lundi 26 décembre 2022

Pause

 

 Le monde veut le sommeil. Le monde n'est que sommeil. 

Le monde veut la répétition ensommeillée du monde. 

Mais l'amour veut l'éveil. 

L'amour est l'éveil chaque fois réinventé.

Christian Bobin
.

 


 
 
Moins d'internet...
et plus d'énergie consacrée à la vie "réelle"...
c'est un peu mon programme pour 2023 :-)
.
Beaucoup de choses à faire, 
de projets à mener à terme...
 
J'ai donc décidé  de faire une pause...
et d'arrêter, pour l'instant, les publications ..
.
Pour combien de temps,
je ne sais pas...
 
En attendant, je vous souhaite, sincèrement,
à tous, un bon début d'année...
et du courage pour la suite...:-)

A plus !
.
 
La Licorne
.



samedi 24 décembre 2022

Joyeux Noël !

 


 

 Je vous souhaite un Noël zen et détendu...

autour d'un bon feu !

(un grand luxe par les temps qui courent...

car oui...on dépasse largement les 19°C... :-))


 

 

du bonheur avec ceux que vous aimez...

 

(n'oubliez pas de rattraper

toutes les bises et tous les câlins en retard !)

.

et aussi de renouer, si vous le pouvez, 

les liens...abîmés ! ;-)

.


Belles fêtes !

.


Et que la lumière 

illumine les ténèbres !

https://benoit-et-moi.fr/2010-III/images/adorationdesbergers2.jpg 

L'adoration des bergers 

Gerrit van Honthorst

 

 

jeudi 22 décembre 2022

L 'e-santé ...et autres aberrations actuelles...

 

 

Louis Fouché nous parle
des dérives de la médecine actuelle...
 
 
 
 
 
 
... des errances de la société...



 
et de l'inutilité des injections.....
 
 
   
 
 
 
 

Petit rappel

 



 

mardi 20 décembre 2022

Quand la narration collective l'emporte sur le réel...

 

 
 
 
Jean-Dominique Michel explore quelques questions :
 
 
Quel est le profil des personnes "immunisées" contre la propagande ?

Le fait d'être instruit protège-t-il ?
 
Qu'est-ce qu'une vraie démarche scientifique ?
 
Comment confirmer ses intuitions ? 

Qui croire ?

Pourquoi fait-on quand même confiance à des politiques peu fiables ?
 
Comment se fait-il qu'on ne tire-t-on pas les enseignements des faits bruts ?
 
Dans  quelles fausses logiques sommes-nous empêtrés ? 
 
Quel espoir de retrouver la raison  reste-t-il ?
 
 
.




jeudi 15 décembre 2022

Légalité et légitimité

 


Je souligne toujours l'écart entre légalité et légitimité. 

Je considère la légitimité des valeurs 
plus importante que la légalité d'un État. 
Nous avons le devoir de mettre en cause, 
en tant que citoyens,
 la légalité d'un gouvernement.

Nous devons être respectueux de la démocratie, 
mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, 
même si c'est légal, il nous appartient de protester, 
de nous indigner et de désobéir.
.
Stéphane Hessel - 2010
 
 
 
.

 

 

 

mercredi 14 décembre 2022

L'homme "du troupeau" peut-il retrouver la sagesse ?

 
 
Toute âme peut être éveillée 
parce qu’en toute âme coexistent le bien et le mal 
et que tout homme, par conséquent, 
est susceptible d’avancer 
vers le haut comme vers le bas.
.
Hermann Broch
"Théorie de la folie des masses"
.
 


 

« L’homme moyen dépourvu de physionomie, l’homme qui présente l’insignifiante « physionomie de l’époque », et qui se distingue aussi peu de son voisin qu’une photographie se distingue d’une autre photographie dans un vieil album, cet homme est retombé dans la pure existence crépusculaire des animaux dans leur troupeau, loin de tout élan de connaissance, loin de toute participation ; sa nature végétative et animale a pris le dessus, et quoiqu’il en pense, projette ou entreprenne, dans l’action ou dans la simple représentation, pour ou contre son environnement, il est retombé dans une existence instinctuelle, il ne recherche plus que la satisfaction immédiate de ses pulsions, il s’inscrit dans le cadre de l’environnement donné, des conditions données hic et nunc, que son existence crépusculaire lui commande d’accepter. 

C’est une attitude extrêmement proche de l’animalité ; l’animal aussi, en tant qu’individu, est dépourvu de physionomie propre, il ne se distingue guère de ses congénères au sein de son espèce. […] Toute l’histoire humaine est une lutte perpétuelle pour la sublimation des pulsions, et si l’on peut parler de progrès dans l’histoire, celui-ci ne réside pas dans la domination de la nature extérieure, mais bien dans la maîtrise de la nature intérieure, dans les efforts de sublimation par lesquels l’individu s’efforce de prendre le contrôle de ses propres pulsions, les discipline et les satisfait dans l’ordre de la connaissance, du travail productif et des échanges sociaux, pour les sortir et se sortir lui-même de l’anonymat animal. » (p127-128)

 

 

 Ce n’est jamais pour l’individu sans physionomie qui suit le troupeau et se contente d’accepter les nouvelles conditions, c’est seulement pour l’individu « participant » que l’avancée de la connaissance devient une véritable base de sublimation, parce que la sublimation, comme la connaissance elle-même, est une fonction individuelle et pas une fonction de masse : le troupeau humain sans physionomie ne connaît pas la sublimation, il ne connaît, comme masse, rien d’autre que l’acceptation et l’intégration des formes extérieures d’un niveau de sublimation. Conclure directement de l’existence d’un niveau de sublimation élevé à l’existence d’une fonction de sublimation supérieure et permanente chez les individus, ce serait se rendre coupable d’un raccourci fallacieux de la pire espèce. »

 

Sur la relation du 19ème au 20ème siècles : l’individualisme est une mystification, une sublimation hypocrite des pulsions qui fût réfuté de la plus horrible manière, lorsque ressurgit la pulsion déchaînée, l’autodestruction apocalyptique.

« L’animal ne connaît pas l’autodestruction, il est partout et toujours exactement conforme à lui-même, il ne peut jamais sombrer plus bas que lui-même et sa propre nature : mais à l’homme, irrémédiablement tiraillé entre la connaissance et la conscience crépusculaire, entre la participation et l’acceptation, entre la vie typique et la vie moyenne, entre le développement de sa personnalité et l’absence de physionomie propre, voire de Moi, bref, entre la sublimation et la satisfaction des pulsions, déchiré par toutes ses contradictions, à l’homme il est réservé de déchoir, de déroger à lui-même et à son humanité, de tomber dans l’autodestruction, et donc de trahir son humanité. »

 

Autant l’homme est irrémédiablement prisonnier de sa condition crépusculaire, autant cette condition se trouve comme éclairée de l’intérieur par toutes les précédentes avancées de la connaissance, elle est devenue le savoir inconscient de l’homme, son savant inconscient. Et dans ce savoir, l’homme a la capacité et le devoir de cultiver sa connaissance : lui qui, d’une part, est obligé d’admettre que les limites de la zone crépusculaire, si loin qu’il les repousse, restent en dernière instance infranchissables, mais qui d’autre part est aiguillonné par sa nature prométhéenne à s’avancer toujours plus loin au-delà de lui-même, lui qui est donc en même temps obligé de se restreindre et de perfectionner constamment sa connaissance, entre ces deux devoirs antagoniques se contre-pesant exactement, une attitude spécifiquement et exclusivement humaine lui est offerte ou accessible – en tant qu’accessible déjà offerte ; l’attitude de la sagesse, qui seule permet à l’homme, amenant enfin la balance à l’équilibre, de préserver son existence crépusculaire de la chute dans l’animalité et de se maintenir lui-même dans l’état d’humanité. 

C’est là le talent et le devoir d’être homme. Personne ne peut faire avancer de force la connaissance, personne ne peut se contraindre à la génialité, s’appeler lui-même à la création de génie, mais tout le monde peut – et c’est là l’appel éthique de l’authentique prophétie – rester ouvert à la connaissance et s’éduquer ainsi lui-même à la sagesse d’une constante participation à la vérité, sachant que toute nouvelle avancée de la connaissance prendra de là son départ. 

Tant que l’étincelle prométhéenne dans l’homme n’est pas complètement éteinte, tant qu’en brille encore une faible lueur, elle peut être réveillée, l’étincelle peut être réveillée, l’homme peut être réveillé, l’humain peut être réveillé. Il est donc faux de dire que l’homme ne peut influer sur son état crépusculaire, qu’il ne peut diriger le flot crépusculaire ; dans toute obscurité crépusculaire se reflète, peut se refléter la lumière de la connaissance (plus vivement en tout cas qu’elle ne le fera jamais dans le rêve) et la possibilité est ainsi donnée à l’homme crépusculaire de s’éduquer lui-même à la sagesse, de retrouver après chaque chute le chemin vers la sagesse de son être. 

 Aujourd’hui encore, où toute connaissance semble être menacée par l’Apocalypse, où tout l’édifice de valeurs de l’homme et de l’humanité risque de sombrer dans la bestialité absurde et vide, où se trouve balayé tout ce que l’esprit humain peut s’honorer d’avoir inventé et créer, aujourd’hui encore on peut espérer redresser la situation, cet espoir demeure l’espoir humain absolu, il demeure parce que l’étincelle prométhéenne ne s’est jamais complètement éteinte et sans doute ne s’éteindra plus jamais complètement. Car parmi les faits étonnants de cet étonnant enchaînement qu’on appelle le cours du monde, deux sont étonnants parmi tous. 

Le premier est que les hommes depuis le commencement du monde ne soient encore jamais arrivés à s’exterminer mutuellement ; le deuxième, que les survivants, qui sont donc les plus violents, les plus grossiers, les plus agressifs, en un mot les « vainqueurs », sélectionnés à partir du patrimoine héréditaire le plus brutal de toutes les créatures, eux qui depuis le début ont piétiné tout ce qui est tendre et doux, n’aient pu empêcher l’avènement de la culture, le progrès vers plus d’humanité ; le miracle de l’existence humaine, le respect de la vie humaine, la préservation et l’enrichissement de cette vie ont été cent fois imposés et extorqués à l’homme – comme si réellement des forces supérieures étaient ici à l’œuvre –, malgré son penchant pour la condition végétative-animale de l’existence crépusculaire, malgré toutes ses chutes dans la bestialité sans visage. »

 

Hermann Broch (1886-1951)




Pour suivre le troupeau, pas besoin de cerveau,

deux jambes suffisent.

.

Pr Didier Raoult


 

 

jeudi 8 décembre 2022

Peuple ou masse ?

 

 
 
 
Pour qu'il y ait démocratie,
participation du peuple,
il faut qu'il y ait des peuples.
 
 Or un peuple, ce n'est pas une masse...
 
Une masse, c'est une somme d'individus 
qui ont renoncé à leur esprit critique
et qui se soumettent à leur pure existence biologique, 
à ce qu'on pourrait résumer 
comme une existence de consommation.
.
 
 
 
 
Un peuple, c'est tout à fait autre chose.
Ce sont des individus doués d'esprit critique, instruits,
et qui ont donc les outils pour défendre leurs droits.
 
Aujourd'hui, la dérive totalitaire n'a aucune peine 
à établir une psychose de masse
puisqu'elle n'a pas à créer la masse, 
la masse lui préexiste...
.
Dans une masse, le individus ne sont plus des individus,
c'est un corps "collé" 
dans lequel les personnes vont là où le vent souffle...
et sont réduits à être des fonctions,
des instruments de propagande.
(...)



 
Au final, les profils les plus dangereux
du système totalitaire,
ce ne sont pas les profils criminels...
qui ne sont pas si nombreux,
.

Ariane Bilheran
.
 
 
 
 
 
Autres vidéos récentes :
 
 
 
 

.





dimanche 4 décembre 2022

Un livre éclairant


 


 
Laurent Gounelle a écrit là un livre assez différent 
de ses précédents ouvrages...
qui étaient nettement plus "légers"...
et moins ancrés dans l'actualité.
 
Il livre ici une histoire simple, 
une sorte de "parabole" 
autour de l'épidémie de Covid,
épidémie qui, astucieusement, n'est pas nommée,
le sujet étant "déplacé" ...
mais bien reconnaissable !
 
 
L'auteur contourne toute prise de position 
concernant les vaccins, 
mais s’intéresse « à tout le reste »...
aux mesures prises...à leur apparence logique
qui cachent mal leur complète absurdité ...
 
Il s'appuie sur de nombreuses références historiques
sur des théories économiques 
et sur des études psychologiques...
On y retrouve notamment une analyse détaillée 
des principales techniques de manipulation des masses...
.  
 
C'est un  livre court, facile à lire,
une sorte de "conte philosophique"...
qui  démonte bien l'engrenage 
dans lequel nous sommes pris
et qui évite intelligemment le jugement 
par rapport à ceux qui "ne voient pas"...
ce qui le rend lisible par (presque) tous...
.
 
A lire et surtout...
 à "faire lire"...
.
 
 Merci Laurent Gounelle !
Il fallait avoir le courage de l'écrire...
.
 


   
 
 
 

vendredi 2 décembre 2022

Le monde d'après...

 

 
 
 
Ema reçoit Laurent Firode, auteur et réalisateur du film 
"Le Monde d'après", 
actuellement dans certains cinémas : 
« Le Monde d'après » est cette expression devenue commune 
depuis la crise sanitaire. 
 
 Le droit de sortir de chez soi n'a plus été évident, 
ce qui nous aurait semblé inenvisageable dans le monde d'avant 
est devenu possible, vraisemblable, dans le « Monde d'après ». 
 
" J'ai eu envie de faire ce film car j'ai été frappé par le silence des artistes 
quand la dictature sanitaire s'est installée. 
Les belles âmes, d'habitude si promptes à s'émouvoir, ne disaient rien. 
On pouvait nous enfermer, nous empêcher de nous soigner, 
et rien, aucune réaction. 
Après réflexion il m'est apparu évident que tout cela n'était pas tombé par hasard. 
La crise sanitaire n'était que le préambule de ce changement de société 
que le modèle mondialiste et capitaliste nous commande de faire. "




mercredi 30 novembre 2022

Les dangers du dogmatisme

 

 
 Interview de 2006
 
 
Christiane Singer (décédée en 2007) 
fut lectrice à l'université de Bâle, 
puis chargée de cours à l'université de Fribourg 
avant de se consacrer à ses activités littéraires. 
Elle a suivi l'enseignement de Graf Karlfried Dürckheim, 
(disciple de C. G. Jung). 
Écrivain prolifique, de sensibilité chrétienne imprégnée de sagesse orientale, 
elle s'est abstenue de donner des leçons de morale et excluait tout dogmatisme.
 
Elle nous met en garde contre les dérives de celui-ci
qu'il soit religieux...ou scientifique,
et elle nous donne son opinion sur les "chasses aux sorcières"
menées régulièrement contre ceux qui tentent
une échappée vers l'esprit, vers la spiritualité.

.
 
 

lundi 28 novembre 2022

Réseau d'amour

 


 

Les pensées négatives sont puissantes
et nous aspirent vers la noirceur.
Et la même force est à notre disposition
dans la ferveur.
.

Annick de Souzenelle m'a donné cette magnifique phrase :
"Un arbre qui tombe fait plus de bruit
que toute une forêt qui pousse."

Nos actualités, nos informations ne sont faites
que d'arbres qui tombent.
Le monde aurait disparu depuis bien longtemps
si ceci était l'unique réalité.

Le monde tient debout par ce réseau d'amour
que nous créons, vous et moi, chaque jour,
et tous ces êtres qui, en cet instant,
sont en train de faire quelque chose,
des actes d'amour dans le monde,
un regard de tendresse
pour la terre qui nous entoure,
pour la création.

Cela tient le monde debout.
 
Christiane Singer
"Du bon usage des crises"

.

 

 

samedi 26 novembre 2022

En hommage à Christian Bobin


 
Triste nouvelle...

Un poète et un homme inestimable, 
 vient de nous quitter...
.
 



Il reste d’une personne aimée une matière très subtile, immatérielle 
qu’on nommait avant, faute de mieux, sa présence. 
Une note unique dont vous ne retrouverez jamais l’équivalent dans le monde. 
Une note cristalline, quelque chose qui vous donnait de la joie 
à penser à cette personne, à la voir venir vers vous. 
Comme la pépite d’or trouvée au fond du tamis, 
ce qui reste d’une personne est éclatant. 
Inaltérable désormais.

Christian Bobin



Réécoutons-le dans une de ses apparitions à La Grande Librairie :
 
 
 
 

La vie a deux visages : un émerveillant et un terrible

 

"Nous sommes sans arrêt confrontés à des séparations. 
La vie a une main qui plonge dans notre corps, se saisit du cœur et l’enlève. 
Pas une fois, mais de nombreuses fois. 
En échange, la vie nous donne de l’or.
Seulement, nous payons cet or à un prix fou 
puisque nous en avons, 
à chaque fois, le cœur arraché vivant…
 
Chaque séparation nous donne une vue 
de plus en plus ample et éblouie de la vie. 
Les arrachements nous lavent. 
Tout se passe, dans cette vie, comme s’il nous fallait avaler l’océan. 
Comme si périodiquement nous étions remis à neuf par ce qui nous rappelle 
de ne pas nous installer, de ne pas nous habituer. 
 
La vie a deux visages : un émerveillant et un terrible.  
Quand vous avez vu le visage terrible, 
le visage émerveillant se tourne vers vous comme un soleil."
.
 
.
 


 

 

 ...

Echec et mat pour l'humanité...ou souveraineté ?

 

 Nous sommes à la croisée des chemins :

Grand Reset ou Grand Réveil ?

.

A nous de choisir...


 

 
 
 
Ne doutez jamais qu’un petit groupe 
d’individus conscients et engagés 
puisse changer le monde. 
C’est même de cette façon 
que cela s’est toujours produit.
 
Margaret Mead
anthropologue
.
 
 
 
Ajout :
 
 
 


mardi 22 novembre 2022

samedi 19 novembre 2022

Alerte !!!

 

 

 
Documentaire récent et très complet...
.

A regarder uniquement si vous êtes "prêts"

à tout savoir des "machinations" en cours...
 
sur le plan de la santé, du transhumanisme
 
et de la "robotisation" de l'humanité...
 
Sinon, abstenez-vous !

 

 
 
 

Non seulement les gens ne savent pas ce qui leur arrive, 

ils ne savent même pas qu'ils ne savent pas.

.

Noam Chomsky


 
 
 

vendredi 18 novembre 2022

Qu'est-ce qu'on attend ?

 


"Coup de gueule" bien senti d'Anny Duperey...

par rapport aux soignants suspendus

 




Soutien à Martine Wonner

 

 
 
Visée par deux plaintes pour ses critiques contre les masques, 
les vaccins anti-Covid et la gestion de la crise sanitaire, 
l’ex-députée LREM Martine Wonner, 
qui s’est démarquée ces deux dernières années 
par son combat pour les libertés 
face aux restrictions imposées par le gouvernement d’Emmanuel Macron, 
 
 
Alors qu’elle risque la radiation, 
plusieurs personnalités de poids ont manifesté leur soutien 
à la psychiatre alsacienne.
 
 
 

 
 


 
 

 

mercredi 16 novembre 2022

Citations d'Abraham Lincoln

 



 
Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps. 
Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps. 
Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.


Quand je fais le bien, je me sens bien. 
Quand je fais le mal, je me sens mal. 
Voilà ma religion.
.
 
Le silence devient un péché 
lorsqu’il prend la place qui revient à la protestation ; 
et, d’un homme, il fait alors un lâche. 
.
 

 La meilleure façon de prédire votre avenir est de le créer.


 Abraham Lincoln

 

dimanche 13 novembre 2022

La stratégie du choc

 

D'après le livre de Naomi Klein, paru en 2007 :

 
 
 
Une "stratégie du choc" est un ensemble de tactiques brutales
qui visent à tirer systématiquement parti
du désarroi d'une population
à la suite d'un choc collectif
pour faire passer en force des mesures extrémistes
en faveur des grandes corporations, 
mesures souvent qualifiées de "thérapie de choc".
.
 
Naomi Klein
"Dire non ne suffit plus"
.



mardi 8 novembre 2022

100 ans

 

 

Annick de Souzenelle a ...100 ans !

Bon anniversaire...


.

 

 

2014

 

 

Extrait :

"

"Je sais que nous allons passer par des choses très difficiles...

Je suis très pessimiste quant à l'avenir immédiat...

mais très optimiste quant à l'évolution de l'homme..."

.


  

2022

 

 

 

.

dimanche 6 novembre 2022

La dissonnance citoyenne

 

 
 
 
Une vidéo récente et intéressante qui montre
pourquoi les uns et les autres 
n'ont pas la même "intelligence de la situation"
et pourquoi il convient de faire la différence
entre les "cyniques" 
et les "honnêtes citoyens" 
qui sont entrés dans le déni...
par incapacité à imaginer l'inimaginable.
 
.
 

 

samedi 5 novembre 2022

Surmortalité

 



La surmortalité, dans un grand nombre de pays, 

est  actuellement impressionnante,

nous disent les statistiques officielles

(ainsi que celles des sociétés d'assurance),

en particulier dans la tranche des 18-64 ans.



vendredi 4 novembre 2022

Evolution inquiétante de notre société

 


 

Intervention de Jean-Dominique Michel à Saintes, fin octobre 2022

 
 
 
 Un message très très fort !
.




Autre vidéo de janvier 2023 sur la perversité

   
 
 


mercredi 2 novembre 2022

Le coeur du mal

 

 Dans ce "classique" de la littérature, 
l'auteur dresse un réquisitoire 
contre les dictatures et le système totalitaire 
pour lesquels l'homme n'est rien, 
un zéro face à la collectivité, 
alors que l'humanisme voit en lui, au contraire, 
un infini.

 


Extrait :
 
Pendant quarante ans, il avait  vécu strictement 
selon les voeux de son ordre, le Parti.
Il s'en était tenu aux règles du calcul logique. 
Il avait brûlé dans sa conscience 
avec l'acide de la raison
les restes de la vieille morale illogique.
 
(...)

(Maintenant) quand il se demandait : 
"Pourquoi au juste meurs-tu ? 
il ne trouvait pas de réponse.
 
Il y avait une erreur dans le système : 
peut-être résidait-elle dans le précepte 
qu'il avait jusqu'ici tenu pour incontestable, 
au nom duquel il avait sacrifié autrui 
et se voyait lui-même sacrifié
le précepte selon lequel  
 
C'était cette phrase qui avait tué
 la grande Fraternité de la Révolution 
et les avait tous jetés en pleine démence.
 
Qu'avait-il naguère écrit dans son journal ? 
"Nous avons jeté par-dessus bord toutes les conventions, 
notre seul principe directeur 
est celui de la conséquence logique; 
nous naviguons sans lest moral."
 
Peut-être le coeur du mal était-il là
Peut-être qu'il ne convenait pas à l'humanité 
de naviguer sans lest. 
Et peut-être que la raison livrée à elle-même 
était une boussole faussée, 
conduisant par de tortueux méandres, 
si bien que le but finissait par disparaître dans la brume.
.
 

Arthur Koestler
 
 
 
Citation Arthur Koestler fois : Dans l'équation sociale l'individu figure à la fois le zéro...
 
 
Il n’y a que deux conceptions de la morale humaine,  
et elles sont à des pôles opposés. 
 
 L’une d’elles est chrétienne et humanitaire,  
elle déclare l’individu sacré, 
 et affirme que les règles de l’arithmétique 
 ne doivent pas s’appliquer aux unités humaines 
  qui, dans notre équation, représentent soit zéro, soit l’infini.
 
 L’autre conception part du principe fondamental 
et non seulement permet mais exige 
que l’individu soit en toute façon 
 subordonné et sacrifié à la communauté  
laquelle peut disposer de lui  
soit comme d’un cobaye qui sert à une expérience,  
soit comme de l’agneau que l’on offre en sacrifice.

.



dimanche 30 octobre 2022

Le Je, le Nous et le bouc émissaire

 

Longue interview de Louis Fouché qui aborde de très nombreux sujets...

 

 

Suite de l'interview :

Vidéo 2 

Vidéo 3 

Vidéo 4

 

 

Extrait de la dernière vidéo: 

 

"L'expérience de rencontre avec le monde est violente, par nature.

C'est ensuite à moi de la transformer en autre chose.

 

C'est une sorte d'alchimie intérieure :

je peux transformer cette violence 

en une expérience de rencontre...

et une transformation.

 

On n'est pas obligé d'aboutir 

à la guerre mimétique 

et au sacrifice."

.

Louis Fouché

.

 

 

 

 

Les enfants sacrifiés


 

Le livre

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants? Il est temps d’ouvrir les yeux et ne pas sacrifier, après nos aînés, notre jeunesse, avenir de l’Humanité.

Les auteurs

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.