"Peur de la vérité ?
Donne ton pouvoir au gouvernement !"
Les manipulateurs pervers, qui pullulent
en ce moment dans les sphères gouvernementales,
(fléau encore plus grave que les punaises de lit ;-)
savent mieux que personne, coloniser l'esprit des gens...
et vous "retourner le cerveau" !
Harceleurs impénitents,
ils vous lancent des campagnes...
contre le harcèlement !
Dénués d'empathie, ils vous créent ...
des cours d'empathie dans les écoles !
Destructeurs de vie, ils se posent
en "défenseurs" de l'écologie,
et bien sûr, pour couronner le tout,
ils vous font croire que vos ennemis, ce sont...
ceux qui dénoncent leurs agissements.
Cette technique de l'"inversion accusatoire"
(le persécuteur se pose en victime
et la victime est désignée comme persécuteur)
est bien connue...des psychologues spécialisés
mais difficilement décelable par tout un chacun.
Méfiez-vous ! Nul n'est à l'abri...
N'importe qui peut s'y laisser prendre...
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La Licorne
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la meilleure définition qu'on puisse donner de l'homme.
Cette étude transversale, menée par Santé publique France, croise des données collectées en fin d’année scolaire 2021-2022 auprès de plus de 15 000 enfants et enseignants dans près de 400 écoles. 10 000 parents ont aussi été interrogés.
Jusqu’ici, les informations sur l’état de santé des enfants n’étaient que parcellaires ou peu représentatives. L’étude « Enabee » fait le constat que 13 % des 6-11 ans présentent « au moins un trouble probable de santé mentale », un taux de prévalence équivalent à ceux observés dans d’autres pays en Europe sur la même tranche d’âge.
« Nous ne sommes pas surpris mais les chiffres sont suffisamment importants pour conduire à s’interroger sur ce sujet, pour lequel nous ne disposions d’aucune donnée jusqu’à présent » commente Stéphanie Monnier-Besnard, épidémiologiste et cheffe de projet de l’étude Enabee.
Dans le détail, 5,6 % des enfants présentent un « trouble émotionnel probable », soit un trouble anxieux comme l’anxiété de séparation, l’anxiété généralisée, des phobies spécifiques ou bien un trouble dépressif.
Quelque 6,6 % des enfants présentent un « trouble oppositionnel probable » de manifestant par une humeur particulièrement colérique, un comportement querelleur ou provocateur.
Enfin, 3,2 % montrent un trouble persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité (TDAH) probable.
Cette étude est une « première étape » qui permet d’apporter un « éclairage aux décideurs publics en vue de futures actions de sensibilisation » précise Stéphanie Monnier-Besnard.
Reconduite régulièrement, l’étude permettra en effet de suivre l’évolution des indicateurs, d’évaluer l’impact d’événements infectieux, ou environnementaux et d’engager des actions de prévention.
Cette enquête donne « une photo très utile de la situation actuelle » souligne à le Pr Richard Delorme, chef du service de pédopsychiatrie à l’hôpital Robert-Debré (AP-HP). « Souvent, on se dit qu’un enfant de moins de 11 ans ne peut pas être déprimé ou que seule une partie de la population est concernée : c’est faux », constate-t-il.
LIRE AUSSI >> La santé mentale des Français s’améliore, mais les jeunes restent fragiles
Ces données « objectives » devraient permettre, espère-t-il, d’initier des politiques de prévention : « un enfant sur dix est concerné, il faut mettre le paquet », notamment en direction des parents.
Car face à une offre de soins saturée, ils peuvent jouer le rôle de premières vigies en surveillant des indicateurs comme le sommeil ou l’appétit de leurs enfants, préconise le médecin.
L’étude Enabee, menée alors que la crise sanitaire était encore d’actualité, ne permet pas d’estimer un possible impact du Covid-19, en l’absence de données antérieures à la crise sur cette tranche d’âge. Mais une seconde enquête, « complémentaire » publiée mardi par la Drees (Direction statistiques du ministère de la Santé), montre de son côté que la détresse psychologique dont souffre une minorité grandissante d’enfants et d’adolescents a été aggravée par cette crise.
Cette étude, tirée du 3e volet de l’enquête Epidémiologie et conditions de vie liées au Covid-19 (EpiCov), montre qu’entre mars 2020 et juillet 2021, 12 % des garçons de 3 à 17 ans et 13 % des filles ont consulté un professionnel de santé pour un motif psychologique. Seuls 7 % des garçons et 6 % des filles consultaient déjà auparavant.
En prenant en compte les enfants qui n’ont pas consulté, mais dont les parents estiment qu’ils avaient besoin d’être aidés pour des difficultés psychologiques et que cette aide relevait d’un professionnel de santé, ce sont alors 15 % des enfants qui auraient eu besoin de soins pour ces raisons, ajoute l’étude. Soit près d’un enfant sur six.
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Lire aussi :
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Quand on ne sait plus quoi penser,
il convient de revenir aux faits...
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L’ancien diplomate polonais commence à parler, mais soudain les mots s’arrêtent… cet homme de devoir n’est pas de ceux qui étalent leurs sentiments. Mais l’émotion est trop forte, il se lève brusquement et quitte la pièce.
Il reviendra cependant à la caméra, pour, encore une fois,
témoigner de ce qu’il a vu en 1942 et que presque personne, à l’époque,
n’avait cru, ou n’avait voulu croire.
En 1942, Jan Karski fut selon ses propres termes, « le témoin oculaire de la politique allemande de l’extermination des juifs d’Europe », qui réussit, au péril de sa vie, à quitter l’Europe occupée pour alerter le monde libre.
Jusqu’au président Roosevelt, l’homme le plus puissant de la planète, mais en vain. Indifférence ? Incrédulité ? Rien ne fut tenté alors pour arrêter la machine de mort nazie.
C’est l’histoire du combat de Jan Karski que je vais raconter ce soir. L’incroyable course contre la montre de cet homme seul, qui tenta de dire l’innommable.
Tout ce qui dégrade la culture
raccourcit les chemins qui mènent à la servitude.
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Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde.
Ne pas nommer les choses, c’est nier notre humanité.
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde,
la mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas.
Mais sa tâche est peut-être plus grande.
Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse.
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Albert Camus
L'article ci-dessous a déjà deux ans.
Le mouvement de "cancellisation", depuis, s'est encore amplifié.
Franchement, cela ne vous rappelle rien ?
8 septembre 2021
Accusés de propager des stéréotypes, plusieurs milliers d’ouvrages ont été retirés des bibliothèques scolaires. Certains ont même été réduits en cendres.
Une purge littéraire. Près de 5 000 ouvrages ont été bannis des bibliothèques d’établissements scolaires francophones (le Conseil scolaire catholique Providence, près de 10 000 élèves du primaire au secondaire) dans le sud-ouest de l’Ontario. Accusés de propager des stéréotypes sur des peuples autochtones – les Amérindiens –, ils ont fait en 2019 l’objet d’un traitement radical : ils ont été retirés des rayons et certains ont même été brûlés lors d’une « cérémonie de purification par la flamme » au sein de l’une des écoles, révèle Radio Canada.
Une mise à l’index sous forme d’autodafé visant à l’« inclusivité » : « Il s’agit d’un geste de réconciliation avec les premières nations et d’un geste d’ouverture envers les autres communautés présentes dans l’école et notre société », a ainsi justifié, auprès de la radio nationale, la porte-parole du Conseil scolaire, Lyne Cossette, pour qui ces ouvrages témoignent d’un « contenu désuet et inapproprié ».
« Nous enterrons les cendres de racisme, de discrimination et de stéréotypes dans l’espoir que nous grandirons dans un pays inclusif où tous peuvent vivre en prospérité et en sécurité », exprime ainsi l’un des membres de l’institution dans une vidéo pour le moins lunaire, tournée à destination des élèves, dans laquelle il disperse les cendres des ouvrages dans le but de faire pousser un arbre pour « tourner du négatif en positif ».
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Oui,..on est bien en 2021 !
réveillons-nous,
ça se passe MAINTENANT.
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Je vous livre le début de la liste:
"La liberté d’opinion est une farce
si l’information sur les faits n’est pas garantie
et si ce ne sont pas les faits eux-mêmes
qui font l’objet du débat."
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"Il faut toujours dire ce que l’on voit ;
surtout, il faut toujours, ce qui est plus difficile,
voir ce que l’on voit."
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Charles Péguy
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cet article :
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C'est là le grand, le terrible chantage de l'éducation,
celui auquel il est presque impossible d'échapper.
Aucun enfant ne peut vivre sans amour.
C'est pour cela que l'on se conforme au modèle requis,
même si on le trouve mauvais.
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