue que les personnes âgées à fortes comorbidités.
Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).


Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

 Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus

Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination

En Israël les deux mois qui ont suivi la vaccination ont battu les records de nouveaux cas et de mortalité Covid depuis le début de l’épidémie. Depuis août 21, la reprise de l’épidémie confirme que la vaccination ne permet pas d’espérer le retour à une vie normale malgré un taux très élevé de vaccination et des réinjections répétées. En contraste, les pays qui ont laissé leurs citoyens vivre à peu près normalement comme la Suède ou la Biélorussie, s’en sortent beaucoup mieux que nous.


 Les vaccins anticovid ne sont pas de vrais vaccins selon Pasteur 

Vous basez votre confiance en les vaccins antérieurs, mais il faut prendre largement en compte que le « vaccin anticovid » n’est pas un vaccin au sens pastorien du terme (des antigènes obtenus à partir du virus lui-même), mais bien une injection génique sensée faire produire par notre organisme les anticorps susceptibles de combattre ce virus. Ces substances injectées sont en expérimentation jusqu’en 2023 et utilisent une technique jamais validée en pathologie infectieuse humaine.  Les essais contre les précédents coronavirus et le Sida ont été des échecs et les phases habituelles, comme l’expérimentation animale ont été sautées dans le cas des pseudovaccins actuellement utilisés.

 Campagne d’information

 Vous évoquez une grande campagne d’information et vous avez raison, mais elle aurait dû être commencée avant toute injection afin que chaque injecté puisse avoir donné un véritable consentement éclairé.   Au stade actuel, il conviendra que le peuple soit informé de la nature des injections, de leurs composants, et des risques éventuels à court, moyen et long terme.
Actuellement, les bases de données officielles de l’EMA, FDA, MHRA, permettent de se faire une idée des effets indésirables dans la première année. Il est d’ailleurs remarquable que le grand nombre de décès reconnus par l’agence européenne par exemple (EudraVigilance) de l’ordre de 25000 n’ait pas entrainé un moratoire de toute vaccination pour étudier les raisons de ces drames (deux millions d’effets indésirables reconnus dont la moitié graves selon l’agence. Rappelons que la vaccination antiH1N1 a été interrompue après 53 décès et la vaccination contre la grippe aviaire après une trentaine.

 Le système sanitaire en déroute

Vous insistez à juste raison sur les difficultés du système sanitaire français bien antérieur au covid. En 2019, plus de 200 services d’urgence étaient en grève. Il faut redonner des lits, des postes de soignants, des rémunérations correctes à l’ensemble des personnels et diminuer l’emprise de la bureaucratie sur la gestion de l’hôpital public et privé.  L’obligation vaccinale des soignants n’a fait qu’aggraver les choses car les personnels, vaccinés ou non, n’ont pas apprécié cette extorsion de consentement, alors qu’ils voient des effets secondaires graves tus dans les médias et auprès de vous tous. Leurs suspensions ne font qu’aggraver les difficultés de recrutement du personnel mettant en péril le fonctionnement des établissements hospitaliers en augmentant le nombre des déserts médicaux.
 La crise du covid se termine dans le monde au moins dans tous les pays convertis plus ou moins vite aux traitements précoces peu chers et non toxiques tels l’ivermectine (Japon par exemple).
 

 Les enfants innocents du covid. Protégez l’avenir

 Quant aux enfants, ils ne présentent jamais de formes graves de covid, et ne participent pas à la transmission du virus comme l’ont démontré les publications internationales multiples depuis vingt mois et répété par toutes les sociétés de pédiatrie. Les soumettre à un traitement expérimental sans intérêt individuel, et sans intérêt collectif puisque la vaccination ne protège pas des contaminations, ni des formes graves, comme l’a écrit le ministre au conseil d’état fin mars 21.

La vaccination ne protège ni le vacciné, ni son entourage et ne repose sur aucun argument scientifique réel, mais seulement sur des simulations mathématiques grossièrement fausses

Nous sommes à votre disposition pour un entretien à ce sujet vu la gravité des conséquences possibles de cette injection.  Nous n’avons pas abordé ici les nombreux traités signés par la France dont la convention d’Oviedo, la charte des droits de l’enfant, etc. qui s’opposent à un traitement expérimental sans consentement éclairé réel. Ce volet juridique est traité par d’autres.  

Ici c’est le témoignage et le cri d’alerte de médecins au lit du patient qui voient l’inutilité du vaccin – puisque des rappels sont déjà demandés tous les six mois- et qui constatent quotidiennement les dégâts de ces thérapies expérimentales doublés de leur inefficacité.

 Il est urgent que vous obteniez une enquête parlementaire doublée d’un moratoire comme d’autres parlementaires anglais, italiens ou belges en particulier l’ont déjà demandé. Nous comptons sur vous.

En vous remerciant de l’attention que vous porterez à cette supplique, nous vous prions de croire, Mmes, Mrs les Sénateurs en nos sentiments respectueusement dévoués.


 

Dr N Delépine pédiatre cancérologue, 

Dr G. Delépine chirurgien orthopédiste cancérologue
 

 

dimanche 19 septembre 2021

Pass ou pas pass ?

 

Dieu merci...

Franjo , lui, semble avoir conservé toutes ses facultés mentales... 

Il a toujours l'art de pointer, avec humour, justesse et talent,

les incohérences et les dérives des mesures gouvernementales...


... ça fait du bien  aux zygomatiques ! :-))))


 

 

 

Emprise mentale

 
 
Depuis quelques mois,  on peut observer que beaucoup de personnes 
semblent comme "sous emprise", et que leurs facultés 
de discrimination et de jugement semblent altérées...
qu'elles ne semblent plus réceptives aux arguments "logiques"
et semblent avoir perdu leur "sens critique"... 


J'ai déjà parlé, dans ce blog, de "décervelage" et de "manipulation des masses"
(manipulation aujourd'hui rebaptisée du doux nom d'"ingénierie sociale")...
Or, les procédés qui permettent de nous "soumettre psychologiquement"
sont couramment utilisés dans les pratiques qu'on appelle "sectaires"...

 
Voyons donc quels sont les 10 critères "officiels"
selon lesquels on peut affirmer que l'on a affaire 
à une "emprise mentale"  comparable à celle d 'une secte.

Ces 10 critères sont énoncés ICI par le professeur Parquet,
professeur de psychiatrie.


Lisez-les attentivement, vous pourriez 
y retrouver des choses étrangement "familières"...
 
Comme un air de "déjà vu"... ;-)

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Les critères du professeur Parquet  permettent de « faire la démonstration de la singularité et du caractère spécifique rencontré chez les personnes « victimes » d’une organisation à caractère sectaire ».

Cinq doivent être retrouvés pour porter le diagnostic d’emprise mentale :

 

1. Rupture avec les modalités antérieures des comportements, des conduites, des jugements, des valeurs, des sociabilités individuelles, familiales et collectives.

2. Occultation des repères antérieurs et rupture dans la cohérence avec la vie antérieure.

3. Acceptation par une personne que sa personnalité, sa vie affective, cognitive, relationnelle, morale et sociale soient modelées par les suggestions, les injonctions, les ordres, les idées, les concepts, les valeurs, les doctrines imposés par un tiers ou une institution : ceci conduisant à une délégation générale et permanente à un modèle imposé.

4. Adhésion et allégeance inconditionnelle, affective, comportementale, intellectuelle, morale et sociale à une personne ou à un groupe ou à une institution, ceci conduisant à :

  • Une loyauté exigeante et complète,

  • une obéissance absolue,

  • une crainte et une acceptation des sanctions,

  • une impossibilité de croire possible de revenir à un mode de vie antérieur, ou de choisir d’autres alternatives étant donné la certitude imposée que le nouveau mode de vie est le seul légitime.

5. Une mise à disposition complète, progressive et extensive de sa vie à une personne ou à une institution.

6. Une sensibilité accrue dans le temps, aux idées, aux concepts, aux prescriptions, aux injonctions et ordres, à un « corpus doctrinal », avec éventuellement une mise au service de ceux-ci dans une démarche prosélyte.

7. Dépossession des compétences d’une personne avec anesthésie affective, altération du jugement, perte des repères, des valeurs et du sens critique.

8. Altération de la liberté de choix.

9. Imperméabilité aux avis, attitudes, valeurs de l’environnement avec impossibilité de se remettre en cause et de promouvoir un changement.

10. Induction et réalisation d’actes gravement préjudiciables à la personne, actes qui antérieurement ne faisaient pas partie de la vie du sujet. Ces actes ne sont plus perçus comme dommageables ou contraires aux valeurs et aux modes de vie habituellement admis dans notre société.

 .

(texte trouvé sur le site de l'UNADFI : Union nationale des  Associations
de Défense des Familles et Individus victimes de secte)
 
 
 
 
 
Serions-nous, par l'intermédiaire des médias mainstream,
devenus peu à peu et  "à l'insu de notre plein gré",
les victimes d'un mouvement mondial
qui emploie les méthodes des sectes,
c'est-à-dire qui nous embrigade et nous endoctrine
puis nous amène, de façon subtile et progressive,
 à des comportements contraires à nos valeurs,
et même contraires au simple "bon sens" ?
 
La question est posée...
 
Je vous laisse le soin d'y répondre...
 
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La Licorne
 
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samedi 18 septembre 2021

Appel du 17 septembre

 

Assiégeons-les (avec Amour)!

 

Appel du 17 septembre 2021 – par Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate et Jean-Dominique Michel, anthropologue et expert en santé publique

 

Nos autorités continuent à nous imposer des mesures de plus en plus brutales et surtout inutiles.

Elles ont maintenant imposé un « pass sanitaire » instituant une discrimination et une ségrégation en fonction de la soumission des individus à une injection génique expérimentale dont les risques réels ne sont pas connus et dont l’immense majorité de la population n’a aucun besoin pour se protéger ou protéger les autres.

La meilleure immunité (et de loin) face à toute infection virale est l’immunité naturelle, qui protège durant des décennies. En ce qui concerne le Sars-CoV-2, contre toute science, elle n’est pas reconnue valable au-delà de quelques mois.

Ce qui prouve si besoin était que nos gouvernements sont au service d’intérêts économiques privés et non pas de la santé et de la sécurité de la population.

Le Pr Martin Kulldorff professeur d’épidémiologie à la Faculté de médecine de l’Université de Harvard (classée première université au monde) vient de dire que « les dernières données sanitaires ont détruit tous les arguments en faveur d’un pass sanitaire. » Imposé malgré tout en France sur la base d’une (nouvelle) étude frauduleuse.

Il soulève aussi, avec ses meilleurs collègues (comme les Pr Ioannidis et Battacharya de Stanford, Gupta et Pollard d’Oxford et des dizaines de milliers d’autres) que l’immunité collective vaccinale est désormais un mirage et que la politique sanitaire mise en œuvre dans nos pays est un véritable « fiasco de santé publique », contraire à tout ce que l’on sait devoir faire pour bien gérer une épidémie.

Or nos autorités n’écoutent plus les meilleurs scientifiques depuis 18 mois. Elles s’en remettent à des petits groupes d’experts payés par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, à des sociétés de conseil et à des cercles d’influence qui n’ont rien à voir avec la démocratie. Et nous imposent des mesures arbitraires, détruisant la vitalité et la richesse économiques, culturelles et sociales de nos sociétés et in fine la vie des gens.

 

Cette crise n’a depuis longtemps plus rien de sanitaire.

Prétendant lutter contre un virus qui n’a pas accru le risque de mortalité en-dessous de 70 ans dans nos pays et dont la médiane d’âge des décès est alignée sur l’espérance de vie, qu’on saurait très bien soigner avec des remèdes connus, peu chers et efficaces, nos gouvernements et les médias qu’ils subventionnent ont entretenu depuis une année et demie une psychose collective toxique.

En donnant en permanence à la population une vision erronée de la réalité, pour lui faire accepter des mesures de plus en plus abusives et liberticides.

Dans leur fuite en avant, nos gouvernements trahissent l’intérêt et la confiance du peuple. Elles nous conduisent vers l’esclavage en privilégiant les intérêts des plus grosses sociétés mondiales au détriment des forces vives de l’économie réelle, de nos PME, commerces de proximité, entrepreneurs et indépendants. Même les grandes entreprises nationales sont aujourd’hui au bord de l’asphyxie.

Ceci pour des mesures qui n’ont pas d’utilité sanitaire réelle : les pays qui ne les ont pas appliquées s’en sortent -et de loin- mieux que les nôtres.

Ils martyrisent maintenant les soignantes et soignants qu’ils faisaient applaudir en les laissant prendre tous les risques au printemps 2020. Conditionnant leur droit de pratique à une expérimentation génique, ils réalisent une purge des milieux soignants qui ne laissera en place que les soumis et les obéissants.

 

Un viol des corps et des consciences

Nombre de malheureux cèdent à contrecœur pour ne pas perdre leurs moyens de subsistance et voient leur intégrité corporelle et leur conscience violées par une injection dont les fabricants (firmes criminelles multirécidivistes) ont d’ores et déjà obtenu l’impunité pour tous les potentiels effets destructeurs. Les données de pharmacovigilance sont alarmantes, avec déjà des dizaines de milliers de personnes tuées par ces injections géniques en Europe et des millions d’effets secondaires souvent graves. Alors qu’on sait qu’au maximum 10% des incidents sont signalés.

Comme rien, ni les appels des meilleurs scientifiques, universitaires et médecins, ni les pétitions, ni les plaintes judiciaires, ni les protestations de millions de personnes dans la rue chaque semaine et à travers le monde ne les détournent de leur agenda morbide, nous devons les arrêter, ici et maintenant !

Les protestations numériques, chacun derrière son écran, ne suffisent plus. Les manifestations des samedis ne suffisent plus. Les malades qui nous gouvernent ne sont sensibles qu’aux rapports de force. Comme ils ont le pouvoir des armes et la brutalité de leur côté, les seules puissances que nous puissions leur opposer (celles qu’ils redoutent le plus en vérité) sont celles de notre présence et de notre conscience. Nous devons occuper le pays. Occuper les alentours des lieux où ils fourbissent leurs sinistres plans et mettent en œuvre leurs politiques destructrices.

 

C’est pourquoi :

Nous appelons toutes les personnes intègres et de bonne volonté à assiéger pacifiquement les lieux du pouvoir. En faisant des chaînes humaines, des sit-in, des piquets de conscience ou par de simples regroupements pacifiques et festifs.

Réunissons-nous en masse devant les hôpitaux, les ministères, les préfectures, les médias et chaînes de télévisions, privés ou d’état, devant les universités, les hautes écoles et les lycées, les administrations, tous ces lieux qui participent activement à cette ignominie.

Faisons-le sans violence et avec Amour, le terme amour devant être compris non pas comme une mièvrerie mais comme une posture implacable, un regard plongé au fond des yeux de l’autre et qui le met à nu pour lui demander :

 

« Que fais-tu ? Pourquoi violes-tu ainsi l’honnêteté et la bonne foi ? Comment peux-tu faire preuve de si peu d’empathie envers tes semblables ?

Pourquoi torturer la population et en particulier ses membres les plus vulnérables comme les aînés et les enfants ? Pourquoi imposer des mesures brutales, violentes, risquées, contraires à toutes les bonnes pratiques en santé publique ? Pourquoi agir ainsi au service de l’instinct de mort plutôt que de chérir la vie et la beauté qui nous entourent ? Qu’as-tu fait de tes devoirs et responsabilités envers la population ? A quoi ou à qui as-tu vendu ton âme ? »

 

Que ce regard que nous porterons sur eux, jour et nuit, par beau temps, qu’il pleuve ou qu’il vente, sans haine, sans injure, sans violence, mais avec la lucidité implacable de notre humanité et de notre conscience, les fasse reculer et les hante !

Et oui, puisque ce que redoute plus que tout cette caste et cette élite dénaturées sont l’amour, la liberté, les sentiments, la solidarité, la proximité, le contact, le toucher, la musique, la poésie, la danse, la spiritualité, la joie, l’innocence et le vivre-ensemble, en définitive le « NOUS », restons-là face à eux, sans faiblir, désarmés, n’ayant pour seul puissance que celle de notre regard posé sur eux et la force irréductible de notre liberté – et de notre amour de la vie.

 

DÈS AUJOURD’HUI ET JUSQU’À LA VICTOIRE, ASSIÉGEONS-LES (AVEC AMOUR) !

« Vous pouvez demander aux gens qui m’entourent. Je n’abandonne pas. Je n’abandonne pas… et ce n’est pas par frustration ou désespoir que je dis que je n’abandonne pas. Je n’abandonne pas parce que je n’abandonne pas. Je n’y crois pas. »

Johnny Cash

NOUS N’ABANDONNERONS PAS.

 

 PS. N’hésitez pas à relayer cet Appel de toutes les manières possibles. Et à rejoindre toutes les initiatives intègres. C’est maintenant que se joue le sort de notre liberté et de notre dignité.

 


   
 
 
Autre chaîne humaine à Brighton, en Angleterre :
 
ICI 
 
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vendredi 17 septembre 2021

Il faut agir, même si les forces sont contraires

 

 

 

Cette interview de Jean-Dominique Michel a déjà un an...
mais elle garde toute son actualité...
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Articles plus récents ICI et LA
 
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dimanche 12 septembre 2021

Un art de vivre et d 'aimer par temps de catastrophe

 

 


 

Dans un monde où l’activité humaine maltraite l’environnement 
et malmène l’individu, 
où les crises économiques et sociales se succèdent, 
comment rester lucide sans être désespéré ?
 
Inspiré par les grands penseurs de l’Antiquité, 
eux aussi confrontés en leur temps à cette même question, 
Jean-Yves Leloup propose un ensemble de conseils
 pour construire une vie libérée de l’inquiétude.
 
Son enseignement, 
soutenu par une quinzaine de méditations accessibles à tous, 
nous appelle à surmonter les obstacles, vivre avec nos maux, 
écouter notre corps, respecter nos émotions et nos désirs.
 
Dans cet ouvrage lumineux, Jean-Yves Leloup nous apprend 
à prendre soin de nous même 
et à vivre en harmonie avec notre être profond.

 

 

 

mardi 7 septembre 2021

Lettre ouverte d’un groupe de psychologues indépendants

 

Adressé à : M. le Président de la République E. MACRON ; les membres du Conseil de défense et de sécurité nationale ; M. Blanquer, ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports ; les membres du Conseil Scientifique covid-19 ; les membres du Comité A.

 

Impactés en tant que citoyens français, en première ligne pour observer, analyser et accueillir les effets psychoaffectifs, psychosociaux et psychosomatiques sur le public dont nous prenons soin dans le cadre de nos activités professionnelles, bousculés et malmenés par nos instances dirigeantes, après presque deux ans de gestion de cette “crise Covid-19”, nous, psychologues, avons décidé de partager nos observations, nos interrogations, nos doutes et nos colères entre collègues.

Le constat est sans appel pour le collectif que nous avons constitué. En effet, la situation inédite que nous traversons et les réponses de nos dirigeants sont en opposition totale avec les valeurs et l’éthique que nous défendons quotidiennement dans notre profession.

 

 

Nous sommes alarmés par l’impact de cette gestion de crise sur la santé psychique et le bien-être de la population. Bien sûr, personne ne s’attend à ce qu’une crise soit un moment particulièrement heureux et s’il existe des façons d’accompagner sa famille, son clan, son groupe, ses compatriotes, à passer une crise et à en ressortir grandi, il en existe d’autres qui alimentent la crise, affaiblissent et annihilent les capacités psychiques d’adaptation et de résilience.

Les médias de toutes sortes ont déjà détaillé à maintes reprises les difficultés matérielles rencontrées dans la gestion de cette épidémie, ce n’est pas notre champ d’expertise. Nous ne reviendrons pas dessus même si beaucoup d’entre nous assistent impuissants à la dégradation des moyens humains et matériels donnés aux hôpitaux pour soigner les personnes avec la dignité qu’elles méritent et ce, depuis bien avant l’arrivée du virus Sars-cov-2.

Laissons donc de côté l’aspect de destruction du système de santé et concentrons-nous sur la gestion humaine de cette crise et ses effets délétères sur la population, comme les troubles psychiques impactant toutes les classes d’âge, ainsi que toutes les catégories socioprofessionnelles. 

Dépression, burn-out et stress post-traumatique en sont les maîtres mots. Il ne suffit pas de proposer de rembourser quelques séances de thérapie à des personnes qu’on a angoissées, enfermées, contrôlées et désorientées dans un moment de vulnérabilité extrême pour les réparer en 3 à 10 séances.

Au lieu d’humanité et d’aide soutenante apportées à la population, nous avons repéré l’utilisation de techniques de persuasion, et même de manipulation, issues du management, du marketing et de la technocratie, qui peuvent être qualifiées de perverses, voire cyniquement harceleuses, si jamais elles se révélaient être utilisées à dessein pour poser les jalons d’un régime totalitaire.

Injonctions paradoxales, discours alarmistes s’appuyant sur une énumération de faits ou de statistiques décontextualisés, renversement en son contraire ou inversion des valeurs morales, attaque des besoins primaires (tant sur le plan physiologique, du sentiment de sécurité que du lien social), chantage et menaces, instauration de clivages (en bon/mauvais, vax/antivax, responsables/complotistes, etc.) iniquité des décisions, culpabilisation, aboutissent à l’augmentation de vécus dissociatifs tel que la déréalisation et la dissonance cognitive, résultant de la croyance en des idées ou des valeurs contradictoires, et engendrent un mal-être difficilement surmontable et pathogène.

C’est ainsi qu’en mobilisant principalement les émotions sidérantes comme la peur, la culpabilité et la honte plutôt que les capacités cognitives et intellectuelles des individus, les discours médiatiques et officiels obtiennent l’adhésion à des idéologies et à des comportements auxquels les individus n’adhéreraient probablement pas si seules leurs capacités d’analyse et de discernement étaient sollicitées. Le système actuel entretient une régression vers un fonctionnement infantile, dans lequel le chantage, la peur et l’intrusion perverse permettent d’obtenir l’obéissance.

Nous ne pouvons manquer de repérer aussi, dans les différents aspects de cette gestion de crise, les principes et les mécanismes identifiés par le sociologue Albert D. Biderman pour faire plier psychologiquement un individu.

 

 

L’isolement en est la première composante. Il engendre repli et préoccupation excessive centrée sur soi, rupture avec le soutien social permettant de résister et dépendance à l’autorité. Associé à la médiatisation d’une pensée narrative unique considérée comme la seule valable, l’isolement annihile l’esprit critique et accentue la réticence à s’exprimer et à s’interroger, de peur d’être stigmatisé, considéré comme “complotiste” et exclu de son clan familial, amical ou professionnel.

L’isolement physique et psychologique, la confusion, le doute, la peur et la tension permanente que la gestion de cette crise a fait vivre aux Français ont fragilisé leur santé psychique mais aussi leur santé physique. Que penser de ces choix stratégiques qui, pour sauver des vies, en sacrifient tant d’autres par ailleurs ? En effet, parmi les dommages collatéraux des confinements successifs, nous observons dans nos consultations une augmentation des suicides, y compris chez les enfants, des violences intrafamiliales, des pratiques incestueuses, des troubles anxio-dépressifs, des syndromes de glissement massifs dans les Ehpad et les hôpitaux, etc.

Aujourd’hui, le gouvernement rajoute encore à nos concitoyens une épreuve supplémentaire, en choisissant de les diviser par la stigmatisation de la vaccination et de l’obéissance.

Nous n’acceptons pas qu’un schéma vaccinal, à partir de techniques expérimentales aux résultats discutables, puisse être imposé à notre profession et à nos collègues soignants, obligeant ceux qui refusent de s’y soumettre à renoncer à leur métier. En l’état actuel de la loi du 5 août 2021, les psychologues faisant usage du titre, quel que soit leur lieu d’exercice, y compris en libéral et par téléconsultation, perdent leur droit d’exercer et leur rémunération s’ils ne satisfont pas à l’obligation vaccinale.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations exercées sur nous, nos collègues et les concitoyens ne souhaitant pas se faire vacciner. Nous demandons le rétablissement d’une stratégie favorisant le choix et l’implication individuelle et ce, à partir d’une information libre et éclairée.

Nous ne pouvons pas plus cautionner le passe sanitaire ou la diffusion des données biomédicales pour accéder à la vie quotidienne, du fait non seulement de son caractère discriminant et asservissant mais également à cause du manque de respect du secret médical. A ceux qui pourraient nous opposer ici la dangerosité du virus et la prévalence de la santé publique sur l’atteinte aux libertés individuelles, nous répondons que toutes les options de prophylaxie et de traitements ne sont pas étudiées pour nous permettre de vivre avec, en pleine conscience et responsabilité.

Aujourd’hui, les citoyens qui se croyaient protégés par des lois acquises et essentielles à la garantie de leurs libertés et de leur égalité, se retrouvent à nu et en perte de repères dans un monde qu’ils ne reconnaissent plus. Nous avons tous à redouter les conséquences de cette inversion des valeurs que cette nouvelle donne politique érige en modèle sociétal.

Dans ce contexte inédit où les principes fondamentaux de notre code de déontologie sont mis à mal, nous lançons aussi un appel à tous nos collègues psychologues.

N’ayez pas peur de prendre position pour le respect des “libertés et droits fondamentaux garantis par la loi et la Constitution, par les principes généraux du Droit communautaire et par les conventions et traités internationaux.” Restons attachés “à respecter l’autonomie de la personne et en particulier son droit à l’information, sa liberté de jugement et de décision”? Tout ce qui constitue le premier principe du code de déontologie des psychologues parce que : “Le respect de la personne dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde l’action des psychologues.”

Nous devons comprendre là qu’il ne peut s’aliéner sous aucun prétexte, ni même aucun régime dit d’exception. En aucun cas un psychologue ne saurait être l’instrument d’un pouvoir qui devient pathologique, malsain, intrusif et traumatique, puisque sa fonction au contraire, c’est bien d’en émanciper les individus.

Engageons-nous ensemble pour le respect de nos choix concernant notre intégrité physique et psychique.

Interrogeons notre posture professionnelle et déontologique en nous demandant comment continuer d’accompagner des personnes vers une meilleure autonomie de pensée si nous sommes nous-mêmes assujettis à une pensée unique ?

Cette question se pose de la même façon que celle concernant la restriction de nos pratiques à des outils ou des méthodes imposées par décret, à la volonté de nous soumettre à l’allégeance à la pensée étatique par un ordre professionnel, ou à celle de la pensée médicale par la paramédicalisation de notre profession, tel que nous le dénoncions en nombre en manifestant le 10 juin dernier.

Comment garder notre propre autonomie de penser et d’agir, en dehors de toute contrainte normative, pour nous-mêmes et pour les personnes que nous accompagnons, d’autant plus lorsque cette dernière est changeante, aléatoire et arbitraire ?

Nous invitons donc tout collègue, tout professionnel du soin et de l’accompagnement et plus largement toute personne se reconnaissant dans ces principes, à nous soutenir, à réagir et à s’organiser.

 

 

 

lundi 6 septembre 2021

Charte de Biderman : pression psychologique intense




  
Les tortures psychologiques basées sur la charte de Biderman
sont utilisées par tous les pays totalitaires
mais également dits démocratiques lors de guerre.

C’est dans les années 1950 que le psychologue social Albert Biderman
qui a travaillé pour l’armée Américaine ( CIA )
écrivit un article relatant les techniques de torture
utilisées par les soldats Chinois lors de la guerre de Corée.
Le tableau qu'il a dressé de ces tortures est appelé le DDD
( Debility, Dependence, Dread ) :
Faiblesse, Dépendance, Peur

L’avantage de cette charte de Biderman
est de recourir à la théorie du conditionnement
sans violence physique excessive.

C’est de la torture au sens propre du terme,
dont voici les 8 critères :

Isolement
Monopolisation de la perception
Épuisement induit
Menaces
Indulgences occasionnelles
Démonstration de toute puissance
Dégradation
Demandes stupides imposées

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samedi 4 septembre 2021

Je n'ai pas le choix...?



 

 

Pour faire un "choix" éclairé :

Ecouter en priorité sa conscience, son coeur...

(et relire aussi un peu les chiffres...)

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A (re)lire  : Rapport d'Eudravigilance 

(comparaison des effets secondaires

des quatre vaccins Covid en circulation)

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Témoignage d'une infirmière


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jeudi 2 septembre 2021

Mascarade du pass sanitaire

 
 
Une interview très intéressante...
avec, enfin, un discours "sensé"...
sur le sujet.
 
A écouter absolument...

 
 

 

 

mercredi 1 septembre 2021

Incrédulité

 

 


 
Seuls les plus petits secrets ont besoin d'être protégés. 
Les plus gros sont gardés par l'incrédulité publique.
 
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Marshall McLuhan
philosophe, sociologue
et théoricien de la communication
 

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