lundi 26 décembre 2022
Pause
samedi 24 décembre 2022
Joyeux Noël !
Je vous souhaite un Noël zen et détendu...
autour d'un bon feu !
(un grand luxe par les temps qui courent...
car oui...on dépasse largement les 19°C... :-))
du bonheur avec ceux que vous aimez...
(n'oubliez pas de rattraper
toutes les bises et tous les câlins en retard !)
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et aussi de renouer, si vous le pouvez,
les liens...abîmés ! ;-)
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Belles fêtes !
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Et que la lumière
illumine les ténèbres !
L'adoration des bergers
Gerrit van Honthorst
jeudi 22 décembre 2022
L 'e-santé ...et autres aberrations actuelles...
mardi 20 décembre 2022
Quand la narration collective l'emporte sur le réel...
jeudi 15 décembre 2022
Légalité et légitimité
Je souligne toujours l'écart entre légalité et légitimité.
en tant que citoyens,
mercredi 14 décembre 2022
L'homme "du troupeau" peut-il retrouver la sagesse ?
« L’homme moyen dépourvu de physionomie, l’homme qui présente l’insignifiante « physionomie de l’époque », et qui se distingue aussi peu de son voisin qu’une photographie se distingue d’une autre photographie dans un vieil album, cet homme est retombé dans la pure existence crépusculaire des animaux dans leur troupeau, loin de tout élan de connaissance, loin de toute participation ; sa nature végétative et animale a pris le dessus, et quoiqu’il en pense, projette ou entreprenne, dans l’action ou dans la simple représentation, pour ou contre son environnement, il est retombé dans une existence instinctuelle, il ne recherche plus que la satisfaction immédiate de ses pulsions, il s’inscrit dans le cadre de l’environnement donné, des conditions données hic et nunc, que son existence crépusculaire lui commande d’accepter.
C’est une attitude extrêmement proche de l’animalité ; l’animal aussi, en tant qu’individu, est dépourvu de physionomie propre, il ne se distingue guère de ses congénères au sein de son espèce. […] Toute l’histoire humaine est une lutte perpétuelle pour la sublimation des pulsions, et si l’on peut parler de progrès dans l’histoire, celui-ci ne réside pas dans la domination de la nature extérieure, mais bien dans la maîtrise de la nature intérieure, dans les efforts de sublimation par lesquels l’individu s’efforce de prendre le contrôle de ses propres pulsions, les discipline et les satisfait dans l’ordre de la connaissance, du travail productif et des échanges sociaux, pour les sortir et se sortir lui-même de l’anonymat animal. » (p127-128)
Ce n’est jamais pour l’individu sans physionomie qui suit le troupeau et se contente d’accepter les nouvelles conditions, c’est seulement pour l’individu « participant » que l’avancée de la connaissance devient une véritable base de sublimation, parce que la sublimation, comme la connaissance elle-même, est une fonction individuelle et pas une fonction de masse : le troupeau humain sans physionomie ne connaît pas la sublimation, il ne connaît, comme masse, rien d’autre que l’acceptation et l’intégration des formes extérieures d’un niveau de sublimation. Conclure directement de l’existence d’un niveau de sublimation élevé à l’existence d’une fonction de sublimation supérieure et permanente chez les individus, ce serait se rendre coupable d’un raccourci fallacieux de la pire espèce. »
Sur la relation du 19ème au 20ème siècles : l’individualisme est une mystification, une sublimation hypocrite des pulsions qui fût réfuté de la plus horrible manière, lorsque ressurgit la pulsion déchaînée, l’autodestruction apocalyptique.
« L’animal ne connaît pas l’autodestruction, il est partout et toujours exactement conforme à lui-même, il ne peut jamais sombrer plus bas que lui-même et sa propre nature : mais à l’homme, irrémédiablement tiraillé entre la connaissance et la conscience crépusculaire, entre la participation et l’acceptation, entre la vie typique et la vie moyenne, entre le développement de sa personnalité et l’absence de physionomie propre, voire de Moi, bref, entre la sublimation et la satisfaction des pulsions, déchiré par toutes ses contradictions, à l’homme il est réservé de déchoir, de déroger à lui-même et à son humanité, de tomber dans l’autodestruction, et donc de trahir son humanité. »
Autant l’homme est irrémédiablement prisonnier de sa condition crépusculaire, autant cette condition se trouve comme éclairée de l’intérieur par toutes les précédentes avancées de la connaissance, elle est devenue le savoir inconscient de l’homme, son savant inconscient. Et dans ce savoir, l’homme a la capacité et le devoir de cultiver sa connaissance : lui qui, d’une part, est obligé d’admettre que les limites de la zone crépusculaire, si loin qu’il les repousse, restent en dernière instance infranchissables, mais qui d’autre part est aiguillonné par sa nature prométhéenne à s’avancer toujours plus loin au-delà de lui-même, lui qui est donc en même temps obligé de se restreindre et de perfectionner constamment sa connaissance, entre ces deux devoirs antagoniques se contre-pesant exactement, une attitude spécifiquement et exclusivement humaine lui est offerte ou accessible – en tant qu’accessible déjà offerte ; l’attitude de la sagesse, qui seule permet à l’homme, amenant enfin la balance à l’équilibre, de préserver son existence crépusculaire de la chute dans l’animalité et de se maintenir lui-même dans l’état d’humanité.
C’est là le talent et le devoir d’être homme. Personne ne peut faire avancer de force la connaissance, personne ne peut se contraindre à la génialité, s’appeler lui-même à la création de génie, mais tout le monde peut – et c’est là l’appel éthique de l’authentique prophétie – rester ouvert à la connaissance et s’éduquer ainsi lui-même à la sagesse d’une constante participation à la vérité, sachant que toute nouvelle avancée de la connaissance prendra de là son départ.
Tant que l’étincelle prométhéenne dans l’homme n’est pas complètement éteinte, tant qu’en brille encore une faible lueur, elle peut être réveillée, l’étincelle peut être réveillée, l’homme peut être réveillé, l’humain peut être réveillé. Il est donc faux de dire que l’homme ne peut influer sur son état crépusculaire, qu’il ne peut diriger le flot crépusculaire ; dans toute obscurité crépusculaire se reflète, peut se refléter la lumière de la connaissance (plus vivement en tout cas qu’elle ne le fera jamais dans le rêve) et la possibilité est ainsi donnée à l’homme crépusculaire de s’éduquer lui-même à la sagesse, de retrouver après chaque chute le chemin vers la sagesse de son être.
Aujourd’hui encore, où toute connaissance semble être menacée par l’Apocalypse, où tout l’édifice de valeurs de l’homme et de l’humanité risque de sombrer dans la bestialité absurde et vide, où se trouve balayé tout ce que l’esprit humain peut s’honorer d’avoir inventé et créer, aujourd’hui encore on peut espérer redresser la situation, cet espoir demeure l’espoir humain absolu, il demeure parce que l’étincelle prométhéenne ne s’est jamais complètement éteinte et sans doute ne s’éteindra plus jamais complètement. Car parmi les faits étonnants de cet étonnant enchaînement qu’on appelle le cours du monde, deux sont étonnants parmi tous.
Le premier est que les hommes depuis le commencement du monde ne soient encore jamais arrivés à s’exterminer mutuellement ; le deuxième, que les survivants, qui sont donc les plus violents, les plus grossiers, les plus agressifs, en un mot les « vainqueurs », sélectionnés à partir du patrimoine héréditaire le plus brutal de toutes les créatures, eux qui depuis le début ont piétiné tout ce qui est tendre et doux, n’aient pu empêcher l’avènement de la culture, le progrès vers plus d’humanité ; le miracle de l’existence humaine, le respect de la vie humaine, la préservation et l’enrichissement de cette vie ont été cent fois imposés et extorqués à l’homme – comme si réellement des forces supérieures étaient ici à l’œuvre –, malgré son penchant pour la condition végétative-animale de l’existence crépusculaire, malgré toutes ses chutes dans la bestialité sans visage. »
Pour suivre le troupeau, pas besoin de cerveau,
deux jambes suffisent.
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Pr Didier Raoult
lundi 12 décembre 2022
vendredi 9 décembre 2022
jeudi 8 décembre 2022
Peuple ou masse ?
mercredi 7 décembre 2022
mardi 6 décembre 2022
dimanche 4 décembre 2022
Un livre éclairant
samedi 3 décembre 2022
vendredi 2 décembre 2022
Le monde d'après...
mercredi 30 novembre 2022
Les dangers du dogmatisme
lundi 28 novembre 2022
Réseau d'amour
Les pensées négatives sont puissantes
et nous aspirent vers la noirceur.
Et la même force est à notre disposition
dans la ferveur.
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samedi 26 novembre 2022
En hommage à Christian Bobin
La vie a deux visages : un émerveillant et un terrible
...
Echec et mat pour l'humanité...ou souveraineté ?
Nous sommes à la croisée des chemins :
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A nous de choisir...
mardi 22 novembre 2022
Développement durable et Agenda 2030
samedi 19 novembre 2022
Alerte !!!
Non seulement les gens ne savent pas ce qui leur arrive,
ils ne savent même pas qu'ils ne savent pas.
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Noam Chomsky
.vendredi 18 novembre 2022
Soutien à Martine Wonner
mercredi 16 novembre 2022
Citations d'Abraham Lincoln
La meilleure façon de prédire votre avenir est de le créer.
Abraham Lincoln
lundi 14 novembre 2022
dimanche 13 novembre 2022
La stratégie du choc
D'après le livre de Naomi Klein, paru en 2007 :
mardi 8 novembre 2022
100 ans
Annick de Souzenelle a ...100 ans !
Bon anniversaire...
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2014
Extrait :
"
"Je sais que nous allons passer par des choses très difficiles...
Je suis très pessimiste quant à l'avenir immédiat...
mais très optimiste quant à l'évolution de l'homme..."
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2022
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dimanche 6 novembre 2022
La dissonnance citoyenne
samedi 5 novembre 2022
Surmortalité
La surmortalité, dans un grand nombre de pays,
est actuellement impressionnante,
nous disent les statistiques officielles
(ainsi que celles des sociétés d'assurance),
en particulier dans la tranche des 18-64 ans.
vendredi 4 novembre 2022
Evolution inquiétante de notre société
Intervention de Jean-Dominique Michel à Saintes, fin octobre 2022
mercredi 2 novembre 2022
Le coeur du mal

dimanche 30 octobre 2022
Le Je, le Nous et le bouc émissaire
Longue interview de Louis Fouché qui aborde de très nombreux sujets...
Suite de l'interview :
Extrait de la dernière vidéo:
"L'expérience de rencontre avec le monde est violente, par nature.
C'est ensuite à moi de la transformer en autre chose.
C'est une sorte d'alchimie intérieure :
je peux transformer cette violence
en une expérience de rencontre...
et une transformation.
On n'est pas obligé d'aboutir
à la guerre mimétique
et au sacrifice."
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Louis Fouché
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Les enfants sacrifiés
Le livre
Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.
Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.
Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants? Il est temps d’ouvrir les yeux et ne pas sacrifier, après nos aînés, notre jeunesse, avenir de l’Humanité.
Les auteurs
Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.