mercredi 29 juin 2022

SOS d'un terrien en détresse

 

 Voix sublimes 

pour un message intemporel...

 

 

 Dimash Kudaibergen

 

  

Gregory Lemarchal

 

  

Daniel Balavoine


Pourquoi je vis, pourquoi je meurs,
Pourquoi je ris, pourquoi je pleure,
Voici le SOS d'un terrien en détresse

J'ai jamais eu les pieds sur terre..
J'aimerais mieux être un oiseau..
J'suis mal dans ma peau..

J'voudrais voir le monde à l'envers..
Si jamais c'était plus beau..
Plus beau vu d'en haut...
D'en haut...

J'ai toujours confondu la vie,
Avec des bandes dessinées,
J'ai comme des envies de métamorphose

Je sens quelque chose,
Qui m'attire, qui m'attire, qui m'attire,
Vers le haut...

Au grand loto de l'univers...
J'ai pas tiré le bon numéro...
J'suis mal dans ma peau...

J'ai pas envie d'être un robot,
Métro, boulot, dodo...

Pourquoi je vis, pourquoi je meurs,
Pourquoi je crie, pourquoi je pleure,

Je crois capter des ondes,
Venues d'un autre monde

J'ai jamais eu les pieds sur terre...
J'aimerais mieux être un oiseau...
J'suis mal dans ma peau...

J'voudrais voir le monde à l'envers...
J'aimerais mieux être un oiseau...
Dodo l'enfant, do....
.
 
Luc Plamondon 
(paroles)
et Michel Berger 
(musique)
.
 

 

   

 

 ...


 
 
 
 

jeudi 23 juin 2022

Ondes 5G : dangers

 

   

 

Mesures récentes à Montpellier et à Paris

par un ingénieur spécialiste des ondes

 ...

 
 
 

dimanche 19 juin 2022

La révolution des fourmis

 

 

Pour les membres de la "caste" qui mène le monde,
et qui nous regarde du haut de sa richesse et de son pouvoir,
il semblerait bien que nous ne soyons que des "fourmis"...
 
Des fourmis laborieuses, qui leur sont bien utiles, 
mais qu'on n'hésite pas à "détruire" 
si elles deviennent gênantes ou trop nombreuses...
 
Des fourmis...juste bonnes à entretenir la fourmilière
et à effectuer leur tâche sans rechigner,
des fourmis interchangeables, sans identité, sans visage...
Bref, des gens qui "ne sont rien"...
comme dirait quelqu'un 
que vous reconnaîtrez sûrement...
 
Mais vous, gens de "là-haut",
perchés sur vos tas d'or et sur vos privilèges,
 vous avez quand même oublié deux ou trois choses...
 
Vous avez d'abord oublié 
que les minuscules et ridicules fourmis,
quand elles se regroupent, 
deviennent difficilement "arrêtables"...
et qu'on ne résiste pas 
à leur marée rouge en mouvement... 
 
Vous avez oublié aussi 
que des milliers, des millions de fourmis, 
qui ne se laissent pas faire, 
ça vous pique, ça vous démange,
et ça ne vous permettra pas, c'est sûr,
de "rester assis" sur votre trône,
dans votre tranquillité arrogante et suffisante...
ou de dormir en paix...
 
Et surtout, vous avez oublié 
que les fourmis sont très persévérantes 
et que, si elles le décident, 
elles peuvent déplacer des...montagnes !
 En un temps record, 
elles peuvent déplacer toute leur fourmilière...
et en reconstruire une autre, plus loin, 
plus belle que la première.

Vous avez oublié que les fourmis, 
comme le disait Bernard Werber, 
peuvent faire leur "révolution"
et construire un nouveau monde.
 
Un monde organisé par elles et pour elles,
dans lequel chaque brindille
aura son importance,
un monde solidaire, pacifique...
un monde organisé 
selon les lois de la nature et de l'être...
et donc bien plus durable que ce monde
basé sur l'avidité, le cynisme 
et la folie des grandeurs de quelques-uns.
 
Alors, tremblez, messieurs, tremblez...
car aujourd'hui, main-tenant,
les fourmis du monde entier
sont en train de se réveiller...
 
Ouvrez les yeux :
elles sont déjà "en marche" ! ;-)
 
.
 
La Licorne
 


 


 

vendredi 17 juin 2022

Comme les moutons

 


 

Ne sommes-nous pas un peu semblables aux moutons ?

Nous fuyons celui qui, simplement, nous dérange, 

pour courir dans les bras de celui 

qui nous tond et qui nous mange.

 .

Francis Blanche 

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samedi 11 juin 2022

Comment la spiritualité peut changer le monde

 

 

Comment la spiritualité peut changer le monde ? 

Quel lien entre Histoire, Spiritualité, Géopolitique, Religion, Science... ?

 Philippe Bobola nous partage sa vision dans cette vidéo.

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00:00 Introduction  

06:00 Révolutions française, industrielle, informatique... et choix des peuples  

17:00 Révolution et manipulation des masses  

19:00 Tyrannie et révolution  

26:20 Démocratie et Covid 19, devenu "pandémie", révolution 4.0 

 28:30 Revenu universel et plein pouvoir gouvernemental  

34:00 Naomi Klein et stratégie du chaos  

37:30 Optimisme, stress extrême pour une vraie transformation intérieure  

47:30 Ingénierie sociale, Edward Bernays  

51:00 Interprétation de la stratégie géopolitique et vaccination covid 19  

01:00:00 Méditation et action : la médit-action  

01:06:00 Erica Chenoweth, les facteurs de réussite des mouvements sociaux  

01:18:00 Quel futur pour l'humanité ?  

01:24:30 Un combat spirituel et non matériel : s'inspirer des sociétés traditionnelles Kogis 

01:26:00 Transformation individuelle avant collective

 

 

 

vendredi 10 juin 2022

Le virus du totalitarisme

Propagande de masse, manipulation et contrôle des individus, organisation d'une psychose paranoïaque, désignation d'ennemis, persécution des opposants...

Pour Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, auteur notamment de Psychopathologie de la paranoïa et Psychopathologie de l'autorité (Dunod), nos sociétés sont en train de sombrer dans le totalitarisme.

(...) 



Pouvons quand même avoir prise sur lui ou sommes-nous condamnés à assister à son accomplissement ?

Je pense personnellement que nous avons le devoir d’introduire des discours différents, car la folie raisonnante de la psychose collective, régie par l’angoisse, conduit à la confusion mentale et aux passages à l’acte. Quand l’individu est harcelé par des discours de persécution, par des paradoxes, des mensonges, des propos violents émis par les mass medias et le champ politique, il devient vulnérable, confus, et ne comprend plus ce qui lui arrive. Le système totalitaire désigne comme coupables des innocents, et laisse tranquilles les coupables, ceux qui transgressent les interdits fondamentaux, voire il encourage leurs actions/exactions. La sortie de confusion, sur le plan psychique, est la violence, le recours aux passages à l’acte. La violence est un moyen de reprendre du pouvoir sur le réel, quand on a perdu toute capacité de se le représenter, car on en a été dépossédé.

Le système totalitaire est très énergivore. Hannah Arendt avait noté qu’il repose sur l’obsession du « mouvement perpétuel ». Pour rester au pouvoir, la formation totalitaire doit demeurer en mouvement, et mettre en mouvement. Ce n’est guère tenable à l’infini. De même, « si le totalitarisme prend au sérieux ses propres exigences il doit en venir au point il lui faut "en finir une bonne fois avec la neutralité du jeu d’échecs", c’est-à-dire avec l’existence autonome d’absolument n’importe quelle activité ». Est-ce tout simplement réalisable ? L’ambition paraît démesurée, mégalomane, et inatteignable.

Construire des alternatives, et faire preuve de créativité, se faire confiance dans sa capacité à rebondir, à élaborer des formes d’autonomie, par une politique des petits pas, est en ce sens indispensable, de même que sortir de l’isolement, qui est l’outil de domination des systèmes totalitaires.


Que pouvons-nous faire face à une logique dont nous nous saurions préalablement vaincus ?

Je ne crois pas que nous soyons vaincus, pas du tout même, car la folie raisonnante de la paranoïa contredit la vérité, la logique, et le réel de l’expérience. C’est un système anti-vie. La vie, c’est la liberté ; « la liberté, c’est notre intime, et c’est à partir d’elle que s’élève tout l’édifice du monde de l’Esprit ». En revanche, et c’est le sens de mon pessimisme, c’est que le niveau de destruction en cours s’annonce inouï au regard de ce que l’humanité a déjà vécu. Destruction de la santé, destruction des droits humains, destruction de l’économie, destruction de l’instruction, destruction de la culture, destruction des savoir-faire, etc. Avec le totalitarisme, nous entrons dans un monde de la survie, il va falloir tenter de passer entre les gouttes d’un hyper contrôle qui est voué tout de même à l’échec, car il contredit les principes du vivant qui régissent cette planète.

Ce que nous pouvons faire, c’est être l’expression de cette pulsion de vie, dont l’ordre est la biodiversité. Il existe un ordre des choses, valable de tout temps et pour tout, mais il correspond à un accord harmonieux et pacifique avec son environnement, qui exclut toute forme de violence, et dont l’être humain doit être le garant. La promotion tous azimuts de la violence et du contrôle est une expression du désordre brutal, ce n’est pas un ordre qui fonctionne. Tout est inversé. Comme le dit Agamben, dans son discours du 11 novembre 2021, nous avons « l’état d’exception au lieu du droit, l’information au lieu de la vérité, la santé au lieu du salut et la médecine au lieu de la religion, la technologie au lieu de la politique. »  

Il convient donc, comme le disait Hannah Arendt, d’exercer son libre arbitre dans des formes d’expression et de créativité, en somme en ne renonçant jamais à être un grain de sable dans le système.  

Encore une fois le délire paranoïaque est voué à s’autodétruire, et s’effondrer sur lui-même. Cela ne signifie pas qu’il n’aura pas commis des dégâts et des destructions abominables avant.

(...)

Ariane Bilheran 

 

 

jeudi 9 juin 2022

Vie et mort des régimes politiques

 

 


Philippe Bobola nous parle ici
de l'instabilité des régimes politiques
et de leur évolution dans le temps...
 
 
 
 
 
 

mercredi 8 juin 2022

mercredi 1 juin 2022

Expertise, numérisation, contrôle et imposture

 


 
(cliquer sur le lien)

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Roland Gori nous met en garde par rapport 

au contrôle insidieux qui se met en place, 

sous couvert de modernisation...

contrôle qui touche tout particulièrement 

les professions "humaines", les professions de la "relation"...

(enseignement, santé, psychologie...etc)

 

   
 
 
 
Autre conférence plus détaillée :
"La fabrique des imposteurs"
(2014)

( A écouter jusqu'au bout...)

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Extrait (vers 1h28) :

"Il y aura toujours une grande différence 
entre "soumettre la multitude"
et régir une société."
.
Rousseau

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La soumission sociale, aujourd'hui se fait 

par des techniques d'assujettissement normatives

au nom du discours de la société savante, 

au nom du discours de l'expertise.

 .

Roland Gori

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